mercredi 10 avril 2024

Nous préparons l’après Macron en créant les conditions pour tout changer JEAN-LUC MÉLENCHON

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Fwd: Dimanche 14 avril à Montpellier, participez au meeting avec Manon Aubry, Manuel Bompard, Rima Hassan et Anthony Smith !" :

Nous préparons l'après Macron en créant les conditions pour tout changer
JEAN-LUC MÉLENCHON

https://www.youtube.com/live/JV2hgEKYnSM?si=JKsHMwWzF6sWYnNo

Jean-Luc Mélenchon a tenu une conférence à l'Université de Nantes avec Louis Boyard le 9 avril 2024.

Il commence par souligner les progrès réalisés dans la lutte pour les droits et la justice sociale, affirmant que de nouvelles générations sont prêtes à poursuivre cette lutte. Il insiste sur le rôle crucial du peuple en tant qu'acteur de l'histoire, soulignant que les relations de pouvoir et d'exploitation sont construites à travers les réseaux collectifs. Il évoque la nécessité de préparer l'après-Macron en créant les conditions pour un changement radical.

Il aborde également les limites du capitalisme et critique les politiques de Macron qui affaiblissent les droits des travailleurs. Il dénonce le capitalisme comme un système qui menace l'humanité et l'environnement, soulignant ses effets néfastes sur la civilisation humaine et le climat. Il déclare que ce système doit être renversé pour permettre l'épanouissement de valeurs alternatives.

Concernant les conflits géopolitiques, Jean-Luc Mélenchon critique les politiques qui conduisent à des guerres et souligne la nécessité de mesures pour promouvoir la paix, en Ukraine et à Gaza. Il lance l'alerte d'une contagion de la guerre à partir de la région Asie-Pacifique et rejette l'idée que la force est synonyme de virilité et affirme que la véritable force réside dans la quête de la paix.

Le discours se termine par un appel à la jeunesse à voter pour un changement radical notamment lors des élections européennes du 9 juin, promettant que ce vote bouleversera le système en place. Jean-Luc Mélenchon exhorte les gens à voter pour tout changer, affirmant que cela inspirera le courage à l'échelle mondiale et fera trembler les élites.

SOMMAIRE

0:00 : Introduction
07:06 : Intervention de Louis Boyard
30:26 : Intervention de Jean-Luc Mélenchon

7 commentaires:

Anonyme a dit…

L'esquive est-elle son arme de séduction ?

"Un peu de respect", demande Valérie Hayer la candidate macroniste. Pour un cadre de la campagne de Renaissance, "Jordan Bardella a un problème d'arrogance". "De quoi a-t-il peur ?", s'interroge l'équipe de François-Xavier Bellamy. Marie Toussaint, tête de liste des Écologistes, assure avoir la réponse : "Jordan Bardella est peut-être un peu effrayé par les débats actuels." Pour Manon Aubry, tête de liste des Insoumis, "dès qu'il s'agit de parler des sujets européens, il n'y a plus personne. Dès qu'il ne peut plus surfer sur les peurs, il n'est plus là."
(…)


https://www.francetvinfo.fr/elections/europeennes/elections-europeennes-2024-jordan-bardella-tete-de-liste-du-rassemblement-national-esquive-un-nouveau-debat_6478742.html

Anonyme a dit…

VERDIER-MOLINIÉ ET LA CONSTANCE DÉCENNALE!

"On peut difficilement faire plus constante qu'elle. Depuis plus d'une décennie, Agnès Verdier-Molinié martèle son discours ultralibéral dès qu'elle le peut. Son credo : assainir à tout prix les comptes de l'État, par tous les moyens.

Ça ne doit pas être facile de commettre autant d’ouvrages, de squatter si souvent les plateaux de télé, pour finalement dire tout le temps la même chose. Pourtant, Agnès Verdier-Molinié accomplit cette prouesse depuis plus d’une décennie en martelant ses cantiques ultralibéraux à chaque occasion qui se présente. Dernière fois que la lobbyiste de 45 ans a sorti la tête de ses tableaux Excel ? Fin mars, après l’annonce du déficit public de 5,5 % du PIB en 2023 – chiffre nettement supérieur à celui prévu par le gouvernement de Gabriel Attal."
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https://www.marianne.net/economie/agnes-verdier-molinie-rapace-et-lobbyiste-ultraliberale-sauf-contre-les-privilegies

Anonyme a dit…

Le tacle qui fait plaisir à voir et entendre !

