samedi 4 mars 2023

À partir du 7 mars, on bloque tout !


 
À partir du 7 mars, on bloque tout !
 
 
Du nouveau matériel pour mobiliser !
 
Contactez votre sénateur·rice !
Contactez votre sénateur
 
Le #GrevEvent revient ce week-end !
Retrouvez le site du GrevEvent
 
Demander l'organisation d'un café populaire ou d'une formation locale avec La Boétie
Faire une demande
 
Cette semaine dans l'Émission populaire
 
Les vidéos de la semaine
nt

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Que veut Mr Mélenchon ? La pagaille, la révolution ?
Ca suffit

Anonyme a dit…

Tu as des "soushis" de pagaille 11:39 ?
Même les R.G. ne savent plus...
Ça va être une déferlante ce mardi !


https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/reforme-des-retraites-jusqu-a-1-4-million-de-manifestants-attendus-mardi-en-france-selon-les-renseignements-1240883

Anonyme a dit…

AMI, ENTENDS-TU LA PAGAILLE S'INSTALLER ?

UN MOIS DE MARS ROUGE ? LE BLOCAGE, ARME ULTIME CONTRE MACRON
Le Média



https://youtu.be/SYPfIX_Ktg8



On sort en quelque sorte de l’Acte I de la bataille contre la réforme des retraites, qui était essentiellement parlementaire, où les insoumis s'étaient rendus maîtres du temps, et avec une pression parallèle de l’opinion par les manifestations et les sondages.

Dans l’Acte II le gouvernement reprend l’avantage et déroule son projet. Le parcours parlementaire n’est pas fini, il réserve sans doute quelques surprises, mais pas d’obstacles à proprement parler (Droite et Centre sont majoritaires au Sénat, ils sont favorables à la réforme dans ses grandes lignes et dirigent les débats).

La mobilisation du 7 mars et ses suites vont être déterminantes. C’est le moment de mettre en place un véritable rapport de forces qui vise le retrait pur et simple du projet par l’exécutif. Donc ça s’organise partout dans le pays : manifs, grèves, blocages et d'autres surprises que l’on découvrira le jour J.
La mise à l'arrêt de l'économie ne vise pas nécessairement directement Emmanuel Macron. Le but est que le patronat se dise "le jeu n’en vaut pas la chandelle", et que ses représentants prennent leur téléphone, et appellent Macron pour lui dire : “il faut arrêter maintenant !”.

Anonyme a dit…

Une mobilisation qui s’étend ?

"Derrière une motivation qui paraît inébranlable, Laurent Brun le confesse : « c’est quand même un sujet dans l’esprit des camarades : la peur d’être seul ». En 2019, la grève paraissait surtout portée par certains secteurs, ce qui avait rendu amers certains grévistes pourtant déterminés. Malgré tout, le secrétaire national des cheminots se veut rassurant : « on craint beaucoup moins la grève par procuration, car on voit que la mobilisation est plus massive. Et on s’organise pour que ça n’ait pas lieu ! ».

« On a conscience qu’on est dans des champs structurants de l’économie française, assure Emmanuel Lépine. S’il y a une grève dans nos secteurs, il y aura un impact et un effet d’entrainement ». Tous espèrent ainsi que leur mobilisation saura inspirer les salariés exerçant des professions précaires, ou peu enclines à des grèves longues et massives.

Pour Laurent Brun, les signes positifs ne manquent pas. « Il y a eu des mobilisations très importantes. Mais il n’y a pas 2 millions de syndiqués chevronnés. Certains pensaient que le nombre suffirait. Maintenant, les salariés ont compris que la carte démocratique, on pouvait la rentrer », abonde-t-il. « D’habitude, le vote d’une loi pèse sur les salariés lors d’un mouvement social, surtout les moins politisés. Or, ici, le vote de la loi à l’Assemblée Nationale n’a eu strictement aucun effet sur le niveau de mobilisation : on annonce la plus grosse journée le 7 mars ! ».

Loin de se jouer dans le théâtre parlementaire, la lutte aura davantage lieu dans la rue et les lieux de travail, assurent-ils en chœur. « Le vote d’une loi, ce n’est pas notre sujet. On veut imposer un rapport de force pour justement ne pas dépendre de ce vote », souligne Laurent Brun. De son côté, Sébastien Mesnesplier fixe un cap : « peu importe la suite, commission mixte paritaire ou retour à l’assemblée, adoption de la loi par le Sénat ou pas, on continuera jusqu’à ce qu’on gagne »."


https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/cinq-federations-cgt-lancer-greve-reconductible-030217005

Le Réboussier a dit…

Tu as eu peur de signer ce commentaire ami !!

Anonyme a dit…

« La victoire politique »

"Au soir du 7, il souhaite la mise en place « d’assemblées générales de salariés, mais aussi d’AG de citoyens ». « La réforme des retraites est emblématique du néolibéralisme. Si nous gagnons, nous allons marquer un point qui fera écho dans le monde entier ! ». Il ne s’agit « pas seulement » de la réforme des retraites, mais « d’un monde qu’il s’agit de faire tomber », a-t-il lancé.

Jean-Luc Mélenchon estime que la réforme gouvernementale n’a « pas de légitimité parlementaire » grâce à « la victoire politique » des insoumis, qui ont empêché d’aller jusqu’au vote du texte à l’Assemblée. Au Sénat, « il y a un intérêt supérieur à ce que rien ne soit voté. Si les sénateurs y arrivent, je leur tire mon chapeau. S’ils n’y arrivent pas, je les invite à s’inspirer de ce que font les insoumis ».

« Jeunesse, une fois que vous êtes dans la rue, une fois que vous aurez fait reculer Emmanuel Macron sur les retraites, ne vous arrêtez pas là : parlez-lui de Parcoursup», la plateforme d’orientation des lycéens très critiquée par la gauche, a invité un peu plus tôt le député Louis Boyard. « Quand les lycées et les facs sont bloqués, il y a une bascule. Vous allez gagner. »


https://www.20minutes.fr/societe/4026370-20230303-greve-7-mars-bloquez-tout-pouvez-demande-melenchon-etudiants

Anonyme a dit…

"Toutes deux vêtues d’un bleu de travail, Anne Passero et Violette Vaucher sont, ce soir-là, aux avant-postes du meeting contre la réforme des retraites qui se déroule à Alès (Gard). Les deux amies, qui ont rejoint le comité organisateur de l’événement, se mobilisent, ce 3 février, pour faire reculer le projet du gouvernement Macron. Elles veillent à trouver des chaises pour tout le monde. Dans la salle, plus de 500 personnes sont venues écouter la députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain et sa consœur d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) de Paris Sandrine Rousseau."
(…)


https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2023/03/05/les-cevennes-battent-la-campagne-contre-la-reforme-des-retraites_6164192_4500055.html