http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Primaire-PS-Le-JDD-notent-les-candidats-socialistes-389785/?from=features
Bruno Jeudy
Le premier de la classe: 6/10 François Hollande : Il a imposé son autorité
Le bonnet d’âne: 3/10 Arnaud Montebourg : Argumentaire uniquement centré sur les banques. Il n'a même pas osé parler de démondialisation
Jérôme Guillas
Le premier de la classe: 8/10 François Hollande : L’ancien premier secrétaire du PS est sorti du lot (tout comme Manuel Valls) et a offert, avec Martine Aubry, le seul vrai moment de débat de la soirée en la mettant en difficulté sur le nucléaire.
Le bonnet d’âne: 2/10 Arnaud Montebourg : Mou, distant, sans conviction, le député de Saône-et-Loire s’est pris les pieds dans le tapis dès la minute de présentation. Le comble en toute fin d’émission alors qu’il lui restait du temps de parole : "J’ai dit tout ce que j’avais à dire, si vous avez d’autres questions j’y répondrais".
Soazig Quéméner
Le premier de la classe: 8/10 François Hollande : le plus à l’aise (avec Valls), a réussi à transposer sur le plateau de France 2 le leadership qu’il possède, pour le moment, dans les sondages.
Le bonnet d’âne: 4/10 Ségolène Royal : en mode bégaiement. La challenger PS de Nicolas Sarkozy en 2007, est curieusement absente ce soir, ou se répète. Avec ses références à la campagne précédente, elle fait office d’ancien combattant.
Benjamin Bonneau
Le premier de la classe: 8/10 François Hollande : Il était favori, il l'est encore plus. Le plus à l'aise. Le plus malin aussi quand il s'est agi de "chauffer" Aubry sur le nucléaire
Le bonnet d’âne: 4/10 Ségolène Royal : Elle devait briller pour combler son retard. Elle a surtout ressorti ses vieilles recettes. Celles qui n'avaient pas suffi en 2007.
Nicolas Prissette
Le premier de la classe: 9/10 François Hollande et Manuel Valls, Ex-aequo : Ils ont crevé l'écran par leurs propos solennels et des regards profonds lancés aux téléspectateurs.
Le bonnet d’âne: 2/10 Arnaud Montebourg : Il est l'inventeur de la primaire, est apparu palot et enfermé dans son discours sur la démondialisation.