dimanche 14 août 2022

Quand on est con on est con... L'âge ne fait rien à l'affaire

Note réboussière
Voyez vous chers amis pour bien « tenir et soumettre  un peuple » il faut l ‘inquiéter , l’ effrayer 
Un troupeau de moutons apeuré fait n’importe quoi ! Et suit son sauveur
Les diverses religions ont bien su exploiter ce phénomène 




Envoyé par TON VAN

 À ma connaissance il n'y avait pas de moteurs à explosion avant 1856 ! donc pas de voitures - d'avions - de porte-conteneurs pas d'industries ou chauffages utilisant le fuel lourd etc. . . et pourtant  il y a eu des canicules pires que celle de 2019 ! ! ! Pourquoi ? ? ?

"That is the question" !

 Lisez ci-dessous et vous serez peut être surpris comme je l'ai été !

La canicule juin 2019... et LES AUTRES !!!!

 Pour info...

Voilà ce que l'on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet....1852 !

Vous pouvez trouver le fac simulé sur internet.

 "En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s'asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.

En 1152 la chaleur était si intense que l'on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.

En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d'avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.

En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.

En 1393 et 1394 un grand nombre d'animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.

En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l'Europe.

En 1615 et 1616 la canicule s'abattit sur la France, l'Italie et les Pays-Bas.

En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau.

Les mêmes évènements se reproduisirent au XVIIIe siècle.

En 1718 il n'y eut aucune pluie entre les mois d'avril et octobre.

Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives.

Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes.

En 1746 l'été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées.

Pendant plusieurs mois il n'y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d'été furent excessives

En 1811, l'année de la comète, l'été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.

En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.

En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.

En 1832, lors de l'insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.

En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l'année le thermomètre afficha 34 degrés".

Il s'agit bien d'un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Je vous mets en pièce jointe l'interview de l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et rediffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !

Libération précise que son livre "Histoire du climat depuis l'an mil" (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur...

Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l'éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d'aujourd'hui.

Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 €. A ce prix là, il ne faut pas se priver de s'instruire.

Libération, serait donc devenu complice des climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l'importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d'origine anthropique ?

Ceux qui font remarquer qu'à une époque où il n'y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle

(avec son CO2, gaz vital, que l'on nous présente pourtant comme un polluant),

il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sècheresses catastrophiques, entrainant des centaines de milliers de morts...

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu'on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?

C'est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l'évidence il n'y a rien de nouveau sous le soleil !

 

PS : amusez-vous à taper "sècheresse 1718" sur Google et vous en saurez beaucoup plus.

A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n'a encore jamais eu d'antécédents, car provoqué par l'activité humaine.. (CATHECHISME DES MEDIAS MONDIALISTES;

Chapitre : Ils sont très cons; profitons-en !)

après tout comme le chante BRASSENS :

"Quand on est con on est con... L'âge ne fait rien à l'affaire "

 

11 commentaires:

julian louis a dit…

il ne faut pas exonérer l'homme de sa responsabilité sous prétexte que le climat sur terre varie depuis toujours .
Nous sommes peut être dans une période de réchauffement "naturel"de la terre que les émissions de divers gaz à effet de serre non "naturelles" accentuent ...
Reste à voir si la réduction de ces émissions auraient un effet important ..
Mais une diminution ,même minime , est bien venue quand on frôle les limites .
37° est la t° d'un humain en bonne santé ,40° fait de lui un malade et 43° un mort .
En 2003 avec un pic à 43°mes vignes ont bien souffert , en 2019 avec 46°il y a eu de la casse , 2 ou 3 degré de plus et je ne saurais plus produire de quoi vous nourrir ...
Mourir de faim dans une maison climatisée ,c'est peut être moins pire que crever de soif dans un désert mais le résultat est le même..
Et pour toi Reb , quand les moutons se jettent dans un précipice ,ce n'est point pour suivre un sauveur mais pour suivre un qui leur semble être un sauveur , comme tous ceux qui ont voté pour ton Macrouné préféré ...

Anonyme a dit…

Bigre.
Les Gogophiles seraient-ils les apôtres du marc de café soluble dans le temps ?



https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/les-temperatures-elevees-du-passe-n-invalident-pas-le-rechauffement-climatique_165493

Le Réboussier a dit…

J’en vois qui veulent absolument être coupables

« Vergez » vous avec des orties

Anonyme a dit…

Si Vénus m'étais contée Reb, j'employerai les orties à autre chose que pour me "verger"...
J'ai dégrossi ma cul-pabilité pour maintenir un équilibre entre émotionnel et rationnel, indispensable pour ne pas sombrer dans une caricature de débauché.
Et puis en ce jour d'assomption , je ne participerai pas au complot tribal vers lequel nous conduisent les religions monothéistes depuis la nuit des temps.
Simple respect pour les croyants.


https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/cahier-de-vacances/parmi-les-planetes-du-systeme-solaire-laquelle-tourne-dans-le-sens-inverse-par-rapport-aux-autres_5240995.html

Unknown a dit…

Quand on est con, on est con
LE TEMPS ne fait rien à l'affaire (et non l'âge)

Anonyme a dit…

T’as l’ air d’ etre un specialiste !

