De Thierry Amouroux : "Le président quand il vient nous voir, c'est Hubert de Montmirail qui jette un os à Jacquouille. C'est comme ça que l'on ressent les choses." Une nouvelle référence au film Les visiteurs de Jean-Marie Poiré sorti en 1993 qui tend à souligner le manque de considération du chef de l'Etat à l'égard du personnel soignant, pourtant en première ligne dans cette crise sanitaire sans précédent." (...)
Après la bande à Bonnot, le blog à Bonnel ou les accointances terribles...
« C’était mon copain, Robert » : l’énigmatique ami de jeunesse d’Emmanuel Macron
"Qui connaît Robert Piumati ? Même les biographes du président ignorent le nom de cet homme, mort il y a dix ans. Pourtant, ce flambeur du Quartier latin, financier du Parti communiste, a joué un rôle important dans la vie du jeune provincial venu étudier à Paris." (...)
"Les élus ont mené une centaine d'auditions de chercheurs, syndicats, associations, et rendu un rapport de plus de 150 pages sous forme de réquisitoire. "Comment en est-on arrivés là ? La boîte à outils néolibérale a créé les conditions du chaos", entre "un service public de santé à bout de souffle", un "Etat social démantelé", ou encore "une perte de souveraineté industrielle organisée", développent-ils." (...)
"Ah, Robert ! Comme il était généreux ! Comme il savait régaler, du temps de sa splendeur, lorsque, avec sa petite bande d’étudiants, il oubliait sa défroque de patron communiste pour venir banqueter à l’étage de la fameuse brasserie ! « C’était toujours lui qui réglait l’addition en sortant sa liasse de billets », se souvient Christine Robert-Consigny, l’une de ses fidèles convives, qui fit sa connaissance alors qu’elle révisait son bac à une terrasse du Quartier latin, en 1994. Les propriétaires de La Rotonde – deux frères d’origine auvergnate, invités à l’Elysée pour l’intronisation de Macron – s’en amusent encore : la petite troupe turbulente aimait raconter aux serveurs que Robert était un producteur de films X et eux, ses acteurs. Leur spécialité théâtrale : les batailles d’eau. Il était souvent tard quand la bande reprenait le chemin du 5e arrondissement." (...)
Camille et ses invités du jour la politologue Virginie Martin, Yvan Le Bolloch, ainsi que le journaliste Alexis Poulin et la sémiologue Elodie Mielczareck sont de retour pour un cinquième épisode des Masques et la tune ! Pour cette nouvelle émission : Macron, le mensonge d'État permanent, nous allons donc parler du langage, de propagande et de post-vérité.
Qu'est ce que la post-vérité ? D'où vient ce concept ? Pourquoi est il totalement applicable au Président de la République Emmanuel Macron depuis le début de son mandat, depuis les violences policières niées malgré l'évidence et les preuves tragiques de celles ci, en passant par l'hôpital de la Pitié Salpêtrière et de sa soit disant attaque, jusqu'à la récente déclaration du Président sur la non pénurie de masque, le mensonge d'État est devenu permanent. Mais alors, comment lutter contre ces mots de la lutte qui nous sont volés ?
Orwell dans 1984 met le langage au centre du système de contrôle et de domination exercé par un pouvoir tyrannique et nous met en garde. Comment lutter contre un gouvernement qui ment tout le temps, qui nie la réalité, et qui est souvent accompagné dans ses mensonges par les médias mainstream ? Nous essayerons aussi de voir comment résister à ces logiques sémantiques et à ces contre vérité institutionnalisées.
7 commentaires:
Après 2 mois d'épidémie, il est encore dans le déni. C'est récupérable devant un tribunal?
De Thierry Amouroux : "Le président quand il vient nous voir, c'est Hubert de Montmirail qui jette un os à Jacquouille. C'est comme ça que l'on ressent les choses." Une nouvelle référence au film Les visiteurs de Jean-Marie Poiré sorti en 1993 qui tend à souligner le manque de considération du chef de l'Etat à l'égard du personnel soignant, pourtant en première ligne dans cette crise sanitaire sans précédent."
