Il ne peut y avoir que deux finalistes. Programmé à seulement trois jours du premier tour de la primaire de la gauche, l'ultime débat télévisé de ce jeudi 19 janvier revêtait une importance considérable pour les quatre favoris du scrutin qui désignera le champion de la gauche gouvernementale à la présidentielle.
Faute de sondages clairs ou de certitude sur la participation de ce dimanche, aucune équipe de campagne n'est en mesure d'affirmer que son poulain sera toujours en lice lundi prochain.
Personne ne l'attendait, il n'en a pas moins marqué des points dans au moins deux des trois débats télévisés de la primaire de la gauche.
Face aux quatuor des favoris socialistes, l'écologiste François de Rugy s'est imposé comme la surprise des "petits" candidats malgré une notoriété faible et un style plus conventionnel que son ancien collègue des Verts Jean-Luc Bennahmias.
C'était annoncé, cela n'a pas traîné. Porté par une belle dynamique sondagière et des meetings à guichets fermés, Benoît Hamon et sa proposition-phare, le revenu universel d'existence, ont été pris pour cible à plusieurs reprises par ses adversaires.
Manuel Valls, qui a recentré sa campagne après un début très à gauche, qui a brouillé son image, a dit ne pas vouloir d'une "gauche qui fait des promesses à crédit pour ne pas qu'elle perde demain son crédit".
La question de la parité et de l'égalité entre les hommes et les femmes s'est invitée pendant plusieurs minutes dans l'ultime débat télévisé avant le premier tour de la primaire de la gauche.
Malgré la présence d'une seule femme dans la compétition, tous les candidats sont tombés d'accord sur la nécessité d'agir pour garantir le principe dans les faits.
Son message a été partagé plusieurs centaines de fois en quelques minutes. Une internaute sourde, qui comptait suivre le troisième et dernier débat avant le premier tour de la primaire de la gauche, a partagé son désarroi sur Twitter, ce jeudi 19 janvier.
"Je suis sourde et je veux suivre le débat de la primaire comme tout le monde. Mais les sous-titres sont pourris sur France 2", écrit Emmanuelle.
Dans une joute télévisuelle où chaque seconde compte, gare aux langues qui fourchent. Le dernier débat télévisuel avant le premier tour de laprimaire de la gauche s'est ouvert sur une vieille promesse restée lettre morte de Lionel Jospin: celle de réduire à zéro le nombre de sans-abris en France.
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 20 janvier 2017
À la Une ce matin: Ce qu'il ne fallait pas rater du dernier débat de la primaire de gauche
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