MACRON EN ALGÉRIE : L'OMBRE D'UN FINANCEMENT ILLÉGAL Le Média
https://youtu.be/2wB6-WdTF1s
Fin de semaine “algérienne” pour le président de la République française, Emmanuel Macron. Il y est reçu dans le cadre d’une visite officielle à l’invitation de son homologue Abdelmajid Tebboune, dont l’objectif est de relancer les relations bilatérales. Dans la presse, on entend beaucoup parler des questions mémorielles, de la question des visas… mais peut-être un peu moins des enjeux énergétiques et des “affaires”... de la Françalgérie…
Et pourtant, explique Thomas Dietrich, “il y a eu un certain nombre d’enquêtes journalistiques qui ont été faites” sur le financement de la campagne électorale de Macron en 2017. Les banques françaises étant très frileuses à prêter de l’argent à celui qui était alors un outsider, “on a suspecté un certain nombre d’oligarques (algériens) d’avoir financé sa campagne”, poursuit Thomas Dietrich.
“Emmanuel Macron a rencontré des oligarques comme Ali Haddad, il y a des témoins qui parlent de mallettes d’argent qui ont circulé, de cotisations entre les grands chefs d’entreprise algériens”, poursuit-il, évoquant aussi l’ombre d’un homme de l’ombre franco-algérien, Alexandre Djouhri, dans ce dossier. “La France n’a jamais dénoncé les violations des droits de l’Homme” dans le cadre du hirak algérien. “Est-ce que c’est lié à cette affaire de financement occulte ?” Les yeux sont tournés vers la justice française”.
1 commentaire:
Intérêts publics ou déplacement privé ?
MACRON EN ALGÉRIE : L'OMBRE D'UN FINANCEMENT ILLÉGAL
Le Média
https://youtu.be/2wB6-WdTF1s
Fin de semaine “algérienne” pour le président de la République française, Emmanuel Macron. Il y est reçu dans le cadre d’une visite officielle à l’invitation de son homologue Abdelmajid Tebboune, dont l’objectif est de relancer les relations bilatérales. Dans la presse, on entend beaucoup parler des questions mémorielles, de la question des visas… mais peut-être un peu moins des enjeux énergétiques et des “affaires”... de la Françalgérie…
Et pourtant, explique Thomas Dietrich, “il y a eu un certain nombre d’enquêtes journalistiques qui ont été faites” sur le financement de la campagne électorale de Macron en 2017. Les banques françaises étant très frileuses à prêter de l’argent à celui qui était alors un outsider, “on a suspecté un certain nombre d’oligarques (algériens) d’avoir financé sa campagne”, poursuit Thomas Dietrich.
“Emmanuel Macron a rencontré des oligarques comme Ali Haddad, il y a des témoins qui parlent de mallettes d’argent qui ont circulé, de cotisations entre les grands chefs d’entreprise algériens”, poursuit-il, évoquant aussi l’ombre d’un homme de l’ombre franco-algérien, Alexandre Djouhri, dans ce dossier. “La France n’a jamais dénoncé les violations des droits de l’Homme” dans le cadre du hirak algérien. “Est-ce que c’est lié à cette affaire de financement occulte ?” Les yeux sont tournés vers la justice française”.
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