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https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/video-emmanuel-macron-cest-hubert-de-montmirail-qui-jette-un-os-a-jacquouille-cette-petite-phrase-cinglante_448515
Après la bande à Bonnot, le blog à Bonnel ou
les accointances terribles...
« C’était mon copain, Robert » : l’énigmatique ami de jeunesse d’Emmanuel Macron
"Qui connaît Robert Piumati ? Même les biographes du président ignorent le nom de cet homme, mort il y a dix ans. Pourtant, ce flambeur du Quartier latin, financier du Parti communiste, a joué un rôle important dans la vie du jeune provincial venu étudier à Paris."
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http://leblogabonnel.over-blog.com/2019/07/macron-au-temps-du-marxisme-militant-de-chevenement-a-l-univers-d-ete-du-mdc-a-perpignan.html
"Les élus ont mené une centaine d'auditions de chercheurs, syndicats, associations, et rendu un rapport de plus de 150 pages sous forme de réquisitoire. "Comment en est-on arrivés là ? La boîte à outils néolibérale a créé les conditions du chaos", entre "un service public de santé à bout de souffle", un "Etat social démantelé", ou encore "une perte de souveraineté industrielle organisée", développent-ils."
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https://www.rtl.fr/actu/politique/coronavirus-lfi-pointe-un-fiasco-du-pouvoir-dans-sa-contre-commission-d-enquete-7800533895
https://www.planet.fr/societe-parano-ultra-solitaire-ce-surprenant-portrait-demmanuel-macro.1802167.29336.html
"Ah, Robert ! Comme il était généreux ! Comme il savait régaler, du temps de sa splendeur, lorsque, avec sa petite bande d’étudiants, il oubliait sa défroque de patron communiste pour venir banqueter à l’étage de la fameuse brasserie ! « C’était toujours lui qui réglait l’addition en sortant sa liasse de billets », se souvient Christine Robert-Consigny, l’une de ses fidèles convives, qui fit sa connaissance alors qu’elle révisait son bac à une terrasse du Quartier latin, en 1994. Les propriétaires de La Rotonde – deux frères d’origine auvergnate, invités à l’Elysée pour l’intronisation de Macron – s’en amusent encore : la petite troupe turbulente aimait raconter aux serveurs que Robert était un producteur de films X et eux, ses acteurs. Leur spécialité théâtrale : les batailles d’eau. Il était souvent tard quand la bande reprenait le chemin du 5e arrondissement."
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http://www.lescrutateur.com/2019/07/qui-connait-robert-piumati-le-vautrin-pygmalion-de-manu-rastignac.html
#Macron #Mensonge #État
MACRON : LE MENSONGE D'ÉTAT PERMANENT
Le Média
https://youtu.be/dnS3nTDge3I
Camille et ses invités du jour la politologue Virginie Martin, Yvan Le Bolloch, ainsi que le journaliste Alexis Poulin et la sémiologue Elodie Mielczareck sont de retour pour un cinquième épisode des Masques et la tune ! Pour cette nouvelle émission : Macron, le mensonge d'État permanent, nous allons donc parler du langage, de propagande et de post-vérité.
Qu'est ce que la post-vérité ? D'où vient ce concept ? Pourquoi est il totalement applicable au Président de la République Emmanuel Macron depuis le début de son mandat, depuis les violences policières niées malgré l'évidence et les preuves tragiques de celles ci, en passant par l'hôpital de la Pitié Salpêtrière et de sa soit disant attaque, jusqu'à la récente déclaration du Président sur la non pénurie de masque, le mensonge d'État est devenu permanent. Mais alors, comment lutter contre ces mots de la lutte qui nous sont volés ?
Orwell dans 1984 met le langage au centre du système de contrôle et de domination exercé par un pouvoir tyrannique et nous met en garde. Comment lutter contre un gouvernement qui ment tout le temps, qui nie la réalité, et qui est souvent accompagné dans ses mensonges par les médias mainstream ? Nous essayerons aussi de voir comment résister à ces logiques sémantiques et à ces contre vérité institutionnalisées.
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