samedi 14 mars 2009

On peut condamner les « erreurs du passé » mais peut-on éviter les « erreurs du futur » ?



Extrait d’un article de Grand-Sud Libre du 14 mars 2025, paru en page Région


La création des « villes nouvelles » obéit à un double impératif :
faire face aux besoins croissants des populations en matière d’habitat et contribuer à l’éradication des ensembles sociaux construits à la va vite afin d’éloigner des centres-villes les populations de chômeurs, marginaux et SDF qui prolifèrent en ces temps de crise.
Selon les responsables qui ont tiré les leçons des erreurs des programmes antérieurs, notamment autour d’Anduze, les villes nouvelles ne doivent pas ressembler à des cités-dortoirs.
Elles seront dotées d’un maximum d’infrastructures et d’équipements collectifs : administrations, écoles, dispensaires, églises, mosquées, temples et complexes sportifs.
Elles seront par ailleurs connectées aux réseaux de transport urbain afin de favoriser la mobilité des habitants, condition sine qua none pour y créer aussi un minimum d’activité économique. Pas question donc de refaire d’immenses cités-dortoirs avec ce que cela suppose comme risques sociaux et insécurité en découlant.

Le château de Tornac est encore là, un périmètre de sécurité et un dispositif de surveillance en interdisent l’accès au public.
Petite anecdote : Le maire d’Anduze a failli récemment se tordre la cheville sur la calade, conscient des risques encourus pour ses concitoyens sur ce site encore sauvage, il a interpelé le Grand Gouverneur de Région pour obtenir un budget complémentaire afin de renforcer le dispositif de sécurité.


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1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est qui le maire d'Anduze ? je ne me rappelle plus ! c'est vrai que de nos jours on le voit jamais.