COMMENT LOUIS BOYARD A ÉNERVÉ YAËL BRAUN-PIVET...
Michelle Tirone



https://youtu.be/O0Our4uUWB4?si=53C2YT9qQrlbMKLW



Louis Boyard a expliqué au début de sa conférence à l'université de Nantes ce qui s'est passé lors des traditionnelles Questions au Gouvernement quand il a demandé pourquoi les jeunes lycéens en stage qui devaient recevoir une rémunération ne l'ont pas reçue depuis 7 mois...
La macronie n'aime pas qu'on la mette face à ses hypocrisies et mensonges... ça a dû énerver Braun-Pivet !

Anonyme a dit…

GLUCKSMANN, MESSIE DE LA SOCIAL DÉMOCRATIE...!

"Qu’elles sont lointaines, ces élections européennes. A la terrasse du Malala, honnête restaurant de grillades de la périphérie de Nantes, il est question de tout ce samedi 13 avril, sauf du scrutin du 9 juin. Il suffit pourtant d’emprunter la passerelle reliant la zone commerciale Atlantis et la zone commerciale Ar Mor, par-dessus la Nationale 444, pour se rendre au Zénith, vaisseau spatial argenté posé au milieu d’une vaste prairie, où la tête de liste Parti socialiste-Place publique, Raphaël Glucksmann, s’apprête à tenir meeting. Une autre planète vue d'ici, sur laquelle bouder un bel après-midi de printemps au profit du récit des négociations d’une directive européenne n’a rien d'aberrant. Dans ce monde-là, baigné des lumières rose et jaune du PS et de « PP », l’essayiste est considéré comme l’astre du jour. Et tant pis si le messie de la social-démocratie s’avérera piètre orateur : le sauveur, c’est bien lui."
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https://www.marianne.net/politique/en-meeting-au-zenith-de-nantes-l-astre-glucksmann-en-appesanti

Anonyme a dit…

"Paul Vannier est un lieutenant insoumis, prototype du militant appliqué, dévoué, dur s’il le faut, jusque dans la posture, bien droite. Le style, sans fioritures, a pour seule marque distinctive le petit triangle rouge que Mélenchon épingle aussi sur ses vestes, symbole de résistance aux idées d’extrême droite. «Lieutenant, c’est une expression bizarre parce que s’il y a une chose que j’ai apprise avec Jean-Luc Mélenchon, c’est la liberté. Bien sûr qu’on est des gens disciplinés, groupés, et on considère que ça fait partie de notre force, mais Jean-Luc n’est pas du tout un esprit dogmatique.» Lorsque le trentenaire, qui vit à Paris, a pris la tête du groupe insoumis au conseil régional d’Ile-de-France, en 2021, l’ancien socialiste l’a invité à l’imiter : «Je sais entrer dans une réunion en me disant que je vais changer d’avis.» Assis à la terrasse d’un café près de l’Assemblée, Paul Vannier insiste : «C’est consenti tout ça, il n’y a pas de contrainte. On fonctionne par adhésion.»
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https://www.liberation.fr/portraits/paul-vannier-negoce-feroce-20240415_LRGZ4NISNVBUVK2GBIE2YV3JXU/

Anonyme a dit…

Jean-Michel Servant est l'ancien président de France Bois Forêt, un organisme défendant les intérêts des propriétaires, coopératives, pépiniéristes et exploitants de ces écosystèmes.

"Pour s’occuper de la « planification écologique » des forêts, le gouvernement n’a trouvé personne de mieux que l’ancien représentant des acteurs économiques de la filière bois, révèle le média Contexte dans un article publié le 12 avril. Par un décret publié le 11 avril, l’ancien président de France Bois Forêt (l’organisme qui défend les intérêts des propriétaires, coopératives, pépiniéristes et exploitants de ces écosystèmes), Jean-Michel Servant, a été nommé délégué interministériel aux forêts. « C’est un peu du niveau de la nomination de Rachida Dati à la Culture : c’est détonant », a expliqué à nos confrères le conseiller du domaine de Chantilly et ancien membre de France Nature Environnement, Hervé Le Bouler.

