LES MACRONISTES N’AIMENT NI LA VÉRITÉ, NI LA DÉMOCRATIE BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/dmyHAz-9jp8
"L’autre jour, le 14 février, Élisabeth Borne, la Première ministre qui gouverne à grands coups de 49.3, a tweeté que « la démocratie, c’est la diversité des opinions et le respect de chacun. La démocratie c’est l’attachement à la vérité."
Pourtant, ce gouvernement dont la cheffe proclame son « attachement à la vérité » multiplie depuis des mois les contre-vérités sur la véritable nature de sa réforme des retraites. Ce gouvernement dont la cheffe lance de grands appels au « respect » d’autrui et à la « démocratie » bafoue « les oppositions » en usant de tous les leviers législatifs et parlementaires lui permettant d’imposer par la force cette réforme inique - et reste obstinément sourd aux protestations des Français, qui restent, eux, très majoritairement opposés à ce projet et qui manifestent par millions pour demander son retrait.
De sorte que pour se faire entendre, il va sans doute falloir que ces protestataires fassent beaucoup, beaucoup plus de bruit - en gardant toujours à l’esprit que les macronistes, retranchés dans leur autoritarisme, seront les seuls et uniques responsables de cette « radicalisation » devenue, par leur faute, inévitable et nécessaire."
Nouvel épisode de Quelle époque formidable, animé par Sebastien Fontenelle, à retrouver tous les jeudi sur Blast.
Journaliste : Sebastien Fontenelle Montage : Camille Chalot Réalisation : Mathias Enthoven Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Sophie Romillat Directeur du développement : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa Directeur de la rédaction : Denis Robert
RETRAITES : LE DOCUMENT CONFIDENTIEL QUI PEUT TOUT CHANGER (JÉRÔME GUEDJ) Le Média
https://youtu.be/VFGiHv-Ctmo
Réforme des retraites : le court temps de débat à l’Assemblée s’est achevé vendredi. La discussion va déménager au Sénat. Et en parallèle, l’intersyndicale appelle à mettre la France à l’arrêt à partir du 7 mars, c’est historique. Le climat est plus que tendu, que ce soit au Parlement ou dans la rue. En effet cela fait plus d’un mois que la réforme a été présentée par le gouvernement. Et depuis celui-ci ne cesse de se prendre les pieds dans le tapis, entre la nécessité de la réforme, la question des femmes, la pénibilité, ou encore ces fameux 1200 euros brut minimum par mois qui était l’argument “social” de la majorité. Et qui depuis a été démonté.
Désormais, nouvelle feuille de conduite pour la Macronie. On ne parle plus des 1200 euros bruts mais de “revalorisation”. Et même les nouveaux chiffres sur le nombre de bénéficiaires de la revalorisation promise ont été re-démontés, notamment par Jérôme Guedj, député du parti socialiste, vice-président de la Mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale à l’Assemblée, (MECSS), qui est allé les vérifier à la source, c’est-à-dire au siège de la Sécurité sociale. Le député a manifestement pu consulter l’avis rendu par le Conseil d’Etat sur le texte réformant les retraites. Ce qui pourrait ouvrir la voie à une remise en cause du projet de loi devant le Conseil constitutionnel. Jérôme Guedj est notre invité ce soir.
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SUR UN AIR DE FLÛTE...
LES MACRONISTES N’AIMENT NI LA VÉRITÉ, NI LA DÉMOCRATIE
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/dmyHAz-9jp8
"L’autre jour, le 14 février, Élisabeth Borne, la Première ministre qui gouverne à grands coups de 49.3, a tweeté que « la démocratie, c’est la diversité des opinions et le respect de chacun. La démocratie c’est l’attachement à la vérité."
Pourtant, ce gouvernement dont la cheffe proclame son « attachement à la vérité » multiplie depuis des mois les contre-vérités sur la véritable nature de sa réforme des retraites. Ce gouvernement dont la cheffe lance de grands appels au « respect » d’autrui et à la « démocratie » bafoue « les oppositions » en usant de tous les leviers législatifs et parlementaires lui permettant d’imposer par la force cette réforme inique - et reste obstinément sourd aux protestations des Français, qui restent, eux, très majoritairement opposés à ce projet et qui manifestent par millions pour demander son retrait.
De sorte que pour se faire entendre, il va sans doute falloir que ces protestataires fassent beaucoup, beaucoup plus de bruit - en gardant toujours à l’esprit que les macronistes, retranchés dans leur autoritarisme, seront les seuls et uniques responsables de cette « radicalisation » devenue, par leur faute, inévitable et nécessaire."
Nouvel épisode de Quelle époque formidable, animé par Sebastien Fontenelle, à retrouver tous les jeudi sur Blast.
Journaliste : Sebastien Fontenelle
Montage : Camille Chalot
Réalisation : Mathias Enthoven
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Sophie Romillat
Directeur du développement : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
RETRAITES : LE DOCUMENT CONFIDENTIEL QUI PEUT TOUT CHANGER (JÉRÔME GUEDJ)
Le Média
https://youtu.be/VFGiHv-Ctmo
Réforme des retraites : le court temps de débat à l’Assemblée s’est achevé vendredi. La discussion va déménager au Sénat. Et en parallèle, l’intersyndicale appelle à mettre la France à l’arrêt à partir du 7 mars, c’est historique. Le climat est plus que tendu, que ce soit au Parlement ou dans la rue. En effet cela fait plus d’un mois que la réforme a été présentée par le gouvernement. Et depuis celui-ci ne cesse de se prendre les pieds dans le tapis, entre la nécessité de la réforme, la question des femmes, la pénibilité, ou encore ces fameux 1200 euros brut minimum par mois qui était l’argument “social” de la majorité. Et qui depuis a été démonté.
Désormais, nouvelle feuille de conduite pour la Macronie. On ne parle plus des 1200 euros bruts mais de “revalorisation”. Et même les nouveaux chiffres sur le nombre de bénéficiaires de la revalorisation promise ont été re-démontés, notamment par Jérôme Guedj, député du parti socialiste, vice-président de la Mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale à l’Assemblée, (MECSS), qui est allé les vérifier à la source, c’est-à-dire au siège de la Sécurité sociale. Le député a manifestement pu consulter l’avis rendu par le Conseil d’Etat sur le texte réformant les retraites. Ce qui pourrait ouvrir la voie à une remise en cause du projet de loi devant le Conseil constitutionnel. Jérôme Guedj est notre invité ce soir.
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