lundi 25 avril 2022

Mes commentaires

Mes commentaires


LE PEN ZEMMOUR c' est la droite
MELENCHON c' est la gauche
MACRON c' est rien

Vous voyez quand on simplifie
Tout est beaucoup plus clair

3 commentaires:

Anonyme a dit…

De la gagne à l'incruste et vice-versa


"Mais que faisait donc en si bonne place l’ancien Premier ministre, élu député avec le soutien de LREM en 2017 mais jamais nommé où que ce soit malgré d’incessantes offres de services ? Faut-il y voir un signe d’une future nomination lors du second quinquennat ou d’une investiture aux législatives ? Peut-être pas, car il semblerait que l’ex-conseiller municipal de Barcelone se soit plutôt incrusté dans les grandes largeurs."
(...)


https://www.liberation.fr/politique/comment-manuel-valls-sest-tape-lincruste-au-premier-rang-de-la-soiree-de-victoire-demmanuel-macron-20220425_PGQ6X6CVANCPNLWAO4LMC5K4PE/

Anonyme a dit…

"Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a été pris en photo avec le collectif d'extrême droite Nemesis au Champ de Mars, lors de la réélection d'Emmanuel Macron."
(...)


https://www.huffingtonpost.fr/entry/blanquer-photo-collectif-nemesis-denonce-manipulation_fr_6267d8efe4b0d07748655f19




Les petits secrets du Collectif Némésis, ces «Femen d'extrême droite»
(...)

"Même si elles rejettent par un réflexe automatique tout ce qui vient du féminisme intersectionnel ou universaliste, elles savent très bien reprendre leurs codes. «Les membres du Collectif Némésis jouent aux Femen d'extrême droite, note Paul Conge. Elles attirent l'attention des médias avec des interventions pour se faire remarquer. C'est typique des petits mouvements qui veulent se faire connaître.»

Elles ont également repris le principe des collages féministes qu'elles disent vouloir «compléter» avec des «messages que les autres féministes n'osent pas afficher». On lira par exemple «Rapefugees not welcome» [de l'anglais rape, violer, et refugees, réfugiés]. Elles manient aussi l'art de la communication sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram: codes graphiques affirmés empruntant à l'iconographie d'extrême droite, utilisation de l'image de Némésis (cette déesse vengeresse qui donne son nom au collectif), recours à un discours cash.

Faut-il voir le «féminisme» du Collectif Némésis comme un nouveau cache-nez de l'extrême droite pour se dédiaboliser et essaimer plus large? C'est possible. Reste qu'elles donnent l'impression d'être des cathos tradis et xénophobes qui se sont emparées de la question du féminisme sans avoir vraiment travaillé leurs dossiers."


https://www.slate.fr/story/201738/collectif-nemesis-feministes-identitaires-extreme-droite-conservatrices-methodes?amp

Anonyme a dit…

« Il se passe des choses au Canard qui feraient un bon article dans Le Canard. »

Depuis fin décembre, raconte Christophe Nobili, une fièvre inédite a gagné le Palmipède. Nulle grippe aviaire à l’horizon, mais la création par le journaliste d’une cellule syndicale, vite rejointe par une quinzaine de personnes, dont onze salariés en CDI. Du jamais-vu, dans cette rédaction qui compte vingt-deux journalistes et une dizaine de cadres et employés en CDI, auxquels s’ajoutent une dizaine de collaborateurs qui cumulent cet emploi avec leur retraite, ainsi qu’une myriade de collaborateurs plus ou moins réguliers. Au final : 49,45 équivalents temps plein (ETP), selon le comptage établi en vue de la création d’un CSE, et du vote prévu le 11 mai à ce sujet. La bataille pour rester sous la barre des 50 salariés, synonyme de moyens et de droits supplémentaires pour l’instance, a été « homérique », selon un témoin. « Il y a une législation, je l’applique », réfute Nicolas Brimo, le directeur du « journal satirique paraissant le mercredi », blessé par cette suspicion de mauvaise volonté."
(...)


https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/04/26/au-canard-enchaine-une-cellule-syndicale-jette-un-pave-dans-la-mare_6123782_3234.html