La France est-elle plus CORROMPUE qu’on ne le pense ? - C Ce soir du 27 octobre 2022
https://youtu.be/dMlaiKuEMV8
Après un début de quinquennat compliqué, marqué par des crises politiques et sociales, le président essaie ce soir de convaincre les Français qu’il sait encore où il veut les emmener ces 5 prochaines années… Nous poserons la question : est-il condamné à être un gestionnaire de crise ou a-t-il réussi à donner du souffle et de la cohérence à son quinquennat ? On en débat avec : 📌 Fabrice ARFI, Journaliste, co-responsable du pôle “enquêtes” de Mediapart, auteur de « Pas tirés d’affaires » aux éditions du Seuil (14/10/22) 📌 Élise VAN BENEDEN, Présidente de ANTICOR, avocate 📌 Jean-Michel APHATIE, Journaliste politique, éditorialiste 📌 Antoine VEY, Avocat 📌 Sophie OBADIA, avocate
"Face aux acteurs de la lutte contre les incendies réunis dans la salle des fêtes de l'Elysée, le président de la République a estimé "faisable" ce "formidable chantier écologique et d'aménagement de notre territoire". "Ce que nous attendions, c'est des annonces sur l'Office national des forêts et il n'y en a pas eu, a regretté l'ingénieur Sylvain Angerand. On a tendance de moins en moins à se poser les bonnes questions de comment mieux gérer les forêts."
"Pour bien gérer les forêts, il faut des forestiers et c'est un métier, assure-t-il, dénonçant le fait que "ça fait vingt ans qu'on coupe les effectifs à l'ONF", avec une baisse de "40% des effectifs ces vingt dernières années." Pour lui, "c'est le moment, d'inverser les choses".
#RDLS158 : Biomimétisme, opposants russes, rencontre franco-allemande, les mensonges de Macron JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/tyj0joEwRz8
Dans ce 158e numéro de la Revue de la Semaine, Jean-Luc Mélenchon revient dans un premier temps sur les nombreuses alertes relatives au changement climatique et sur les actions à mener pour y faire face. Il explique que la modèle capitaliste tire profit du saccage de la nature et que par conséquent il se n’arrêtera pas. Il rappelle également qu’il est désormais acté que le changement climatique a commencé et qu’il est irréversible. La question est alors de savoir comment l’humanité peut s’adapter à ce changement afin de poursuivre son existence. Pourtant, Jean-Luc Mélenchon souligne que le gouvernement ne fait toujours rien pour y faire face et est régulièrement condamné à cause de son inaction.
Il explique en quoi consiste le biomimétisme : créer de nouvelles machines innovantes en s’inspirant des évolutions déjà présentes dans la nature afin de répondre à certains problèmes. Il souligne que cela fait partie des solutions qui pourront permettre de s’adapter au changement climatique. Il raconte les différentes inventions qu’il a pu découvrir lors de sa visite du Biomim’expo et pourquoi cette branche de la production est passionnante et indispensable.
Jean-Luc Mélenchon aborde ensuite la rencontre émouvante et politiquement significative avec les socialistes russes contre la guerre à laquelle il a participé avec le groupe parlementaire LFI-NUPES. Il rappelle à quel point il est important pour lutter contre cette guerre de soutenir les opposants russes qui se battent pour la paix. Leur action s’ajoute à celle des ukrainiens qui se battent contre l’invasion menée par M. Poutine.
Jean-Luc Mélenchon poursuit sur l’actualité internationale en parlant des relations entre le gouvernement français et le gouvernement allemand qui sont en train de se dégrader. Il rappelle comment le pouvoir allemand agit dans son intérêt propre à chaque fois, en trahissant pendant des années les gouvernements français successifs. Il appelle donc à ne pas leur faire confiance et dénonce les médias qui parlent sans cesse du « couple » franco-allemand, qui n’existe pas en réalité.
