lundi 22 août 2022

La presse est un métier qui impose des devoirs et ne peut se cantonner à des opérations financières ou des stratégies d’influence

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Tweeté par Le Gorafi sur Twitter" :
"La Société des journalistes (SDJ) du magazine Paris Match a voté une motion de défiance contre la direction après le départ d'un des rédacteurs en chef, Bruno Jeudy. La motion a été votée vendredi, au lendemain de l'annonce du départ du rédacteur en chef politique et économie de l'hebdomadaire, par 60 voix pour, deux contre et huit blancs, sur un total de 78 inscrits à la Société des journalistes, a annoncé cette dernière dimanche soir à l'AFP.


« Nous considérons que l'avenir de Paris Match est menacé et ce, dans le contexte de la prise de contrôle du groupe Lagardère, propriétaire de Paris Match, par le groupe Vivendi et son actionnaire de référence, le groupe Bolloré », s'alarment les journalistes. « La presse est un métier qui impose des devoirs et ne peut se cantonner à des opérations financières ou des stratégies d'influence», poursuivent-ils dans une lettre accompagnant la motion."

5 commentaires:

Anonyme a dit…

L'épaulard Bolloré et les orques

En réalité, ces terrifiantes attaques pourraient n’être qu’un jeu mené par quelques mâles juvéniles turbulents estime Jared Towers : «Ces jeux s’imposent parfois pendant quelques temps avant de disparaître. La société orque fonctionne beaucoup par mode. Par exemple, dans les années 90, les épaulards s’amusaient à tuer des poissons et à nager avec leur victime sur la tête… Ça les a amusés un temps et puis ils sont passés à autre chose.»


https://www.parismatch.com/Actu/Environnement/Mystere-en-mer-les-orques-passent-a-l-attaque-1821939

Anonyme a dit…

VINCENT ET KENES SONT SUR UN BATEAU...

UN PUISSANT OLIGARQUE VEUT RÉDUIRE LE MÉDIA AU SILENCE
Le Média



https://youtu.be/7yc_OmTOynU




En mars dernier, notre journaliste Thomas Dietrich avait enquêté sur Kenes Rakishev, un milliardaire kazakh qui fricote aussi bien avec Joe Biden qu’avec Ramzan Kadyrov, le sanguinaire président de la Tchétchénie. Au Média, nous avions révélé que Kenes Rakishev avait été embauché comme consultant par Alstom, pour favoriser les projets de la multinationale française au Kazakhstan. Un cas manifeste de corruption. Lors de notre enquête, nous avions aussi découvert que l’oligarque avait voulu acheter une légion d’honneur française.

Toutes ces révélations n’ont pas plu à Kenes Rakishev… mais alors pas du tout. Un grand cabinet d’avocats nous a écrit depuis Londres pour le compte du milliardaire kazakh. Le cabinet « Schillings » nous a fait savoir que si Le Média ne retirait pas son enquête avant le 15 août et ne présentait pas des excuses publiques à Kenes Rakishev, l’oligarque nous ferait poursuivre en Grande-Bretagne et au Pays de Galles.

Manifestement, nos enquêtes dérangent. Elles font même peser sur nous de graves menaces. Mais nous n’avons pas peur. Au Média, nous n’avons l’immense fierté de ne dépendre d’aucun milliardaire ni d’aucun oligarque, qui nous dirait sur quoi enquêter ou sur quoi ne pas investiguer. Si demain, nous sommes poursuivis en justice en France, en Angleterre ou au Pays de Galles, dans des procédures-baillons qui nous coûteront très cher, nous irons la tête haute et le regard fier, sachant que nous pourrons toujours compter sur vous qui faites vivre Le Média par vos dons et vos abonnements.

