lundi 17 mai 2021

Petite précision en passant …

 Notre Véran adoré a reçu sa deuxième dose 



De quoi ? Me diriez-vous, impatient !

Je précise que sa première dose était composée par Astra Zénéca lui même …

Donc conformément à ce qu’ il nous a expliqué aucun danger avec ce vaccin 

Du style je donne l’ exemple


Mais voila cette fameuse deuxième doses a été réalisée avec un autre vaccin …

Un vaccin à ARN

Les explications ne vont pas manquer

MAIS CHERCHER L’ ERREUR !


 


5 commentaires:

Anonyme a dit…

M'étonnerai pas que ce soit du Moderna, histoire que ça colle à l'image du communicant quarantenaire à l'aise dans ses pompes et en 'charge' d'un ministère de la Santé pendant cette foutue crise...
Rien ne fait reculer le Doc pressé et arriviste, surtout pas la crépitement des flashs lorsqu'il tombe la chemise !

Anonyme a dit…

Grève à la Réa de l'hôpital d'Alès
Patrick Bernard Vidéo Alès



https://youtu.be/9dmQaptcMLE



La Réanimation, un métier formidable....
Un statut fort minable.....
Pour notre reconnaissance....
La Réa-Git !!!
11 Mai 2021

Anonyme a dit…

https://francais.rt.com/international/86833-autriche-abandonne-son-tour-vaccin-astrazeneca-contre-covid-19

Anonyme a dit…

BRÈVE DE COMPTOIR...


"Philippe de Villiers a ensuite développé la méthode, à savoir boire le pastis «dans l’eau [...] comme on le prend à Marseille». Devant les questions sarcastiques de Pascal Praud, le fondateur du Puy du Fou, qui ne semblait pas plaisanter, a ajouté qu'il fallait «au moins deux doses». «Le premier soir, j’ai pris un verre ballon. Le deuxième soir, un verre à Ricard. Là, ça allait beaucoup mieux. Au bout de trois jours, j’étais guéri», a-t-il affirmé. «C’est peut-être l’anis», a-t-il ajouté. "



https://francais.rt.com/france/86843-philippe-villiers-affirme-que-didier-raoult-conseille-boire-pastis-contre-covid

Anonyme a dit…

Blouses blanches et Gwenn ha Du. La grève oubliée des étudiants en médecine de Rennes

Hugo Melchior (Éditions Séditions, Rennes, 2020, 164 pages, 15 euros.)



"Du 26 janvier au 3 mai 1973, les étudiants en médecine de Rennes ont mené une grève des cours accompagnée d’une occupation des locaux de la faculté, de nombreuses manifestations dans la ville et dans d’autres agglomérations de Bretagne, et même d’une montée à Paris. Ils protestaient contre l’instauration d’un numerus clausus en fin de première année et contre le raccourcissement de la durée des stages, deux mesures directement en rapport avec l’équipement hospitalier dramatiquement insuffisant de la Bretagne (le titre de l’ouvrage renvoie au nom breton du drapeau de cette région). Mais la part importante parmi eux d’enfants de paysans et d’ouvriers, bénéficiaires de la relative démocratisation de l’enseignement secondaire survenue au cours de la décennie précédente, explique aussi qu’ils aient revendiqué une formation au plus près de la population, en mettant l’accent sur la médecine préventive et la médecine du travail. S’ils n’ont finalement obtenu que partiellement satisfaction, leurs revendications conservent une pleine actualité dans le contexte de la pandémie de Covid-19. En somme, une grève prémonitoire."

Alain Bihr



https://www.monde-diplomatique.fr/2021/05/BIHR/63070