dimanche 8 novembre 2020

Je suis très choqué

Je suis très choqué

Je réalise avec quelle facilité un pouvoir quelconque
Peut nous priver de nos libertés fondamentales
Sortir librement, prendre sa vie en main
Et avec quelle résignation la population se soumet
Malgré ou grâce à une communication très sophistiquée
Porteuse d' info et d' intox
cette communication nous a préparé , malaxé, pétri, rincé les neurones
Nous nous croyons à l' abri de ces pouvoirs mystérieux et impalpables qui veulent notre bien ! …A tout prix .
La population française d' après guerre n ' a jamais connu cet enfermement général
Imaginez ce que peut faire un tel pouvoir qui détient et détiendra de plus en plus d'informations sur votre vie privée
Nous sommes dans la période de collecte l' action ne s'est pas encore trop manifestée
Sommes nous au début d'un régime autoritaire , ou du totalitarisme 2.0 ?


9 commentaires:

Anonyme a dit…

Un berger qui a tout compris sur le Corona !


https://m.facebook.com/humanites.classiques.africaines/videos/404601607212898/?refsrc=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2F&_rdr

Anonyme a dit…

A deux heures de Montpellier, un demi-millier de manifestants défient Castex dans sa ville

A Prades, petite ville des Pyrénées-orientales, la dénonciation des contraintes sanitaires a fait boule de neige


"Au pied du majestueux Canigou, à une demi-heure de Perpignan, deux heures de Montpellier, Prades, sous-préfecture des Pyrénées-orientales, ne compte que six mille habitants. Proportionnellement, c’est donc une énorme manifestation (certes grossie d’apports extérieurs) qui a défié, samedi, Jean Castex, le maire de cette localité ; par ailleurs actuel chef du gouvernement.

Le rassemblement avait bel et bien été interdit. Or ils étaient deux cents en départ de cortège devant la mairie de la localité en milieu de matinée. Puis les forces de l’ordre elles-mêmes ont évalué à un demi-millier, le nombre de manifestants en fin de parcours – de deux heures de durée, et devant braver les intempéries.

Etrange mobilisation, que ce cortège familial, en présence de nombreux enfants, dont les masques ressortaient souvent au registre du carnaval. L’enjeu officiel semblait des plus modestes : dénoncer l’obligation du port du masque pour les enfants de six ans toute la journée à l’école. En effet, le mouvement, spontané, est parti de parents d’élèves.

Il ne faut pas négliger que ce secteur de piémont montagnard a accueilli une forte population néo-rurale, sensible aux modes de vie alternatifs et à la critique sociale du quotidien. Ainsi, l’une des manifestantes nous confiait : « En venant vivre ici, on a fait beaucoup de sacrifices sur notre confort, on se confronte à la précarité. Mais nous avons nos idées sur nos choix de vie ». Lesquels ne sont pas ceux qu’impose aujourd’hui le pouvoir de manière unilatérale et non discutée.

De façon pragmatique, les parents demandaient la solution de la répartition des enfants en demi-groupes dans les classes. Mais bien des pancartes, comme une partie des discours, poussaient plus loin le mécontentement : « Qu’ils mettent l’argent de nos impôts dans l’hopital et à l’école, et qu’ils nous laissent tranquilles ».

Finalement tolérée par la force des choses, cette manifestation aux enjeux modestes mais aux effets considérables, ne manque pas d’interroger dans le contexte de Montpellier : ce même samedi, un appel “national” y avait été lancé, nons sans invoquer une “révolution mondiale”, pour dénoncer les effets liberticides du confinement. Or dans cette agglomération de quatre cent mille habitants, on n’a pas vu deux manifestants parvenir à se regrouper à l’heure dite sur la Comédie, où plusieurs dizaines de policiers avaient pris place. Comparaison n’est pas raison. Disons au moins que la situation engendrée par le COVID n’a sans doute pas fini de nous surprendre, et nous défier."


https://lepoing.net/a-deux-heures-de-montpellier-un-demi-millier-de-manifestants-defient-castex-dans-sa-ville/

Anonyme a dit…

entre 1918 et 1919, la grippe espagnole a fait entre 50 et 100.000.000 (cent millions) de morts selon les dernières études
il n'y avait ni confinement ni protection
aujourd'hui la population mondiale est pratiquement 5 fois plus importante avec beaucoup plus d'échanges et beaucoup plus de proximité
si rien n'est fait on peut imaginer 500.000.000 (cinq cent millions) à 1 milliard de morts ...
nos petites libertés individuelles ont un prix : éviter la mort de 13% de la population mondiale ...!

