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Mercredi 1er mai, la France insoumise appelle à participer massivement aux manifestations et rassemblements organisés par les syndicats à l'occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des travailleuses et des travailleurs.
Ce 1er Mai, défilons contre la casse sociale et pour la paix ! Macron et Attal détruisent les services publics et le Code du Travail pour servir les intérêts du capital. Dans les entreprises, les syndicalistes mènent un formidable travail de lutte pour la défense des intérêts des travailleur·euses, mais subissent trop souvent la répression patronale. Manifestons en soutien à celles et ceux qui se battent pour de meilleurs conditions de travail ! Ce 1er Mai est également l'occasion de manifester notre solidarité internationale pour la paix partout dans le monde.
Ce 1er Mai, participez aux rendez-vous insoumis·es, en présence de nos élu·es et candidat·es à Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille, Bordeaux, Nantes... Partout en France, les insoumis·es y seront !
Nos prochains grands événements
Contre la répression : rassemblement en soutien à Mathilde Panot et Rima Hassan
Grand week-end de mobilisation pour l'inscription sur les listes électorales
Samedi 27 et dimanche 28 avril, les insoumis·es organisent des actions pour vérifier les situations électorales et faire s'inscrire sur les listes !
La date limite d'inscription sur les listes électorales pour voter aux élections européennes est le vendredi 3 mai en mairie et le mercredi 1er mai en ligne. Partagez les photos et vidéos de vos actions sur les réseaux sociaux avec le hashtag #UnionPopulaire ! J'indique mon action →
Syndicaliste ? Retrouvez et signez l'appel des syndicalistes pour voter pour la liste de l'Union populaire
Retrouvez le programme de l'Union populaire !
Le programme de l'Union populaire est disponible !
Ce document s'appuie sur une version initiale rédigée à partir du programme des jeunes de la NUPES et du bilan de la délégation insoumise au Parlement européen. Je retrouve le programme →
Pour la réouverture des accueils physiques dans les services publics
Du 29 avril au 6 mai : campagne numérique "Sénateur·rices pour la réouverture des accueils physiques des services publics !". La prochaine conférence des président·es de groupe au Sénat aura lieu le mardi 7 mai 2024. Il y sera discuté la mise à l'ordre du jour de la proposition de loi pour la réouverture des accueils physiques dans les services publics dans le cadre de leur semaine transpartisane. Nous vous invitons donc à interpeller les sénateur·rices de votre département avec le message et le visuel sur le site internet de la campagne. Je retrouve toutes les informations →
Cette semaine dans L'Insoumission
Cette semaine dans l'Émission populaire
Cette semaine l'Émission populaire était dédiée à la criminalisation des voix de la Paix. Nous devons apporter tout notre soutien à Mathilde Panot et Rima Hassan, convoquées par la police pour avoir osé défendre le droit international ! Je retrouve l'émission →
Les vidéos de la semaine
7 commentaires:
Une baisse de 24% entre 2019 et 2022
"Le chiffre mentionné par le député LFI est juste, puisqu'il figure dans le bilan statistique du Code de la justice pénale des mineurs, publié le 13 octobre 2023 par le ministère de la Justice. "En 2022, 164 900 mineurs ont été mis en cause dans les affaires terminées par les parquets, soit 24% de moins qu’en 2019", détaille le document.
Cette diminution est difficile à expliquer. "Elle peut être due à l'épidémie de Covid-19, mais la baisse s'est poursuivie ensuite", note Nicolas Sallée, sociologue spécialiste du système de justice des mineurs. Thomas Sauvadet, enseignant-chercheur en sociologie spécialiste des bandes de jeunes, propose une autre explication. "On observe un processus de ghettoïsation des quartiers pauvres, qui s'écartent de la justice et de la police", avance-t-il. Selon lui, le nombre de mineurs mis en cause diminue parce que ces quartiers se ferment aux institutions. "Si les habitants ne portent pas plainte, il est difficile de mesurer la violence des mineurs", assure le sociologue. Nicolas Sallée estime, lui, que le nombre de mineurs mis en cause ne reflète pas l'évolution de la violence chez les jeunes.
