vendredi 16 octobre 2020

Communication gouvernementale autour du Covid : autoritarisme, infantilisation et perversité. - Le Blog de jlduret





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3 commentaires:

Anonyme a dit…

"Ce conditionnement à la peur, qui a fait prendre de si mauvaises décisions, a été couplé à une culpabilisation majeure et incessante. Celui qui ne respecte pas les consignes est responsable de l’aggravation des consignes restrictives, de la poursuite de l’épidémie, de la mort de ses proches. Cette culpabilisation se poursuit aujourd’hui au moyen de messages martelés dans tous types de médias intimant de ne pas embrasser ses proches ou recommandant des barbecues masqués entre amis car nous sommes des personnes responsables. Il faut protéger les plus fragiles, message louable mais cynique car il a conduit à infliger à nos aînés le pire, la privation de contacts et de soins.

Le détournement du sens des mots et l’introduction de mots nouveaux. Le chef de l’État a déclaré que nous étions en guerre. Nous n’avons jamais été en guerre mais cela a permis de faire passer facilement le principe de l’état d’urgence et d’imposer toutes les mesures sans concertation. De même une sémantique inconnue a progressivement colonisé notre langue pour devenir aujourd’hui banale. Il en est ainsi du cluster. Qui connaissait le mot ? A n’en pas douter peu d’entre nous. Le cluster s’est imposé et il est devenu une menace, un autre stimulus de la peur, car il semble savant donc « sachant ». Il ne désigne pourtant qu’un foyer de contagion (il existe d’autres significations en musique, informatique etc). Dans ce registre on peut également noter la confusion entretenue sciemment entre « cas positifs » et « malades ». Ne pouvant continuer à nous conditionner en égrainant quotidiennement les nombres des malades ou des victimes décédées, ces derniers diminuant, le chiffre des cas positifs est substitué, entretenant ainsi le sentiment de peur.

Actuellement, on continue à nous maintenir dans l’idée d’une épidémie de cas positifs, sans victime, sans malade."

Anonyme a dit…

RÉPRESSION
A la veille du couvre-feu, le gouvernement multiplie les expulsions de logements et de ZAD

Une maison de quartier autogérée près de Nantes, des zones à défendre en Isère et dans l’estuaire de la Loire, des occupations de logements dans le Sud-Ouest : depuis quelques jours, les préfets multiplient les évacuations malgré la crise sanitaire.


"Le « Village du peuple » situé à Donges, en Loire-Atlantique, a été expulsé le 15 octobre par la gendarmerie. Installés dans une ancienne ferme, les jeunes occupants refusent la bétonisation de 58 hectares de zone agricole pour un projet d’extension industrielle. A deux kilomètres se situe une autre zone à défendre, le Carnet, qui pour l’instant a échappé à l’évacuation.

Ces deux lieux de lutte sont différents mais se soutiennent et mobilisent ensemble contre la bétonisation de l’estuaire de la Loire. Au total, 110 hectares d’espaces naturel, dont 51 hectares de zone humide, ainsi qu’une bonne partie des 116 espèces animales et végétales protégées qui y vivent, risquent de disparaître sous le béton. Le Grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire envisage d’implanter un « parc écotechnologique » dédié aux énergies renouvelables (notre enquête). « La Zad du Carnet demande des soutiens importants sur place dès vendredi 16 octobre matin », font savoir les occupants sur leur site internet. Des chantiers de construction collective sont prévus ces 17 et 18 octobre."
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Droit au Logement demande l’arrêt immédiat des expulsions en débutant dès maintenant la trêve hivernale

"Le 14 octobre, deux autres occupations de logements ont été évacuées : l’une à Nantes avec une vingtaine de personnes se retrouvant « sans aucune solution de relogement et de prise en charge » [1], l’autre à Blagnac (Haute-Gironde) où 85 personnes, dont des enfants, vivaient depuis février. La préfecture de Haute-Gironde fait valoir le risque d’incendie et la ville de Blagnac avance de son côté la construction future d’une maison de retraite.

Alors qu’un couvre-feu doit être mis en place de 21h à 6h du matin dans huit métropoles à partir du 17 octobre, l’association Droit au Logement alerte : « La police va-t-elle dresser des procès verbaux contre les dizaines de milliers de sans-abris qui ne sont pas hébergés faute de place ? Pour toutes celles et ceux entassés dans des structures d’hébergement, des hôtels, des taudis, encore plus exposés au Covid dans des cluster potentiels ? Pour les dizaines de milliers de familles menacées d’expulsion sans relogement avant le début de la trêve hivernale et après, sachant que les dispositifs d’accueil sont saturés ? » L’association demande l’arrêt immédiat des expulsions et d’avancer le début de la trêve hivernale au 15 octobre, ainsi que la réquisition d’urgence des logements et locaux vacants."


https://www.bastamag.net/Couvre-feu-expulsions-ZAD-Roybon-Carnet-Nantes-Blagnac-Reze-droit-au-logement-treve-hivernale

Anonyme a dit…

Népotisme
Chroniqueuse sur Europe 1, la belle-fille d'Emmanuel Macron en service après-vente "philosophique" du couvre-feu

"Pour sa deuxième carte blanche sur Europe 1, Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, s'est livrée à un plaidoyer décomplexé en faveur du couvre-feu décreté par son beau-père. "On ne la fait pas intervenir en soutien de quiconque, ce n'est pas du tout le sens de cette chronique", nous assure pourtant Europe 1.

Elle n'est pas sortie de la cuisse de Jupiter, mais c'est tout comme. Ce jeudi 15 octobre, la fille de Brigitte Macron, Tiphaine Auzière, se familiarisait avec un nouveau petit boulot : éditorialiste sur Europe 1. Pour sa deuxième chronique, celle qui est présentée à l'antenne comme "avocate et femme engagée" – et non comme belle-fille du président de la République - s'est livrée à un numéro intellectuel de service après-vente des mesures sanitaires annoncées mercredi soir par Emmanuel Macron."
(...)




https://www.marianne.net/politique/chroniqueuse-sur-europe-1-la-belle-fille-demmanuel-macron-en-service-apres-vente-philosophique-du-couvre-feu