mardi 3 novembre 2020

Je ne comprends pas …

Dans les grandes surfaces tout le monde se promène dans les rayons sans obligation de respect des règles de distanciation , touche les produits sans obligatoirement les acheter
Chez nos amis petits commerçants la plupart d'entre eux limite le nombre de client à l' intérieur de leur boutique, on ne peut pas non plus toucher à la marchandise que l' on n'achète pas , le commerçant vous sert
Ces remarques évidement ne sont pas un scoop, mais pourquoi nos dirigeants chéris n' utilisent ils pas leurs neurones ? Ont ils une motivation cachée ? Ou sont ils décérébrés ?



5 commentaires:

Anonyme a dit…

CHRONIQUE "ECONOMIQUES"
L’Etat néolibéral en réanimation

Les injonctions contradictoires et souvent tardives du gouvernement à chaque nouvelle vague ne seraient-elles pas le symptôme de l’incapacité du capitalisme contemporain à faire face aux crises environnementales ou sanitaires ?


"La deuxième vague de Covid-19, qui semblait possible et même probable au printemps et qui était déjà discernable en été, s’est maintenant installée dans toute l’Europe. La montée brutale des contaminations au cours des dernières semaines a conduit de nombreux pays à renforcer les mesures sanitaires : fermetures de certains lieux, interdiction de rassemblement, généralisation de l’obligation du port du masque… En France, cela se double d’un confinement un peu plus léger que celui du printemps dernier qui devrait toutefois entraîner une chute notable de l’activité. L’économie française entre dans une phase brutale de stop-and-go qui pourrait durer longtemps s’il devait y avoir une troisième ou même une quatrième vague et dont les conséquences économiques devraient s’aggraver à mesure que chaque nouveau confinement affecterait des agents économiques fragilisés par le confinement précédent.

Le recours précipité à des mesures sanitaires extrêmes illustre à la fois la gravité de la pandémie et l’absence de vision de long terme des autorités françaises («nous avons tous été surpris», déclarait Emmanuel Macron dans un aveu qui tentait de partager le plus largement possible les responsabilités). Les revirements du printemps (sortez et allez au théâtre, restez confinés chez vous sous peine d’amende ; ne portez pas de masque, c’est inutile, portez un masque c’est obligatoire) ont fait place à celles de l’automne (retournez sur les lieux de travail, le télétravail est obligatoire partout où c’est possible ; les cours doivent se tenir en présence, les cours sont obligatoirement à distance)."
.../...

"Il y a deux attitudes différentes face à la pandémie, qui renvoient à deux grands types d’attentes sociales. D’un côté, la volonté quasi-libertarienne de ne pas imposer la moindre mesure contraignante ou, croit-on, susceptible de nuire à l’activité économique. Elle réunit aussi bien une partie du monde des affaires que les opposants au port du masque. On entend alors des justifications qui vont du relativement bénin (il faut une économie forte pour faire face au virus) au plus sinistre (sauver des vies coûte trop cher, le virus ne tue que ceux qui de toute façon doivent mourir)."

D’un autre côté, on trouve la demande d’une plus grande maîtrise de la trajectoire prise par l’économie et la société, avec l’idée que la pandémie met en évidence les impasses du capitalisme contemporain incapable de faire face aux menaces environnementales ou sanitaires. Les attentes s’expriment alors en direction d’un changement des priorités pour une puissance publique voulue nettement plus interventionniste. Les actions envisagées vont du relativement modeste (stopper le démantèlement en cours des systèmes de protection sociale et renforcer l’hôpital public) au plus ambitieux (pour une planification écologique et sociale).

L’option qui en revanche semble dépassée est celle d’une voie moyenne, celle d’un Etat qui agit indirectement, par incitations auprès des agents privés, au moyen de politiques publiques dont le coût fiscal est toujours plus élevé et l’efficacité toujours plus dérisoire à mesure que progressent les «réformes structurelles». Cela pourrait paradoxalement signaler la fin du néolibéralisme, qui était précisément conçu à l’origine comme une troisième voie entre le laisser-faire et la planification. L’heure n’est plus à un Etat qui définit son action en fonction des exigences du marché."



https://www.liberation.fr/debats/2020/11/02/l-etat-neoliberal-en-reanimation_1804304

Anonyme a dit…

Jeunesse : 150 balles et un Mars !
FRANÇOIS RUFFIN


https://youtu.be/7cWfbR_21SA


« Nous n’avons pas de politique à avoir pour la jeunesse. »
C’est le président de la République qui s’exprimait ainsi, devant des étudiants, l’an dernier, dans ma ville, à Amiens. Et cette promesse, il faut le reconnaître, est tenue : vous n’avez pas de politique pour la jeunesse. A Arnaud, Amanda, Pierrick, Sabrina et les millions d'autres vous que ça à leur offrir : 150€ et un Mars.

julian louis a dit…

Décérébrés , non ,motivés je ne pense pas , je dirais obligés par ceux qui sont aux manettes de l'économie mondiale : l'exemple le plus criant est le fait qu'on ne puisse plus acheter de livres ni en librairie , ni en grande surfaces spécialisées ou non mais toujours sur Amazone parmi les plateformes de vente par internet.
La soumission populaire me fait adhérer à l'idée que l'histoire est un éternel recommencement , en 40 tout le monde ou presque chantait "Maréchal nous voilà". Aujourd'hui on ne va pas dénoncer les Juifs mais ceux qui ne portent pas le masque ...
Notre société occidentale est à bout de souffle : elle a pollué , détruit la biodiversité et les sols , déprimé notre système immunitaire d'où la facilité avec laquelle un virus fait son chemin ..
Le covid n'est peut être que l'équivalent de nos lymphocytes et que son rôle est d'éliminer tout ce qui n'est pas conforme au "plan" qui permet à la vie se perpétuer...

Anonyme a dit…

"Ce sont des décisions de hauts fonctionnaires complètement déconnectés des réalités" : des députés dénoncent la fermeture des commerces de proximité

"Quatre jours après la mise en place du reconfinement, ces élus de circonscriptions rurales doivent jongler entre consignes gouvernementales, incompréhension de la population et sentiment d'iniquité chez les commerçants."
(...)


https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/ce-sont-des-decisions-de-hauts-fonctionnaires-completement-deconnectes-des-realites-des-deputes-denoncent-la-fermeture-des-commerces-de-proximite_4166471.html

Anonyme a dit…

Cohen, Lemoine, Valls, Deray, des révélations terribles
Vivre sainement


https://youtu.be/n_Uci6CuTbs


Vous imaginiez que nous avions atteint le pire, attendez de voir cette vidéo. Patrick Cohen et Anne-Elisabeth Lemoine avaient invité le Pr Gilbert Deray et Manuel Valls pour nous faire peur. Les révélations que cette vidéo contient sont juste affolantes sur cette épidémie et la gestion de la crise en France mais aussi à l’étranger. Bien sûr, ces révélations ne viennent pas de Cohen, Lemoine, Valls ou Deray, elles viennent des témoignages de personnes intègres qui prennent la parole, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il faut régir maintenant, tout de suite, tous ensemble, le piège est en train de se refermer sur nous. Partagez massivement mes amis, il en va de notre futur.