vendredi 3 février 2017

A force de vouloir être partout ...
" on finit par être sur le Blog du Réboussier "


CHRISTOPHE RIVENQ : L’HEURE DU CHOIX !
A force de vouloir être partout on finit par être nulle part, l’ambitieux Christophe Rivenq, bras droit de Mister Max, finit par se prendre les pieds dans le tapis ( un bras qui se prend les pieds c’est déjà original).
Directeur de cabinet de Max Roustan, Maire d’Alès, Directeur Général des Services de Max Roustan, Président de l’agglo, Conseiller Régional à Toulouse et candidat à la candidature pour les prochaines législatives, le moins que l’on puisse dire c’est que notre « Iznogoud » local ne manque pas d’ambition et considère son petit nombril comme incontournable.
Le problème est que le mélange des genres finit par coûter cher à nos communes aspirées de gré ou de force dans Alès Agglomération.
Comment solliciter, en tant que Directeur de l’Agglo, un partenariat ou une subvention de la Région pour la réalisation d’un projet sur notre territoire alors que l’on est le chef de file de l’opposition de droite au Conseil Régional ?
Défendre un dossier de subvention quand on vote contre le budget, mêlant au passage sa voix à celles des élus du front national, relève d’une mission impossible même pour celui qui se prend pour superman.
Le résultat c’est que nos communes souffrent aujourd’hui des ambitions de Monsieur Rivenq et se retrouvent pénalisées au cause d’un homme qui est censé les représenter alors qu’il ne représente que lui-même.
Même ses amis politiques commencent à être agacés par une telle situation.
Après avoir tenté, sans succès, de faire élire sa « Pénélope » aux dernières élections départementales, l’homme au cigare, veut absolument devenir Député. Il est vrai qu’en dehors des scrutins de listes, « Iznogoud » ne s’est encore jamais frotté au suffrage universel.
Allons Monsieur Rivenq, puisqu’il faut faire des choix, laissez donc vos fonctions (il est vrai fort bien rémunérées) à l’Agglo et à Alès, et présentez-vous enfin à une vraie élection. Il faut savoir prendre des risques dans la vie.
Professeur Vitriol



4 commentaires:

Anonyme a dit…

Rivenq est comme la plupart des ténors de tous les partis, dans toutes les strates de l'organisation politique de la république d'hier. Même jeune, c'est un vieux ! Etre "jeune" aujourd'hui en politique ? Ce n'est pas une affaire d'âge mais une affaire d'état d'esprit. Les américains ont choisi Trump parce que c'est tout ce que le système leur proposait face aux politicards enkystés dans leurs certitudes à mille lieux des préoccupations quotidiennes des peuples. En France aujourd'hui le choix à la présidence est plus éclectique, à chacun de voir pour lui ce qui peut être "le mieux possible" dans une république qui resterait démocratique ! Macron ? Hamon ? Sauf si les LR nous trouve un remplaçant à leur canasson véreux et archaïque, un "super jeune progressiste", on peut considérer qu'ils sont hors course pour empêcher la venue des "fachos masqués" au pouvoir ?

Anonyme a dit…

Bonne analyse, je dirai même excellente! Reste à choisir le moins pire, triste perspective.

Anonyme a dit…

Genial ce texte plein d' humour
Encore…encore!

Anonyme a dit…

Il ne peut plus se présenter moins de 6 mois de l'ELECTION !
Et de toute façon c'est un repoussoir ce serait un coup à faire élire un PCF ou un FN à coup sûr !