jeudi 19 mars 2020

Chronique du palais : "Nous sommes en guerre!"


 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Bravo il faut faire du confinement de canard" : 

Chronique du palais : "Nous sommes en guerre!"

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/emmanuel-et-brigitte-macron-presque-seuls-a-lelysee_445000 


7 commentaires:

Anonyme a dit…

Et ils sont où, et ils sont où, et ils sont où les masques ?

Tous les soirs à 20 h, en soutien aux personnels soignants les confiné.e.s sortent sur les balcons en ville pour applaudir, chanter, crier, faire de la musique...
Isolé dans un quartier et en signe de solidarité, j'allume une bougie derrière une fenêtre visible au loin.
Pourquoi ne pas envisager une action collective à 20 h tous les soirs, comme passer un coup de fil au ministère de la Santé et des Solidarités ou aux Agences Régionales de Santé ?

Et pourquoi pas directement au palais l'Elysée au 01 42 92 81 00 ?

https://www.google.com/search?q=num%C3%A9ro+de+t%C3%A9l%C3%A9phone+de+l%27%C3%A9lys%C3%A9e+%C3%A0+paris&oq=num%C3%A9ro+de+t%C3%A9l%C3%A9phone+de+l%27Elys%C3%A9e&aqs=chrome.1.69i57j0l2.26909j0j7&client=ms-android-xiaomi-rev1&sourceid=chrome-mobile&ie=UTF-8#trex=m_t:lcl_akp,rc_ludocids:3330680507977969442,rc_q:Le%2520Palais%2520de%2520L'%25C3%2589lys%25C3%25A9e,ru_q:Le%2520Palais%2520de%2520L'%25C3%2589lys%25C3%25A9e

Anonyme a dit…

Emmanuel Macron nous demande l’indispensable, il rate l’essentiel

"Les consignes pour limiter l'épidémie de Covid-19 sont indiscutables, mais pourquoi parler de «guerre» et, qui plus est, à la première personne du singulier ? C'est collectivement que nous devons inventer un nouveau monde."
(...)

"Mais le président de la République a tort. Tort quand il emploie, sans cesse, la première personne, ce «je» par lequel il prétend incarner seul l’autorité politique. Il est heureux que les réformes en cours, dont celle des retraites, soient suspendues pour concentrer l’effort sur la crise sanitaire. Mais il est dramatique que «Jupiter» n’y trouve que l’occasion de déployer une geste monarchique, omniprésente dans l’invocation de la «guerre» contre le virus. Cette posture est aussi éculée que préjudiciable à la vie démocratique. [...] "
(...)


https://www.liberation.fr/debats/2020/03/17/emmanuel-macron-nous-demande-l-indispensable-il-rate-l-essentiel_1782089

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

HAUTE TRAHISON
Buzyn, sa vie, son œuvre

"En publiant un article (le 17.III.2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir!

Or, les Français ne sont pas débiles: ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.

Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière: "Je me demande ce que je vais faire de ma vie." Ensuite, le plat de résistance: "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste: "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation?" Pauvre petite fille riche..."
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"La dame se demande ce qui va rester de sa réputation? Probablement pas grand-chose de bien, mais pour ce faire, il eut fallu y songer un peu plus tôt...

Par exemple fin décembre de l'an dernier, début janvier de cette année, en expliquant au chef de l'État et au Premier ministre que, puisqu’elle avait compris avant tout le monde que le pire allait advenir, elle ne pouvait cautionner la politique suicidaire d'Emmanuel Macron en la matière -je rappelle, pour mémoire: affréter des avions avec l'argent du contribuable pour aller chercher les expatriés en Chine, les mettre en quarantaine dans des municipalités sans en avertir les élus, envoyer les militaires responsables de ce rapatriement non pas en quarantaine mais en permission après leur mission, probablement générer ainsi le malade zéro dans la Grande Muette qui le restera, exposer la population française donc, laisser se tenir une rencontre sportive entre Italiens et Français, envoyer le 19 février dix-sept tonnes de matériel à la Chine (équipements médicaux, combinaisons, masques, gants, produits désinfectants qui aujourd'hui font défaut...) pour lutter contre leur épidémie, adjurer la population à ne pas sortir de chez elle tout en invitant quarante-huit millions d'électeurs à aller voter au premier tour des municipales dans les 35.000 communes françaises, beugler partout que le virus ignorait les frontières et qu'il n'avait pas de passeport, avant de déclarer quelques semaines plus tard qu'en fait il en avait bien un, mais que c'était le passeport de Schengen, décréter le confinement, sans utiliser le mot, en interdisant aux familles et à leurs amis d'enterrer un défunt mais, en même temps, autoriser le travail des artisans et les sorties que chacun peut s'octroyer en signant un ausweis attestant qu'il effectue ... de l'exercice physique!

