mardi 25 décembre 2018

Emmanuel Macron au plus mal...

http://www.letribunaldunet.fr/actualites/macron-fatigue-sort-plus-sans-maquiller-maquille-mains-depute.html?utm_source=welcome_tdn&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter_tdn

3 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.lejdd.fr/Politique/pourquoi-emmanuel-macron-pourrait-vivre-une-annee-2019-pire-que-2018-3827282

Anonyme a dit…

.../...
«Il fallait oser, sur fond de crise des « gilets jaunes » et de fins de mois difficiles d’une grande partie des Français, discourir sur une force de dissuasion française certes ramenée, comme le répètent ses concepteurs, à une « stricte suffisance », mais qui consomme déjà en année « normale » la bagatelle de 3,6 milliards d’euros. Et qui en dévorera un de plus l’an prochain, jusqu’à atteindre 6 milliards en 2025 — soit un total de 37 milliards sur la période 2019-2025, si l’on suit la trajectoire fixée par la Loi de programmation militaire (LPM). L’augmentation sera de 60 % par rapport à la LPM précédente, pour cause de modernisation du système : les vecteurs, les projectiles, les transmissions, etc.

Du côté des armées, on redoute que le budget de la « mission défense » soit mis un jour sinon en coupe réglée par Bercy, du moins en situation d’avoir à contribuer au financement des mesures fiscales et sociales destinées à apaiser la vague de protestation des « gilets jaunes » : la suspension des augmentations de taxes sur les carburants, et les mesures annoncées par le président Macron le 10 décembre coûteront à l’État au bas mot une dizaine de milliards, et il n’est pas exclu qu’un autre train de mesures vienne alourdir la facture.».../...

https://blog.mondediplo.net/les-gilets-et-la-bombe

Anonyme a dit…

Les « gilets jaunes » et « la fin du somnambulisme politique »

Les élites politiques et économiques se sont montrées aveugles aux signaux d’alarme sur le pouvoir d’achat et le ras-le-bol fiscal qui s’accumulent depuis des années.

Par Jean-Michel Bezat, Le Monde.
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«Chronique. Maintenant que la plupart des ronds-points sont dégagés, les feux de palettes éteints et une majorité de « gilets jaunes » rentrés dans leurs pénates, les élites politiques et économiques soufflent un peu, sidérées par la fulgurance d’un mouvement qui a pris comme un feu de paille sur les réseaux sociaux, la violence des manifestations et l’explosion tous azimuts des revendications. Sidérées, mais pourquoi ?
On pourrait tout aussi bien s’étonner que l’incendie n’ait pas pris plus tôt, tant les signaux d’alarme s’accumulaient depuis des années, sur le pouvoir d’achat et le ras-le-bol fiscal entre autres. Le premier stagne pour beaucoup depuis la crise financière de 2008 ; le second enfle plus vite que la création de richesses, avec 70 milliards d’euros de prélèvements supplémentaires entre 2015 et 2017. Les « élites » et la noblesse d’Etat conspuées sur les barrages ne peuvent pas dire : « Nous ne savions pas ! » Elles savaient, et par de nombreux canaux.»