Il termine cette Revue de la Semaine en revenant sur l’intervention du 26 octobre d’Emmanuel Macron sur France 2. Il explique que le président ment à plusieurs reprises lors de l’émission, tout d’abord en faussant les chiffres mais aussi en attaquant la NUPES sur une soi-disant alliance avec le RN. Jean-Luc Mélenchon rappelle que les macronistes étaient particulièrement heureux d’avoir les votes du RN pour refuser l’augmentation du SMIC, l’ISF ou encore le gel des loyers que proposait la NUPES. Il indique que le plan de Macron consiste en réalité à s’allier avec LR pour faire passer ses lois. Il souligne enfin que la NUPES n’a pas peur de la démocratie et est prête à gouverner si dissolution il y a. D'ailleurs, un récent sondage montre que la NUPES est perçue par une majorité de Français comme la première alternative à Emmanuel Macron.
SOMMAIRE 00:00 : Introduction 00:23 : Nature, science et biomimétisme 12:57 : Rencontre avec les opposants russes à la guerre 16:17 : Rencontre Macron/Scholz 21:07 : Les mensonges de Macron
VONT-ILS LÂCHER LE BOSS ? CES MACRONISTES QUI S'Y VOIENT DÉJÀ Le Média
https://youtu.be/hRs85L028xw
Mercredi soir dans l’émission “L’évènement” sur France 2, Emmanuel Macron a voulu rassurer, montrer qu’il avait anticipé, que c’était toujours lui le pilote. Il semble plutôt naviguer à vue et semble gagné par une certaine fébrilité politique.
Il faut dire que l'état de la macronie n’est pas au beau fixe : difficultés avec les oppositions parlementaires, difficultés internes à Ensemble, et enfin, difficultés avec des macronistes de premier plan.
Au fil des jours, depuis cet été, s’allonge une liste de micro-dissidences qui tranchent avec la verticalité verrouillée du premier mandat. Yaël Braun-Pivet, François Bayrou, les ministres Darmanin et Le Maire, Edouard Philippe, tous semblent vouloir jouer leur propre partition.
Ces trajectoires dissonantes sont certes celles de personnalités influentes, mais il reste difficile d’en anticiper les effets. Mais qu’ils s’agissent de désaccords superficiels ou de profonds dissensus sur le cap à suivre, Macron apparaît hésitant et désorienté. Indéniablement, il n’est plus le maître des horloges.
FRANCE : VERS LA MISE À MORT DE L’ÉTAT DE DROIT BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/AXkwZqirtbo
D’abord, Emmanuel Macron a fait supprimer, avec la collaboration active du RN, la redevance télévisuelle, aggravant la dépendance des médias publics aux politiques. Puis, son Gouvernement a réquisitionné les moyens humains nécessaires pour mettre en échec une grève causée par la captation des super-profits par les super-riches.
Les manifestations que cette politique engendre sont de plus en plus violemment réprimées, imprimant chez les Français une crainte à exercer ce droit fondamental.
Et cerise sur le gâteau, partout en Europe, le discours xénophobe, racialiste et anti-droits de l’homme gagne une visibilité inconcevable depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Une ministre anglaise rêve de pouvoir déporter par avions entiers des migrants jusqu’au Rwanda. « Pour leur bien », pour qu’ils puissent demander l’asile dans de bonnes conditions.
La société moderne, fondée sur un pacte fondamental de garantie de l’autonomie du Peuple est balayée par les peurs et angoisses existentielles, qui justifient tous les piétinements aux principes démocratiques.
Piétinements en Hongrie, par exemple, où l’essentiel des médias est contrôlé par les proches et fidèles du pouvoir. Piétinements encore en Pologne, où les juges sont progressivement mis sous la tutelle du pouvoir exécutif. Piétinements en Russie enfin, où les opposants pacifiques aux décisions poutiniennes sont molestés, violemment incarcérés et persécutés.
