lundi 6 juin 2022

sondages à la baisse, ministres menacés…

http://ats.ccmp.eu/ats/msg.aspx?sg1=1b105895d9c2772b9976c2063e59cf0e

3 commentaires:

Anonyme a dit…

“Face à la décision du ministre de ne pas regrouper, sous une nuance unique, les partis politiques ayant créé la coalition de La Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), ces derniers ont saisi le juge des référés du Conseil d’État”, peut-on lire dans le compte-rendu cette décision de justice.

Le juge des référés du Conseil d’État estime “que l’absence de comptabilisation sous une nuance unique, des suffrages portés sur les candidats de la Nupes est susceptible de porter atteinte à la sincérité de la présentation des résultats électoraux”, raison pour laquelle il “enjoint au ministre de l’Intérieur d’inscrire avant le 10 juin 2022 la Nupes dans la grille des nuances pour les candidats aux élections législatives, afin d’assurer une présentation sincère des résultats des scrutins des 12 et 19 juin prochains”. "
(...)


https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-conseil-detat-somme-linterieur-de-comptabiliser-la-nupes-dans-ses-nuances-politiques_fr_629f6a40e4b090b53b89ead4

Anonyme a dit…

J'en appelle au réveil de la police républicaine
Jean-Luc Mélenchon



https://youtu.be/bwFKq2wSyg0



Le 7 juin 2022, Jean-Luc Mélenchon était l’invité du grand entretien de la matinale de France Inter.

Le candidat au poste de Premier ministre a tout d’abord été interrogé sur la Police suite au décès d’une jeune femme lors d’un contrôle. Il a indiqué qu’il n’était pas normal de tuer quelqu’un parce qu’il refuse d’obtempérer. Il a rappelé les 4 morts en 4 mois suite à des interventions, mais aussi le dispositif honteux au Stade de France qui aurait pu provoquer encore plus de dégâts. Il en a appelé au réveil de la police républicaine et à réformer la police de la cave au grenier. Il s’est dit opposé à l’usage disproportionné de la violence.

Jean-Luc Mélenchon a ensuite pointé du doigt la politique économique d’Emmanuel Macron. Il a rappelé que l'austérité mise en place par le président avait un coût : 80 milliards par an. Il a expliqué que pour trouver cet argent, E. Macron supprime par exemple des lits d’hôpitaux et des postes d’enseignants. Le candidat au poste de Premier ministre a indiqué que face à l’effondrement économique qui s’annonce à cause du modèle néolibéral, il proposait un autre modèle : celui de la relance économique par la consommation populaire et du sauvetage des services publics.

Interrogé sur les élections législatives, Jean-Luc Mélenchon a expliqué pourquoi Emmanuel Macron serait obligé de le nommer Premier ministre si la NUPES obtient la majorité à l’Assemblée nationale. En effet, dans le cas contraire, le président créerait une crise politique dans le pays. Il a rappelé le rôle prépondérant du Premier ministre dans la Constitution. Sur les retraites ou le nucléaire par exemple, c'est lui qui déciderait à l’Assemblée et pas le président de la république. Il a donc appelé à trancher ces questions lors des scrutins des 12 et 19 juin prochains en votant pour les candidats de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale.

Anonyme a dit…

UNE GRAVE CRISE POLITIQUE MENACE LA FRANCE!
Le Média



https://youtu.be/9_8etum0zbI



Quatrième épisode de « Direction Palais Bourbon », module spécial que nous produirons jusqu’aux élections législatives qui viennent. Un module qui vous dit tout, tout, tout sur la campagne.
Au sommaire : la drôle de stratégie de l’actuelle majorité, qui semble vouloir tuer la campagne électorale en faisant comme si elle n’existait pas, mais qui ne sort de son mutisme que pour taper sur Jean-Luc Mélenchon et la NUPES de manière assez extravagante.
La crise politique d’ampleur qui guette la France au regard des équilibres politiques qui se construisent et de la posture de raideur d’Emmanuel Macron.
Manuel Valls et son échec retentissant dès le premier tour dans la cinquième circonscription des Français de l’étranger.

Le “big fail” de l’ancienne ministre Emmanuelle Wargon, candidate dans la 8ème circonscription du Val de Marne.

Et la circonscription du jour c’est la 7ème circonscription de Paris, où le ministre chargé de l’Europe, Clément Beaune, n’est absolument pas assuré de gagner - et donc de se maintenir au gouvernement - face à l’insoumise Caroline Mecary.