Consultez l'enquête qui nous vaut ces intimidations : https://www.lemediatv.fr/articles/202... (accès réservé aux abonnés du Média)

Anonyme a dit…

"Alors qu’elle a subi des pénuries d’eau sur son territoire, la Hollande découvre avec stupeur que les datacenters Middenmeer de Microsoft ont consommé 84 millions de litres d’eau potable en 2021, soit 4 à 7 fois plus que les engagements pris.

* Microsoft et la municipalité de Hollands-Kroon, aux Pays-Bas, s’étaient engagés pour le site Middenmeer, où l’éditeur gère plusieurs datacenters, à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an.

* L’information est classifiée, mais le média local Noordhollands Dagblad a découvert et révélé qu’en 2021 le site a consommé 84 millions de litres d’eau.

* L’enquête a révélé que les chiffres ajustés de consommation d’eau par Microsoft publiés par la municipalité indiquent que Microsoft a utilisé 75 millions de litres pour refroidir ses datacenters et 9 millions de litres pour d’autres usages.

* Google possède également des installations importantes dans la province de Noord-Holland…

* Entre les nouvelles installations de datacenters et le climat de cette saison estivale, les chiffres de la consommation d’eau dans les datacenters bataves risquent fort d’être nettement plus élevés en 2022, voire dans les années à venir.

Le gouvernemental hollandais a révélé que les 28 datacenters de Wieringermeer, où sont situés ceux de Microsoft et de Google, ont utilisé 550 millions de litres d’eau potable, soit 0,5 % de l’approvisionnement total en eau potable de la région, qui était de 112 milliards de litres."


https://datacenter-magazine.fr/la-hollande-soumise-aux-penuries-decouvre-que-les-dc-de-microsoft-ont-consomme-84-millions-de-litres-deau-potable/

Anonyme a dit…

Un journaliste de la rédaction a dénoncé un emploi fictif au sein de la rédaction du journal satirique "Le Canard Enchainé". La compagne d'un dessinateur aurait été rémunérée par l'hebdomadaire, sans y avoir travaillé.

"Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "abus de biens sociaux" et "recel", à la suite de la plainte d’un journaliste de la rédaction. Christophe Nobili, l’un des auteurs de l’enquête sur les emplois fictifs du couple Fillon, a mis au jour la présence dans les effectifs du Canard Enchaîné d’une salariée qu’il ne connaissait pas, et qui s’est révélée être la compagne d’un dessinateur de l’hebdomadaire."
(...)


https://www.radiofrance.fr/franceinter/une-enquete-ouverte-sur-des-soupcons-d-emploi-fictif-au-sein-du-canard-enchaine-2524910

Anonyme a dit…

«Il ne s'agit pas d'argent public»

"L'enquête déterminera si «ce montage, qui peut, certes, paraître un peu acrobatique n'est pas exempt de reproches sur le plan administratif», estime le journal, visé par une enquête préliminaire pour abus de bien sociaux et recel d'abus de bien sociaux. «Mais où est la victime ? (...) Qui a été lésée ?» Ni l'État, ni l'Urssaf, ni les Impôts, répond le Canard. Indépendant financièrement, l'hebdomadaire assure ne pas avoir «l'habitude de jeter l'argent par les fenêtres». Et «il ne s'agit pas d'argent public comme dans l'affaire Fillon», ajoute-t-il après avoir été «sévèrement canardé sur le thème facile de l'arroseur arrosé».

Face à des tensions ces derniers mois, la rédaction du Canard enchaîné s'est dotée d'une cellule syndicale à l'initiative du journaliste Christophe Nobili, devenu délégué syndical en mai. Le journaliste est l'un des trois enquêteurs du Canard enchaîné à l'origine des révélations, en 2017, sur les soupçons d'emploi fictif visant François Fillon et sa femme Penelope. Désormais, cette affaire présumée d'emploi fictif risque de dégrader l'ambiance au sein de la rédaction."


https://www.lefigaro.fr/medias/le-canard-enchaine-dement-avoir-eu-recours-a-un-emploi-fictif-20220831