lundi 11 mars 2024

Prenez 1 minute pour voter sur la proposition de liste de l'Union populaire aux élections européennes de 2024

Prenez 1 minute pour participer à la votation sur la liste de l'Union populaire
Élections européennes de 2024
 
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4 commentaires:

Anonyme a dit…

MAUREL ET MONTEBOURG EN FONTAINE DE JOUVENCE...!

"Léon Deffontaines est convaincu qu’il parviendra à inverser la tendance. «On est en bien meilleure position aujourd'hui qu'on a pu l'être il y a cinq ans (la liste communiste avait recueilli 2,49% des voix, ndlr)», a-t-il assuré. Il compte pour cela sur sa «liste de rassemblement», une expression répétée à l’envi lors d’une présentation à la presse ce lundi. Elle compte un tiers de communistes, un tiers de représentants syndicaux et un tiers de responsables d’autres partis politiques. L’ancien allié de Jean-Luc Mélenchon, le député européen et fondateur de la Gauche républicaine et socialiste Emmanuel Maurel, figure en troisième position sur la liste, non loin de Samia Jaber, une proche d’Arnaud Montebourg. L’ancien ministre socialiste devrait apporter son soutien public à la liste d’ici au scrutin."
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https://www.lefigaro.fr/politique/europeennes-avec-leur-liste-de-rassemblement-les-communistes-esperent-encore-dominer-la-gauche-20240311

Anonyme a dit…

Diversion massive au RN : en dire le moins possible pour ne mécontenter personne !...


"Face aux accusations de collusion avec la Russie de Vladimir Poutine, le Rassemblement national (RN) a déjà essayé le judo. Cela n’a pas vraiment marché : en essayant de retourner les attaques de leurs adversaires macronistes, les amis de Marine Le Pen se sont en fait plutôt enfoncés dans la mélasse. C’était l’année dernière. Régulièrement renvoyé à ses panégyriques passés et au prêt de neuf millions d’euros accordé par une banque tchéco-russe – «Vous parlez à votre banquier quand vous parlez à la Russie», avait lancé Macron à sa concurrente, en plein débat de second tour à la dernière présidentielle –, le parti d’extrême droite avait usé de son droit de tirage à l’Assemblée nationale pour convoquer une commission d’enquête sur les ingérences étrangères. Jean-Philippe Tanguy, numéro 2 du groupe parlementaire frontiste et stratège de l’opération, en avait pris la présidence, laissant à sa collègue macroniste Constance Le Grip le soin… d’écrire le rapport final, rendu en juin 2023, et de pointer son «soutien idéologique et une proximité affichée avec le régime de Poutine». «Sabotage», avait hurlé Tanguy, dénonçant un «rapport malhonnête», une «manipulation» et un «procès politique contre le RN». Bref, la commission s’était retournée contre son président et le parti de celui-ci."
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https://www.liberation.fr/politique/elections/sur-lukraine-le-silence-arme-de-diversion-massive-du-rn-20240312_URB4SLAROBCEFJZMHUAQU4X5WE/

Anonyme a dit…

LE LOUP DES AMBIGUÏTÉS DE L'ABSTENTION !

"Alors que les députés doivent s’exprimer mardi 12 mars sur la stratégie d’aide à l’Ukraine, les élus du groupe La France insoumise (LFI) ont annoncé à la mi-journée qu’ils avaient entériné la décision de s’y opposerSS, lors d’une réunion du groupe qui s’est tenue dans la matinée.

« Acceptons-nous que la France, puissance nucléaire, se mette en situation de guerre face à la Russie, puissance nucléaire ? », a asséné l’« insoumis » Arnaud Le Gall, lors d’un point presse mardi matin. « Le reste, c’est du simulacre », a-t-il ajouté, en disant considérer l’entrée de l’Ukraine dans l’UE et dans l’OTAN comme « inacceptable ».

Dimanche, le coordinateur du mouvement, Manuel Bompard, avait aussi exprimé des réserves sur ce vote, lors d’une interview sur RTL : il a estimé que « l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, ou l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN » sont « des lignes rouges », et qu’il « n’était pas question » pour lui de voter « en faveur de ce texte ».

Même discours chez les communistes. « Nous n’allons pas dire non à la solidarité avec l’Ukraine, mais non à l’escalade de guerre », a argumenté mardi le député Sébastien Jumel.

« Vous pensez vraiment que l’OTAN est un agresseur de la Russie ? Les pacifistes sont à l’ouest, mais les missiles sont à l’est », a réagi mardi matin Olivier Faure sur Franceinfo à l’adresse des « insoumis ».

Jordan Bardella, le président du Rassemblement national, avait déclaré pour sa part mardi matin sur France 2 que son parti s’abstiendrait lors du vote. « Sur ce texte dont nous pouvons soutenir le principe, il y a des lignes rouges », dit-il, en évoquant l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne et à l’OTAN."
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https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/03/12/debat-sur-l-ukraine-au-parlement-jordan-bardella-annonce-que-le-rn-s-abstiendra-ses-opposants-denoncent-son-ambiguite_6221559_823448.html

Anonyme a dit…

Taché étrille la direction des écolos et sa « logique d’entre-soi »

"Il ne cache pas non plus de francs désaccords avec la ligne du parti conduit par Marine Tondelier. Notamment sur le refus catégorique de celle-ci de présenter une liste commune à gauche pour l’échéance du 9 juin. « La direction pense avoir toujours raison, seule contre tous. Par exemple, pour la campagne des européennes, nous ne sommes associés à rien », déplore-t-il, estimant que si Marie Toussaint n’était pas opposée par principe à cette union, « elle a été empêchée par l’actuelle direction d’EELV qui est restée dans une logique d’entre-soi. »

« Pour l’écologie politique vue en grand, ce n’est pas avec eux qu’il faudra faire et il faudra encore être patient », égratigne-t-il encore.

Le député écologiste rejoint en outre les positions de la direction LFI sur le rôle que pourrait jouer Jean-Luc Mélenchon dans la prochaine élection présidentielle. « Je ne crois pas aux initiatives du tout sauf Mélenchon. Je ne sais pas s’il sera candidat ou pas. Mais les choses devront se faire avec lui et pourquoi pas derrière lui. Si on trouve que c’est la meilleure solution, on ne doit avoir aucun tabou là-dessus », estime-t-il.

Cette ligne posée, Aurélien Taché serait-il prêt à aller jusqu’à rejoindre les troupes mélenchonistes ? Son parcours tend à prouver qu’il pourrait l’être : avant d’être écologiste, le député a fait ses armes au Parti socialiste, puis s’est fait élire à l’Assemblée sous l’étiquette de la République en marche en 2017. Il a quitté le navire macroniste en 2020 et a co-fondé un mouvement Les Nouveaux démocrates, absorbé par EELV en décembre 2022. Entre-temps, il a été reconduit dans sa circonscription du Val-d’Oise, cette fois sous l’étiquette Nupes.

Une trajectoire mouvementée que le député assume auprès du Parisien : « Il m’est arrivé de changer de formation politique mais je n’ai jamais varié dans mes discours. » Et s’il déplore de n’avoir « jamais été vraiment accueilli » et « intégré » au sein des écologistes, il assure néanmoins vouloir continuer à siéger parmi eux au palais Bourbon."
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https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/europeennes-2024-aurelien-tache-depute-ecologiste-se-range-derriere-lfi-et-manon-aubry_231174.html