samedi 16 mars 2019

Gilets jaunes : Macron écourte sa virée au ski - Le Point

https://www.lepoint.fr/societe/loin-des-gilets-jaunes-macron-s-offre-une-viree-au-ski-16-03-2019-2301597_23.php

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand Macron invite Frédéric Lordon au grand débat, la réponse « aux démolisseurs » est cinglante

Dans le cadre du grand débat national, l'Élysée pouvait difficilement inviter plus farouche opposant aux idées d'Emmanuel Macron...
Jeudi 14 mars, lors d'un rassemblement à la Bourse du travail à Paris, le philosophe Frédéric Lordon a révélé une surprenante invitation devant une salle hilare. (LeHuffPost, le 14 mars 2019)

La réponse de Frédéric Lordon (extraits) :

« Cher monsieur Macron,

Vous comprendrez que si c'est pour venir faire tapisserie le petit doigt en l'air, au milieu des pitres façon BHL et Enthoven, ou les intellectuels de cour comme Patrick Boucheron, je préférerais avoir piscine, ou même dîner avec François Hollande...

Au moins, votre invitation ajoute-t-elle un élément supplémentaire pour documenter votre conception du débat. Savez-vous qu'à part les éditorialistes qui vous servent de laquais et répètent en boucle que "la démocratie c'est le débat", votre grand débat, personne n'y croit ? Vous même d'ailleurs, nous ne sommes pas certains que vous y croyez...

(...) Vous détruisez le travail, vous détruisez les territoires, vous détruisez les vies et vous détruisez la planète ! Si vous vous n'avez plus aucune légitimité, le peuple lui a entièrement celle de résister à sa propre démolition. Craignez même que dans l'élan de sa fureur, il ne lui vienne à l'idée de démolir ses démolisseurs... Et comme en arriver là n'est souhaitable pour personne, il reste une solution simple, logique, et qui préserve l'intégrité de tous : monsieur Macron il faut partir ! monsieur Macron rendez les clés !»

https://mobile.agoravox.tv/actualites/politique/article/quand-macron-invite-frederic-80968

Anonyme a dit…

(...) «Car plusieurs préfets témoignent anonymement et, visiblement désabusés, ils se lâchent: «Ce qui se passe est le fruit d’années de fragmentation de la société française, juge l’un d’eux. Pour l’heure, la réponse de l’exécutif est à côté de la plaque.» «Je suis très inquiet car le pouvoir est dans une bulle technocratique, renchérit un autre. Ils sont coupés de la France des braves gens qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois. Ils n’ont aucun code et aucun capteur. Nous, les préfets, pourrions leur donner des éléments mais ils ne nous demandent rien. Quand ils viennent sur le terrain, c’est parés de leur arrogance parisienne_.» (...)

https://reflets.info/articles/sale-ambiance-dans-les-prefectures