jeudi 9 janvier 2020

Y'a pas que le peuple d'en bas qui en a assez mais aussi les électeurs de Macron et des bourgeois.




 Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "La Macronie à la dérive" :

"Ils devraient faire attention. Y'a pas que le peuple d'en bas qui en a assez mais aussi les électeurs de Macron et des bourgeois. Je suis châtelaine, ancienne sportive de haut niveau, je paie beaucoup d'impôts et c'est normal mais où va cet argent?", a lancé Joëlle Cartaux, 68 ans, ancienne championne de France de patinage artistique, dans le défilé de Grenoble. »
(...)

https://www.google.com/amp/s/www.lexpress.fr/actualite/societe/retraites-plus-de-120-000-manifestants-hors-paris-selon-les-premiers-chiffres-officiels_2113881.amp.html

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"La peur doit changer de camp" : gilets jaunes, étudiants et syndicalistes appellent à la mobilisation contre la réforme des retraites

Tribune collective
Liste des signataires disponible à la fin du texte

«Les gilets jaunes ont mis un coup dans la fourmilière ; prenons acte que plus rien ne doit être comme avant»
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L'urgence d'un débordement populaire

«Prenons acte que, face à la réforme injuste et indigne de l’esprit solidaire de notre République que nous vend le gouvernement, seul un débordement populaire redéfinissant ses propres moyens d’action, permettra la victoire. Prenons acte que les centrales syndicales, émetteurs et catalyseurs nécessaires, ne peuvent plus assumer seules l’ampleur d’un mouvement social qui ne répond plus à aucun des codes auxquels nous sommes habitués. Prenons acte que, sans l’émergence d’un peuple libre et sans la construction d’un véritable rapport de force par des actions coordonnées de paralysie des points névralgiques de l’économie, la balle restera dans le camp de l’exécutif.

Refusant de céder à l’immobilisme convenu, et portés par la conviction que la solution se trouve et se trouvera toujours au sein du peuple lui-même, nous en appelons à une agrégation populaire. Syndicats, gilets jaunes, étudiants – le mouvement souffre de leur absence –, travailleurs, chômeurs, intellectuels, artistes, personnels soignants, agents des services publics, relégués spatiaux et sociaux, citoyens à la souveraineté bafouée, doivent se retrouver pour renverser la table. Il est l’heure de s’unir sans céder aux charmes opportuns de l’individualisation et de la stratification sociale qu’on veut nous imposer. Il est l’heure, enfin, de changer de méthode, et de mettre l’ensemble de nos forces au service d’une stratégie de renouvellement permanent. Chacun doit dépasser sa fonction et son rôle dans l’appareil productif pour, en citoyen, devenir acteur d’un nouveau rapport de force : blocage des raffineries, des universités, des grands centres de production, des pôles décisionnaires de ce libéralisme qui ruine nos vies…»
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https://www.marianne.net/debattons/tribunes/la-peur-doit-changer-de-camp-gilets-jaunes-etudiants-et-syndicalistes-appellent