"Cet indicateur rend plus compte de l'activité des institutions judiciaires que des activités délictueuses des mineurs. Il ne mesure que la manière dont la police, puis la justice, répondent à la délinquance."
Nicolas Sallée, sociologue spécialiste du système de justice des mineurs
à franceinfo
Quelle réponse la justice apporte-t-elle à cette délinquance ? Le 30 septembre 2021, le Code de la justice pénale des mineurs est entré en vigueur, réformant l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante. Ce code a pour ambition d'accélérer les procédures et d'améliorer la prise en charge des mineurs délinquants. La justice étant plus active, si la violence avait augmenté parmi les mineurs, le nombre de mis en cause aurait pu grimper également. Or, il a diminué."
(…)
https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-faux-le-nombre-de-mineurs-mis-en-cause-dans-des-affaires-judiciaires-a-t-il-diminue-de-25-entre-2019-et-2022-comme-l-affirme-manuel-bompard_6505601.html
Il flotte dans l'air une odeur nauséabonde de lâcheté , de compromission , d'abandon de valeurs , de servilité ...
JEAN-LUC MÉLENCHON / RIMA HASSAN : LE NOUVEL AXE DU MAL
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/4SmAVqNiy3w?si=6Uqt40SQB0YSvRnX
"Le 18 avril 2024, la juriste française d'origine palestinienne Rima Hassan et Jean-Luc Mélenchon, qui figurent tous les deux sur la liste de La France insoumise pour les élections européennes du 9 juin prochain et qui appellent tous les deux à un cessez-le-feu à Gaza, devaient donner à l'université de Lille une conférence consacrée à l'actualité en Palestine.
Cette conférence, organisée par une association étudiante de soutien aux Palestiniens, avait été autorisée une semaine plus tôt par la présidence de l'université. Mais au dernier moment, cette même présidence a jugé que les conditions n'étaient plus réunies pour garantir la sérénité des débats et a finalement décidé de ne plus autoriser la tenue de la conférence du 18 avril.
Cette dernière a donc été interdite. Mais cela n'a pas empêché la présidence de l'université de Lille de promettre très sérieusement dans son communiqué annonçant cette interdiction de dernière minute, qu'elle continuerait à défendre les valeurs de la science, du débat intellectuel et de l'écoute, loin des caricatures et des idées reçues. Nous avons donc là une université qui interdit un débat intellectuel et qui en profite pour expliquer qu'elle continuera à défendre le débat intellectuel.
C'est un peu étonnant, pour ne pas dire franchement burlesque. Mais elle aurait tort de se gêner puisque personne ou presque n'a relevé cette acrobatie."
Nouvel épisode de Quelle époque formidable, par Sébastien Fontenelle.
Journaliste : Sébastien Fontenelle
Montage : Camille Chalot
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste
Production : Hicham Tragha
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la publication : Denis Robert
"Philippe Coopman, Shemseddine, Samara... Tous ont été victimes d'agressions, mortelles pour les deux premières, commises au cours du mois d'avril. Et la plupart des suspects dans ces affaires sont mineurs. Emmanuel Macron a dénoncé "le surgissement de l'ultraviolence dans le quotidien, chez des citoyens de plus en plus jeunes". Dans ce contexte, le Premier ministre, Gabriel Attal, a livré plusieurs annonces, le 18 avril, à Viry-Châtillon (Essonne).
Mais existe-t-il une réelle hausse des actes de violence commis par des mineurs, comme l'affirment certains politiques ? Ce n'est pas l'avis du député de La France insoumise (LFI) Manuel Bompard. Invité sur le plateau de franceinfo, lundi 22 avril, il a réfuté cette idée, statistique à l'appui : "Si vous prenez les chiffres du ministère de la Justice, le nombre de mineurs mis en cause dans des affaires judiciaires a été réduit de 25% entre 2019 et 2022."