Polytechnicien passé par la Société forestière de la Caisse des dépôts, l’entrepreneuriat et le conseil, Jean-Michel Servant a défendu pendant trois ans les intérêts de la filière bois, retrace Contexte. En tant que président de France Bois Forêt, il a été amené à prendre position sur des sujets qu’il sera amené à traiter dans ses nouvelles fonctions. Il s’était notamment opposé à la proposition de loi de la députée Sophie Panonacle (Renaissance) encadrant les coupes rases, détaille Contexte.

Cette nomination a fait grincer les dents des écologistes et des défenseurs des forêts. L’association Canopée reproche notamment au nouveau délégué interministériel d’avoir quitté une réunion organisée par le ministère de la Transition écologique, le 6 mars, au motif de sa seule présence. « Une attitude qui interroge pour quelqu’un dont la mission va être de faire du lien entre les différents ministères et de discuter avec l’ensemble des parties prenantes », écrit-elle dans un communiqué consulté par Contexte.

« Pour nous, ce n’est évidemment pas bon signe », a confié à nos confrères Christophe Chauvin, de France Nature Environnement. En tant que délégué interministériel aux forêts, Jean-Michel Servant devra promouvoir, coordonner et suivre « la mise en œuvre de la planification écologique de la forêt, de la transformation et des usages du bois », assurer le renouvellement forestier, et protéger ces écosystèmes menacés par le changement climatique. « Il est quand même le porte-voix de la filière. Donc, pour s’ouvrir à des visions plus environnementales et écologiques, il faut… un certain talent », selon Christophe Chauvin."


https://reporterre.net/La-planification-ecologique-des-forets-sera-geree-par-un-ex-representant-des-interets-de-la-filiere

Anonyme a dit…

GLUCKSMANN, LES SIRÈNES DU DÉSENCHANTEMENT

"Le personnage du troisième homme est toujours intéressant dans une campagne électorale. Il peut monter très haut dans les sondages puis s’effondrer (Jean-Pierre Chevènement durant la campagne présidentielle de 2002), partir bas et créer la surprise le soir du scrutin (Yannick Jadot lors de la campagne des élections européennes de 2019), finir par baisser les bras ou au contraire persévérer dans l’espoir de décrocher un jour le pompon présidentiel (François Bayrou).

La variété des scénarios qui se construisent autour du nom de Raphaël Glucksmann a l’avantage d’entretenir le suspense, de donner corps à des hypothèses, de faire vivre une ou plusieurs histoires parallèles. Ainsi en va-t-il du cofondateur de Place publique, soutenu par le Parti socialiste (PS), devenu le troisième homme de la campagne des élections européennes. Nul ne sait quel score il atteindra dimanche 9 juin ni quelle place il occupera parmi la vingtaine de compétiteurs une fois les Français réellement entrés dans la campagne, mais à moins de deux mois du scrutin il est évident que quelque chose se passe à gauche.

Longtemps caricaturé en « bobo germanopratin », le fils d’André Glucksmann, devenu député européen en 2019, recueille 13 % des intentions de vote dans le sondage Ipsos-Le Parisien-France Inter publié dimanche 14 avril. Hormis Jordan Bardella (Rassemblement national, RN), qui caracole en tête (32 %), Raphaël Glucksmann est, à ce jour, l’un des rares candidats à avoir le vent en poupe. Cette dynamique lui permet à la fois de réduire l’écart avec la candidate Renaissance, Valérie Hayer (16 %), et de creuser la distance avec la liste La France insoumise (LFI), conduite par Manon Aubry (7 %).

Sirènes macronistes

"Le pari de desserrer l’étau entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon paraissait totalement improbable il y a encore un an. Il gagne aujourd’hui en crédibilité parce que le pouvoir d’attraction des deux hommes s’est considérablement érodé : la droitisation du président de la République, qui ne se dément pas depuis le vote du projet de loi sur l’immigration, en décembre 2023, encourage le retour au bercail d’un certain nombre d’électeurs ayant cédé aux sirènes macronistes."
(…)


https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/16/a-gauche-les-projections-autour-du-nom-de-raphael-glucksmann-sont-assez-claires-se-debarrasser-de-melenchon_6228048_3232.html