La situation peut paraître désespérante, mais c’est parce que les piliers fondamentaux de nos sociétés démocratiques vacillent. Le vivre ensemble, autour de valeurs communes, permettant un espace d’échange et de partage, est sensiblement menacé. Les droits de l’homme, qui furent longtemps un terrain d’entente entre droite et gauche, reçoivent des coups de plus en plus durs. La démocratie, qui a justifié tant de fronts républicains, est de plus en plus fragile et réduite. Notre Assemblée nationale a bien du mal à s’accorder sur les grandes valeurs qui nous unissent et seuls des accords superficiels et de circonstances arrivent à se conclure.
Dans l’épisode précédent, on a vu que les droits de l’homme sont ces prérogatives garanties juridiquement et inaliénables, accordées du seul fait d’être humain.
On a vu qu’ils avaient été pensés à la fois contre l’arbitraire des Rois, et pour fabriquer une société plus juste. Ces droits humains ont reçu un tout nouveau visage après la seconde guerre mondiale. Les atrocités commises à Auschwitz comme à Hiroshima ont rappelé à quel point il fallait que ces principes fondamentaux reçoivent une protection efficace.
Pas juste des mots. Des actes.
Pour ça, on a imaginé une autre façon de faire la politique, où les élus seraient vraiment tenus au respect des droits de l’homme.
Et pour cela on a créé des juges spécialisés, qui vérifient que les hommes politiques n’abusent pas de leurs prérogatives, et, si jamais ils en abusent, qui peuvent annuler des décisions prises contre la volonté solennelle du Peuple souverain." [...]
"Deux jours après avoir bloqué une autoroute et interrompu un Opéra à Bastille, le collectif Dernière Rénovation s’attaque ce mercredi à l’Assemblée nationale. Plusieurs militants ont marché en toute fin de matinée sur le pont traversant la Seine en direction de la chambre basse du Parlement, avant de faire un « sit-in » sur la route et de bloquer la circulation. À 13 heures, aucun incident notable n’avait été rapporté." (...)
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La France est-elle plus CORROMPUE qu’on ne le pense ? - C Ce soir du 27 octobre 2022
https://youtu.be/dMlaiKuEMV8
Après un début de quinquennat compliqué, marqué par des crises politiques et sociales, le président essaie ce soir de convaincre les Français qu’il sait encore où il veut les emmener ces 5 prochaines années… Nous poserons la question : est-il condamné à être un gestionnaire de crise ou a-t-il réussi à donner du souffle et de la cohérence à son quinquennat ? On en débat avec :
📌 Fabrice ARFI, Journaliste, co-responsable du pôle “enquêtes” de Mediapart, auteur de « Pas tirés d’affaires » aux éditions du Seuil (14/10/22)
📌 Élise VAN BENEDEN, Présidente de ANTICOR, avocate
📌 Jean-Michel APHATIE, Journaliste politique, éditorialiste
📌 Antoine VEY, Avocat
📌 Sophie OBADIA, avocate
Cynisme encore...
"Face aux acteurs de la lutte contre les incendies réunis dans la salle des fêtes de l'Elysée, le président de la République a estimé "faisable" ce "formidable chantier écologique et d'aménagement de notre territoire". "Ce que nous attendions, c'est des annonces sur l'Office national des forêts et il n'y en a pas eu, a regretté l'ingénieur Sylvain Angerand. On a tendance de moins en moins à se poser les bonnes questions de comment mieux gérer les forêts."
"Pour bien gérer les forêts, il faut des forestiers et c'est un métier, assure-t-il, dénonçant le fait que "ça fait vingt ans qu'on coupe les effectifs à l'ONF", avec une baisse de "40% des effectifs ces vingt dernières années." Pour lui, "c'est le moment, d'inverser les choses".
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/incendie/un-milliard-d-arbres-plantes-d-ici-dixans-il-faut-surtout-des-forestiers-qui-s-occupent-de-nos-forets-demande-l-association-canopee_5445436.html
#RDLS158 : Biomimétisme, opposants russes, rencontre franco-allemande, les mensonges de Macron
JEAN-LUC MÉLENCHON
https://youtu.be/tyj0joEwRz8
Dans ce 158e numéro de la Revue de la Semaine, Jean-Luc Mélenchon revient dans un premier temps sur les nombreuses alertes relatives au changement climatique et sur les actions à mener pour y faire face. Il explique que la modèle capitaliste tire profit du saccage de la nature et que par conséquent il se n’arrêtera pas. Il rappelle également qu’il est désormais acté que le changement climatique a commencé et qu’il est irréversible. La question est alors de savoir comment l’humanité peut s’adapter à ce changement afin de poursuivre son existence. Pourtant, Jean-Luc Mélenchon souligne que le gouvernement ne fait toujours rien pour y faire face et est régulièrement condamné à cause de son inaction.
