Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mardi 9 juin 2020
Coronavirus : ouverture d'une enquête pour "homicides involontaires" et "mise en danger de la vie d'autrui" après plusieurs plaintes visant les pouvoirs publics
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4 commentaires:
#Coronavirus #Révélations #Scandale
TESTS COVID-19 : RÉVÉLATIONS SUR UN NOUVEAU SCANDALE SANITAIRE
Le Média
https://youtu.be/vrjmY_ffgAg
Quand le physicien David Mendels, l’invité de Denis Robert du TPA de ce soir, est rentré de voyages en janvier dernier et qu’il a vu grimper les taux de contamination au Covid en Asie, il a compris vite que les tests sanguins individualisés seraient un des enjeux et une des solutions du problème. Directeur technique d’une start up française – Xrapid-, spécialisée en intelligence artificielle et microbiologie, forts de leur expérience avec les tests pour la malaria, lui et ses collègues ont rapidement mis au point un système infaillible pour mesurer la fiabilité des tests Covid. C’est ce qu’il nous explique ce soir : « Le Covid est un virus trop petit pour être vu en microscopie optique mais quand est arrivé la crise en France, on avait déjà deux ou trois mois de retard sur les Chinois et les Coréens qui avaient développé des tests de diagnostic rapide. »
Se basant sur un appel d’offres du Ministère de la défense pour aider à vaincre l’épidémie, profitant du confinement, l’équipe autour de David Mendels s’est mise au travail : « On s’est dit qu’on allait mettre en route notre projet. On a pu sortir un prototype en une semaine ». Un prototype de testeur de tests. Après les choses ont trainé un peu. Mais face à la quantité de laboratoires se mettant à fabriquer des tests dans un but pas uniquement humanitaire, des médecins parisiens de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, missionnés par l’Institut Pasteur, ont collaboré, leur envoyant 5 des 11 tests représentant plus de 2’000 dispositifs à tester. Le marché du test Covid -vendu en pharmacie autour de 40/50 euros et sur Internet entre 15 et 99 euros- est très lucratif.
Jusque-là, tout va bien. C’est ensuite que l’histoire défie l’entendement. Le Ministère de la santé a homologué une liste de 23 tests le 20 mai dernier, dont la plupart, selon les propres termes, du physicien sont « tout pourris ». Entendez par là qu’ils peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades du Covid. Et plus grave, des personnes malades, saines. Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère.
« Je ne suis qu’un scientifique donc je ne sais pas s’il y a malveillance ou incompétence derrière cela » explique, sidéré, le docteur en physique « Mais quand les résultats se perdent à plusieurs niveaux comme c’est le cas ici, on est en droit de se poser la question de ceux qui contrôlent les contrôleurs. Et on est également en droit de nous demander si tout s’est passé de la sorte pour la gestion de la crise du Covid ? »
La réponse est malheureusement oui. Cet entretien révèle un nouveau scandale de santé publique et montre que, pour des raisons troubles, sans doute liées au lobbying des labos, des tests -remboursés par la sécurité sociale- dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. Plus précisément, cela signifie que depuis trois semaines maintenant, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu’elles ont été testés négatives, l’ont certainement…
#Économie #Coronavirus #Europe
CRISE DU COVID-19, UN PRÉTEXTE HONTEUX POUR CONTINUER L’AUSTÉRITÉ EN EUROPE
Le Média
https://youtu.be/6BlPOlsyU40
"Les critères d’attribution des fonds restent flous. Les pays aidés devraient présenter des plans d’investissement et de réforme que la Commission devra approuver ou non. Le risque existe que ces aides soient conditionnées à des réformes structurelles ou à des politiques de compétitivité donc à la stagnation des salaires et à la baisse des dépenses sociales. Le risque est aussi que la Commission subventionne des grandes entreprises tout en exigeant dès 2022 que les pays se lancent dans des politiques d'austérité alors que la plupart des pays seront en situation de chômage de masse."
La crise du coronavirus n’est pas un accident isolé, c’est un élément d’une crise écologique plus générale qui s’inscrit dans une crise sociale et économique, qui frappe l'ensemble des pays capitalistes développés. La crise sanitaire révèle la nécessité urgente d’un tournant vers une société sobre et solidaire. La réponse de l’Union européenne n’est pas à la hauteur de cette exigence.
Pourquoi il ne faut pas donner à la fondation Hôpitaux de Paris, mais aller dans la rue le 16 juin
Là-bas si j'y suis
https://youtu.be/OFIK6gMePDg
Parce qu'il faut préférer la solidarité à la charité : c'est ce que nous raconte Jonathan Duong, l'« employé de la semaine » de Là-bas si j'y suis, dans cet extrait de Didier Porte Hebdo #118, à voir en intégralité sur le site Là-bas si j'y suis : https://la-bas.org/la-bas-magazine/ch...
"La porte-parole du gouvernement a une opinion très tranchée sur l’hydroxychloroquine, dont elle connaît la dangerosité pour avoir pris, petite, de la chloroquine. Le 5 mars, lors d’une réunion à laquelle participent Olivier Véran et Marc Fesneau, ministre des Relations avec le Parlement, Sibeth Ndiaye donne son avis sur le Pr Raoult : « Un essai thérapeutique a été lancé, très encadré : comme ça, le fou furieux va être occupé à autre chose et on le verra moins sur les plateaux télé ! »
(...)
https://www.lepoint.fr/politique/les-indiscrets-sibeth-ndiaye-et-le-fou-furieux-pr-raoult-11-06-2020-2379416_20.php
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