Unknown a dit…

Juste de Brassens, à lire, écouter, re-lire et re-écouter sans modération !

Anonyme a dit…

À chacun sa con-tribution !

"Mes p’tites chéries, éteignez votre wifi et baissez votre chauffage, mais surtout, restez branchés sur C8." C. H.
(...)


https://www.midilibre.fr/2022/08/17/cyril-hanouna-filme-a-monaco-dans-son-4x4-considere-comme-le-plus-puissant-au-monde-cree-la-polemique-10492821.php

Anonyme a dit…

Con de gosse !

« Compte tenu de son âge et de l’absence d’antécédents, une convocation à bref délai lui a été remise pour effectuer une mesure de réparation pénale devant un délégué du procureur, conformément aux dispositions du code de la justice pénale des mineurs », indique le parquet."
(...)


https://www.huffingtonpost.fr/france/article/morbihan-un-adolescent-de-12-ans-reconnait-avoir-allume-des-feux-pres-de-la-foret-de-broceliande_206771.html

Anonyme a dit…

SÉCHERESSE : UN DANGER (POUR LE) NUCLÉAIRE
Le Média



https://youtu.be/Nbl6DZ46Ubc



Depuis le début de l’été, des périodes de sécheresse se succèdent dans toute l’Europe. Les centrales nucléaires qui nécessitent de l’eau pour refroidir leurs réacteurs voient leurs moyens de prélèvement limités aux abords des fleuves. Pénurie d'électricité ou accidents nucléaires sont envisageables dans les scénarios les plus catastrophiques.

Des fleuves toujours plus secs et cela dans toute l’Europe. Un phénomène, conséquence du dérèglement climatique toujours plus inquiétant. Outre les conséquences sur la biodiversité, le manque d’eau est un aspect inquiétant concernant les centrales nucléaires. En effet, ces dernières ont besoin d’eau pour refroidir leurs réacteurs. Une eau qui est ensuite rejetée en mer ou dans les fleuves à des températures élevées.

Ce fonctionnement induit deux inquiétudes quant au manque d’eau dans les fleuves. D’un côté, une incapacité à refroidir les réacteurs, de l’autre une eau rejetée trop chaude en comparaison à l’environnement qui la reçoit, ce qui impacterait la biodiversité qui y vit.

Face au premier problème, Cécile Laugier, Directrice Environnement et Prospective à EDF énonçait pouvoir y faire face lors d’une conférence de presse sur la résilience de installations nucléaires face aux sécheresses et aux canicules le 5 juillet 2022 : “Ces échangeurs de chaleur peuvent fonctionner dans des situations qui peuvent être très chaudes, voire fonctionner dans des situations où il y aurait peu d’eau. On a en effet adapté de façon très précautionneuse les prises d’eau, et notamment les prises d’eau de sûreté.”.

Face au second, les solutions ne sont pas les mêmes. Le 6 août, l’Autorité de sûreté du nucléaire (ASN) a prolongé les dérogations autorisant 4 centrales nucléaires sur les 18 en activité en France (celles du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Golfech (Tarn-et-Garonne) et de Saint-Alban-Saint-Maurice (Isère)) à rejeter des eaux plus chaudes.

Mais d’après Martial Chateau, porte-parole du collectif Sortir du nucléaire, cette décision n’est pas sans conséquences : “Si on rejette une grande quantité d’eau chaude dans un débit faible, ça va échauffer l’eau de la rivière globalement (...) C’est très dommageur pour la vie aquatique”. Martial Chateau explique que “Le premier consommateur d’eau ce sont les centrales nucléaires”, pour lui “Quand il n’y en a plus, la seule chose qu’il faut faire c’est les arrêter”.

Anonyme a dit…

ARCHÉOLOGIE - "Des trésors du passé déterrés par la sécheresse. Le changement climatique a montré son terrible visage cet été 2022. Incendies, pénurie d’eau, inondations et bien sûr, sécheresse extrême. À tel point qu’il faut remonter à l’été 1976 pour constater un déficit pluviométrique plus important qu’en juillet 2022. Et comme un avertissement venu du passé, des vestiges refont surface.

Ville fantôme en Espagne, pont de l’empereur Néron en Italie, cité mésopotamienne en Irak : le recul des lits des fleuves et les champs asséchés ont mis en lumière des sites archéologiques somptueux cette année. Le HuffPost vous entraîne dans un tour du monde de ces découvertes qui reflètent la gravité et la rapidité du dérèglement climatique."
(...)


https://www.huffingtonpost.fr/environnement/video/ces-vestiges-sont-devoiles-par-la-secheresse-et-il-y-a-de-quoi-s-inquieter_206739.html