Il explique en quoi consiste le biomimétisme : créer de nouvelles machines innovantes en s’inspirant des évolutions déjà présentes dans la nature afin de répondre à certains problèmes. Il souligne que cela fait partie des solutions qui pourront permettre de s’adapter au changement climatique. Il raconte les différentes inventions qu’il a pu découvrir lors de sa visite du Biomim’expo et pourquoi cette branche de la production est passionnante et indispensable.
Jean-Luc Mélenchon aborde ensuite la rencontre émouvante et politiquement significative avec les socialistes russes contre la guerre à laquelle il a participé avec le groupe parlementaire LFI-NUPES. Il rappelle à quel point il est important pour lutter contre cette guerre de soutenir les opposants russes qui se battent pour la paix. Leur action s’ajoute à celle des ukrainiens qui se battent contre l’invasion menée par M. Poutine.
Jean-Luc Mélenchon poursuit sur l’actualité internationale en parlant des relations entre le gouvernement français et le gouvernement allemand qui sont en train de se dégrader. Il rappelle comment le pouvoir allemand agit dans son intérêt propre à chaque fois, en trahissant pendant des années les gouvernements français successifs. Il appelle donc à ne pas leur faire confiance et dénonce les médias qui parlent sans cesse du « couple » franco-allemand, qui n’existe pas en réalité.
Il termine cette Revue de la Semaine en revenant sur l’intervention du 26 octobre d’Emmanuel Macron sur France 2. Il explique que le président ment à plusieurs reprises lors de l’émission, tout d’abord en faussant les chiffres mais aussi en attaquant la NUPES sur une soi-disant alliance avec le RN. Jean-Luc Mélenchon rappelle que les macronistes étaient particulièrement heureux d’avoir les votes du RN pour refuser l’augmentation du SMIC, l’ISF ou encore le gel des loyers que proposait la NUPES. Il indique que le plan de Macron consiste en réalité à s’allier avec LR pour faire passer ses lois. Il souligne enfin que la NUPES n’a pas peur de la démocratie et est prête à gouverner si dissolution il y a. D'ailleurs, un récent sondage montre que la NUPES est perçue par une majorité de Français comme la première alternative à Emmanuel Macron.
SOMMAIRE
00:00 : Introduction
00:23 : Nature, science et biomimétisme
12:57 : Rencontre avec les opposants russes à la guerre
16:17 : Rencontre Macron/Scholz
21:07 : Les mensonges de Macron
VONT-ILS LÂCHER LE BOSS ? CES MACRONISTES QUI S'Y VOIENT DÉJÀ
Le Média
https://youtu.be/hRs85L028xw
Mercredi soir dans l’émission “L’évènement” sur France 2, Emmanuel Macron a voulu rassurer, montrer qu’il avait anticipé, que c’était toujours lui le pilote. Il semble plutôt naviguer à vue et semble gagné par une certaine fébrilité politique.
Il faut dire que l'état de la macronie n’est pas au beau fixe : difficultés avec les oppositions parlementaires, difficultés internes à Ensemble, et enfin, difficultés avec des macronistes de premier plan.
Au fil des jours, depuis cet été, s’allonge une liste de micro-dissidences qui tranchent avec la verticalité verrouillée du premier mandat. Yaël Braun-Pivet, François Bayrou, les ministres Darmanin et Le Maire, Edouard Philippe, tous semblent vouloir jouer leur propre partition.