Le nom de cette dame risque d'être associé au pire: sollicitée jadis par François Hollande, puis par François Fillon, embauchée finalement par Emmanuel Macron, elle grossira la longue liste des cyniques qui faisaient passer leur carrière et leur idéologie populicide avant l'intérêt général et le bien public. Elle ne sera, hélas, pas seule."
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https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/haute-trahison

Anonyme a dit…

MESURES D’EXCEPTION ?
État d’urgence sanitaire : instrumentaliser la crise pour renforcer l’arsenal répressif

"Le projet de loi sur l’état d’urgence sanitaire passé ce jeudi à l’assemblée est inédit. Instaurant un « état d’urgence sanitaire » il permet de donner un cadre juridique à des mesures illégales en temps normal, et notamment la restriction des libertés individuelles.

Le projet de loi sur l’état d’urgence sanitaire, qui instaure un nouveau régime d’exception à l’arsenal juridique, « donne pouvoir au premier ministre de prendre par décret pris sur le rapport du ministre de la santé, les mesures générales limitant la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion et permettant de procéder aux réquisitions de tout bien et services nécessaires ». Instauré actuellement pour 12 jours renouvelables, ces mesures exceptionnelles pourront être retirées « dès lors qu’elles ne sont plus nécessaires ».

Mais ce projet qui permet au gouvernement de légiférer par ordonnance fait office de loi fourre-tout, allant du renforcement de l’arsenal répressif à l’extension des droits accordés aux employeurs et à une attaque en règle du droit du travail."
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"Ces dispositions prises par le gouvernement mettent en lumière la logique avec laquelle l’État veut instaurer le confinement de la population. D’une part il y a la nécessité de faire face à une crise sanitaire d’ampleur inédite, les mesures d’urgence à prendre pour éviter une propagation trop rapide de l’épidémie ; mais d’autre part, il y a la méthode avec laquelle sont appliquées ces mesures. Le gouvernement cherche aujourd’hui à pallier par des dispositions autoritaires la décrédibilisation de la parole publique, et le manque d’accès à l’information dont il est lui-même à l’origine. Car après le scandale qu’a été la gestion de la crise de Lubrizol, après les errements de communication gouvernementale – avec le couple présidentiel qui se rendait au théâtre pour prouver que « la vie continue » juste avant de décréter le confinement – qui peut encore faire confiance à l’État pour gérer la crise sanitaire en cours ?"
.../...

"Ces mesures répressives vont être amenées à s’amplifier au fur et à mesure que la crise sanitaire, économique et sociale s’approfondira. Celles-ci visent en définitive à préparer le terrain à de profondes attaques contre le monde du travail, comme en témoigne les dispositions sur les RTT par exemple, qui en définitive permettront de faire payer la crise aux travailleurs. Avec cet état d’urgence sanitaire, le gouvernement cherche à préparer la voie pour imposer un nouvel ordre social, un ordre où ceux qui refuseront ce qui se cache derrière le terme flou de
«réquisition» pourront aller en prison. Si le gouvernement se cache derrière les 12 jours de durée de ces mesures, on se rappelle que l’état d’urgence instauré suite aux attentats avait finalement été intégré dans la constitution. En ce sens l’état d’urgence sanitaire cherche à étendre les pleins pouvoir du gouvernement pour nous imposer une restriction drastique des droits démocratiques et des attaques historiques contre le monde du travail."


https://www.revolutionpermanente.fr/Etat-d-urgence-sanitaire-instrumentaliser-la-crise-pour-renforcer-l-arsenal-repressif

Anonyme a dit…

Mes chers concitoyens, mes chers concitoyennes, la copie de mon discours de lundi à été largement revu et approfondi par la Constituante...



Les Certitudes Balayées de Macron
Partager C'est Sympa


https://youtu.be/9hMjKshOs50


"Beaucoup de choses que nous pensions impossibles adviennent" nous disait le Président lundi soir. Message reçu 5/5 : imaginons un "jour d'après différent du jour d'avant" ! 👍👍👍

Anonyme a dit…

« Ce qui est dingue, déplore, au Point, un ancien ministre LREM déçu, c'est que ça fait 10 jours qu'on fait les malins. Même quand on a vu les schémas à Taïwan, à Hong Kong, en Chine, en Italie... Il est irresponsable de pas avoir pris plus tôt les mesures de confinement »
(...)

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/ca-fait-10-jours-quon-fait-les-malins-un-ancien-ministre-demmanuel-macron-tres-critique_445067