dimanche 16 octobre 2016

La revue de la semaine #2 : Syrie, médias, Orwell, CETA, lobbies, agriculture

Regardez cette vidéo sur YouTube :

https://youtu.be/YxhxvRoCATY

4 commentaires:

Anonyme a dit…



http://www.rtl.be/info/monde/economie/wikileaks-publie-des-discours-de-clinton-pour-goldman-sachs-859498.aspx?hash=6653656b-d4a6-4c64-aee1-1ab13439f4fc&utm_medium=social&utm_source=facebook

Anonyme a dit…

Y a des fois on se demande si nos élus ne sont pas déconnectés des réalités surtout les communistes !

http://www.objectifgard.com/2016/10/15/gard-departement-orange-a-rescousse-clients-endettes/

plutôt que de s'occuper de la facture du smartphone Samsung 6 (il paraît que le 7 à des problèmes et ils sont au courant)ou de l'iphone 8 de quelques cas sociaux (que soit dit en passant je ne peux pas moi me payer...)
il ferait mieux de voir les factures d'EDF ou d'eau !

Ou plus vicieux plutôt que de payer des factures payer certains travaux pour faire baisser les factures !

Anonyme a dit…

"Le monde appartient à ceux qui n'ont rien."

Anonyme a dit…

La faction dite "critique" du PSOE le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol, qui n'a plus rien de socialiste ni d'ouvrier, a failli éclater au terme d'un vaudeville à couteaux tirés le samedi 1er octobre 2016 à Madrid.
Le secrétaire général du PSOE, Pedro Sánchez (44 ans) a été mis en minorité au comité fédéral (direction nationale du parti) et contraint de démissionner.
La "cheffe" des socialistes andalous et présidente de la communauté, Susana Díaz, aux dents capables de rayer les parterres de l'Alhambra, a été chargée de la mise à mort du secrétaire général par les "barons" socialistes, soit toute la clique des ex et nouveaux caciques nationaux et/ou régionaux.
Dopés par Felipe González, la vieille haridelle sur le retour et qui fut président du gouvernement durant 4 mandats (de 1982 à 1996), ils viennent de faire un cadeau royal au Parti Populaire de Mariano Rajoy en vue d'une "grande alliance"...
A tel point que de nombreux militants de gauche parlent aujourd'hui du PPSOE, tellement la politique économique, sociale, austéritaire -laminage des services publics, etc- des deux partis est sensiblement la même, totalement alignée sur Bruxelles.
Les masques s'écaillent : l'émergence de Podemos a siphonné des milliers d'électeurs socialistes. Dans ce coup de force pour se débarrasser de Sánchez, ce que les "barons" ont surtout voulu, c'est empêcher toute possibilité de coalition PSOE-Podemos-IU. Il semble que des contacts en ce sens étaient en cours entre Pedro Sánchez et Podemos, pour tenter d'ouvrir une alternative à gauche.
Le bipartisme espagnol, le "tournisme", à de beaux restes et le soutien des élites financières et économiques. Le quotidien "El País", propriété de la multinationale Prisa, a appelé ouvertement à battre Pedro Sánchez afin de permettre un gouvernement Rajoy pour "stabiliser" l'Espagne.
Et pour continuer de la saigner à blanc.
¡Arriba Ibex 35!
(équivalent CAC 40)