Ces trajectoires dissonantes sont certes celles de personnalités influentes, mais il reste difficile d’en anticiper les effets. Mais qu’ils s’agissent de désaccords superficiels ou de profonds dissensus sur le cap à suivre, Macron apparaît hésitant et désorienté. Indéniablement, il n’est plus le maître des horloges.
FRANCE : VERS LA MISE À MORT DE L’ÉTAT DE DROIT
BLAST, Le souffle de l'info
https://youtu.be/AXkwZqirtbo
D’abord, Emmanuel Macron a fait supprimer, avec la collaboration active du RN, la redevance télévisuelle, aggravant la dépendance des médias publics aux politiques. Puis, son Gouvernement a réquisitionné les moyens humains nécessaires pour mettre en échec une grève causée par la captation des super-profits par les super-riches.
Les manifestations que cette politique engendre sont de plus en plus violemment réprimées, imprimant chez les Français une crainte à exercer ce droit fondamental.
Et cerise sur le gâteau, partout en Europe, le discours xénophobe, racialiste et anti-droits de l’homme gagne une visibilité inconcevable depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Une ministre anglaise rêve de pouvoir déporter par avions entiers des migrants jusqu’au Rwanda. « Pour leur bien », pour qu’ils puissent demander l’asile dans de bonnes conditions.
La société moderne, fondée sur un pacte fondamental de garantie de l’autonomie du Peuple est balayée par les peurs et angoisses existentielles, qui justifient tous les piétinements aux principes démocratiques.
Piétinements en Hongrie, par exemple, où l’essentiel des médias est contrôlé par les proches et fidèles du pouvoir. Piétinements encore en Pologne, où les juges sont progressivement mis sous la tutelle du pouvoir exécutif. Piétinements en Russie enfin, où les opposants pacifiques aux décisions poutiniennes sont molestés, violemment incarcérés et persécutés.
La situation peut paraître désespérante, mais c’est parce que les piliers fondamentaux de nos sociétés démocratiques vacillent. Le vivre ensemble, autour de valeurs communes, permettant un espace d’échange et de partage, est sensiblement menacé. Les droits de l’homme, qui furent longtemps un terrain d’entente entre droite et gauche, reçoivent des coups de plus en plus durs. La démocratie, qui a justifié tant de fronts républicains, est de plus en plus fragile et réduite.
Notre Assemblée nationale a bien du mal à s’accorder sur les grandes valeurs qui nous unissent et seuls des accords superficiels et de circonstances arrivent à se conclure.
Dans l’épisode précédent, on a vu que les droits de l’homme sont ces prérogatives garanties juridiquement et inaliénables, accordées du seul fait d’être humain.
On a vu qu’ils avaient été pensés à la fois contre l’arbitraire des Rois, et pour fabriquer une société plus juste. Ces droits humains ont reçu un tout nouveau visage après la seconde guerre mondiale. Les atrocités commises à Auschwitz comme à Hiroshima ont rappelé à quel point il fallait que ces principes fondamentaux reçoivent une protection efficace.
Pas juste des mots. Des actes.
Pour ça, on a imaginé une autre façon de faire la politique, où les élus seraient vraiment tenus au respect des droits de l’homme.
Et pour cela on a créé des juges spécialisés, qui vérifient que les hommes politiques n’abusent pas de leurs prérogatives, et, si jamais ils en abusent, qui peuvent annuler des décisions prises contre la volonté solennelle du Peuple souverain."
[...]
"Deux jours après avoir bloqué une autoroute et interrompu un Opéra à Bastille, le collectif Dernière Rénovation s’attaque ce mercredi à l’Assemblée nationale. Plusieurs militants ont marché en toute fin de matinée sur le pont traversant la Seine en direction de la chambre basse du Parlement, avant de faire un « sit-in » sur la route et de bloquer la circulation. À 13 heures, aucun incident notable n’avait été rapporté."
(...)
https://www.leparisien.fr/societe/derniere-renovation-la-circulation-bloquee-par-des-militants-devant-lassemblee-nationale-02-11-2022-DIOKCFU5FVEDLG6SC4TPEBTYBQ.php
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