Anonyme a dit…

Port du masque à l’école : des parents s’élèvent contre son obligation dans les Pyrénées-Orientales
France 3 Occitanie


https://youtu.be/Wh3K4tlmGaE



Dans les Pyrénées-Orientales, plus de 300 personnes ont manifesté le samedi 7 novembre 2020 à Prades, afin de dénoncer le port du masque dès 6 ans dans les écoles.

Reportage de Barbara Gorrand et Philippe Georget.

Intervenants : Marc Cousin, organisateur de la manifestation.

Anonyme a dit…

22h30
L’imagination est elle plus forte que la liberté ?

Anonyme a dit…

22:30 tu travailles avec des tableaux Excel pour extrapoler de cette façon ?
Ta liberté individuelle avec des occurences pareilles semble sérieusement esquintée !

Anonyme a dit…

DÉBATTRE TRIBUNE

« Cachez ces violences policières que je ne saurais voir » : protégeons la liberté d’informer !
PAR COLLECTIF


"C’est une atteinte inédite à la liberté d’informer. L’article 24 de la proposition de loi « relative à la sécurité globale », sanctionne d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende la diffusion d’images relative aux pratiques policières. La rédaction de Basta !, aux côtés d’autres médias, actuels et futurs journalistes, organisations et personnalités, s’opposent à cette loi liberticide. « Il en va de la liberté de la presse, de la liberté de manifester, de notre démocratie », rappelons nous dans cette tribune.

« J’avais fait une promesse, qui était celle de ne plus pouvoir diffuser les images des policiers et des gendarmes sur les réseaux sociaux. Cette promesse sera tenue puisque la loi prévoira l’interdiction de la diffusion de ces images », résume Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, lorsque Jean-Jacques Bourdin l’interroge sur la proposition de loi (PPL) « Sécurité Globale ».

Ce texte, les député·e·s LREM sont pressé·e·s de le faire passer, sans doute craignent-ils une levée de boucliers légitime pour défendre la démocratie. Sinon comment pourrait-on expliquer que cette loi fasse l’objet d’une procédure accélérée ? Quelle urgence, en plein confinement, justifie cette attaque liberticide ?

Déjà, en février dernier, Mediapart révélait que Christophe Castaner, à l’époque encore ministre de l’Intérieur, envisageait de « contrôler la diffusion de vidéos montrant les violences policières », reprenant ainsi les revendications des syndicats de police les plus liberticides. L’information avait déjà fait à l’époque bondir les défenseur·se·s des libertés publiques. Le ministre de l’Intérieur avait alors nié étudier une telle loi, affirmation pourtant démentie quelques heures après par ses propres services."

« Il en va de la liberté de la presse et, plus largement, du droit d’informer et d’être informé·e »

"Quelques semaines après, en mai, c’était au tour des député·e·s LR, Éric Ciotti en tête, de ressortir cette idée du placard. Sans succès.

Cette fois-ci, le texte pourrait bien être adopté. Derrière cette nouvelle attaque contre les libertés fondamentales, les député·e·s LREM, dont Christophe Castaner et Jean-Michel Fauvergue, deux ténors de la majorité présidentielle. Le gouvernement est clair, la proposition liberticide.

L’article 24 prévoit en effet « un an d’emprisonnement et une amende de 45000 euros » pour sanctionner la « diffusion du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de police dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique ».

Nous, journalistes en devenir, professionnel·le·s de l’information, syndicats de journalistes représentatifs de la profession, associations de défense des droits humains, avocat·e·s et usagers des médias, tenons à alerter l’opinion publique sur de telles menaces. Il en va de la liberté de la presse et, plus largement, du droit d’informer et d’être informé·e."
.../...



https://www.bastamag.net/tribune-cachez-ces-violences-policieres-protegeons-liberte-presse-loi-PPL-securite-globale-fauvergue-repression-diffusion-images

Anonyme a dit…

Comparer la grippe espagnole de 1917-1919 avec l'épidémie de Covid-19 d'aujourd'hui relève de la supercherie 22:30...
Et extrapoler dans ces proportions relève de la fantasmagorie !

Anonyme a dit…

18:21 , peux tu expliquer en quoi la comparaison relève de la supercherie ?
merci