En évoquant les personnes "mises en cause", l'élu reprend la définition juridique d'individus impliqués dans un litige, le temps d'une enquête, comme le rappelle le site Vie publique. Selon le ministère de l'Intérieur, il s'agit de "toute personne ayant été entendue par la police ou la gendarmerie et à l'encontre de laquelle sont réunis, dans la procédure transmise au parquet, des éléments graves et concordants attestant qu'elle a commis ou tenté de commettre un ou plusieurs délits ou crimes." Alors, Manuel Bompard dit-il vrai ou faux ?"
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https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-faux-le-nombre-de-mineurs-mis-en-cause-dans-des-affaires-judiciaires-a-t-il-diminue-de-25-entre-2019-et-2022-comme-l-affirme-manuel-bompard_6505601.html
https://www.ladepeche.fr/2024/04/27/elections-europeennes-les-elus-lfi-accusent-de-complicite-le-prefet-avec-le-maire-de-toulouse-pour-faire-monter-labstention-11917816.php
RIMA HASSAN : LA NAKBA EST LE POINT DE DÉPART DE LA DÉPOSSESSION DES PALESTINIENS
Paroles D'Honneur
https://youtu.be/GxQ40gjm8vI?si=JNZ5ug1BEYPx6FqH
Intervention de RIMA HASSAN, juriste franco-palestinienne, fondatrice de l'Observatoire des camps de réfugiés, lors du meeting international qui a rassemblé à Paris, le 30 mars 2024, les organisations juives anticoloniales.
FAIRE BLOC
Nous, organisations juives anticoloniales de différents pays, et les organisations et militant·es se réclamant de l’émancipation collective, étions réunis à Paris le 30 mars 2024 pour réaffirmer la légitimité de la cause palestinienne et de la solidarité internationale. La guerre génocidaire que mène l’armée israélienne à Gaza, avec le soutien des chancelleries du monde occidental, donne lieu, en France, à une séquence particulièrement dangereuse. Stigmatisé·es comme des soutiens au terrorisme, les militant·es et organisations de gauche et du mouvement de solidarité avec le peuple palestinien font face à la répression d’un État déjà bien engagé dans un tournant autoritaire et réactionnaire . Depuis le 7 octobre, c’est en grande partie au nom de la lutte contre l’antisémitisme que ce dernier se poursuit. En France, pays moteur de l’islamophobie dans le monde, la politique coloniale israélienne et le détournement de la lutte contre l’antisémitisme provoquent une dangereuse montée du ressentiment antijuif. Juives et Juifs de France, nous sommes instrumentalisé·es par le gouvernement et les forces politiques de droite et d’extrême-droite. Dans la longue période de fascisation que nous traversons, nous nous retrouvons d’autant plus isolé·es que nous sommes ouvertement utilisé·es comme prétextes au déploiement d’une politique islamophobe et antisociale. Cette situation est intenable et doit être renversée. Face au tournant autoritaire, face au racisme et au colonialisme, faisons bloc !
Le gouvernement fait intervenir les CRS contre les étudiants !
@ClemenceGuette94
https://youtube.com/shorts/4WEdsB4I4I0?si=AHFe_KEDm4Arvira
« J’ai écouté avec effroi le discours de Viry-Châtillon de Gabriel Bardella » a lancé Ugo Bernalicis dès le début de sa prise de parole, jouant la carte de la provocation en faisant un rapprochement entre le Premier ministre et le président du Rassemblement national. Tout s’est ensuite déroulé sans encombre jusqu’à ce qu’il change soudainement de timbre de voix pour caricaturer celle du garde des Sceaux en reprenant les mots que ce dernier avait adressés à Marine Le Pen en 2020 : « Le répressif, avec les gamins, ça ne marche pas ». « Désormais se serait donc, pour Gabriel Vador, la République contre-attaque ? » a ajouté le député, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article."
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https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/eric-dupond-moretti-n-a-pas-apprecie-cette-imitation-d-ugo-bernalicis-a-l-assemblee-nationale_233370.html
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