Saisissante analyse du philosophe Alain Deneaut. «Des totalitarismes d'antan à celui d'aujourd'hui, on est passé d'un ordre psychotique de domination où une autorité toute-puissante et hyper visible donne le la de la réalité sociale et judiciaire, à un ordre pervers où la loi semble s'imposer d'elle-même comme la pluie, sans que les intéressés qui la coordonnent ne se distinguent particulièrement des sujets qui la subissent [...]. Les maîtres pervers [...] dominent en élaborant des formes d'autorité qui passent pour objectives. C'est en celà qu'on reconnaît la finesse nouvelle du totalitarisme contemporain.»
Sûr qu'avec le chef d'État qui a été élu à la tête du pays dimanche dernier, ce «nouvel ordre économique» n'est pas prêt d'être remis en question!
Tout ce blabla depuis des années ! Mais qui c'est qui à demander à voter pour lui, alors que vous saviez très bien que rien ne serait remis en question ? Toujours la même histoire, ne venez pas vous plaindre ensuite.
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Saisissante analyse du philosophe Alain Deneaut.
«Des totalitarismes d'antan à celui d'aujourd'hui, on est passé d'un ordre psychotique de domination où une autorité toute-puissante et hyper visible donne le la de la réalité sociale et judiciaire, à un ordre pervers où la loi semble s'imposer d'elle-même comme la pluie, sans que les intéressés qui la coordonnent ne se distinguent particulièrement des sujets qui la subissent [...]. Les maîtres pervers [...] dominent en élaborant des formes d'autorité qui passent pour objectives. C'est en celà qu'on reconnaît la finesse nouvelle du totalitarisme contemporain.»
Sûr qu'avec le chef d'État qui a été élu à la tête du pays dimanche dernier, ce «nouvel ordre économique» n'est pas prêt d'être remis en question!
Tout ce blabla depuis des années ! Mais qui c'est qui à demander à voter pour lui, alors que vous saviez très bien que rien ne serait remis en question ? Toujours la même histoire, ne venez pas vous plaindre ensuite.
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