vendredi 30 août 2024
Grande inquiétude sur la situation agricole de notre département.
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Le président du Modef du Gard, Frédéric Mazer, a envoyé une lettre au préfet pour lui signifier sa grande inquiétude sur la situation agricole de notre département.
"La fédération départementale syndicale agricole des exploitants familiaux du Gard, bref le mouvement de défense des exploitants familiaux (Modef) est préoccupé par les conditions gardoises. Fréderic Mazer, éleveur de brebis à Corbès et président du Modef Gard, est clair. La situation est grave : « Nous venons d'alerter le préfet du Gard sur trois problématiques. La situation viticole gardoise, le problème de la FCO fièvre catarrhale ovine et l'apiculture. »
https://www.objectifgard.com/actualites/gard-le-modef-avertit-le-prefet-bonet-133241.php
Emmanuel Macron n'aurait pas nommé Lucie Castets durant l'été pour empêcher une prise d'initiative de sa part (ex : l'augmentation du SMIC), laquelle aurait été pe
Pourquoi Macron n'a pas voulu nommer Lucie Castets en août ?
Journal l'Humanité
https://youtube.com/shorts/KnpPiWKxxa0?si=WvIHY6hlITI64Q-h
Selon l'ancien conseiller de François Hollande, Gaspard Gantzer, Emmanuel Macron n'aurait pas nommé Lucie Castets durant l'été pour empêcher une prise d'initiative de sa part (ex : l'augmentation du SMIC), laquelle aurait été permise par le calendrier parlementaire.
jeudi 29 août 2024
La droite très généreuse avec le privé catholique
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La droite très généreuse avec le privé catholique
Ces financements supra-légaux sont plafonnés par la loi : ils ne peuvent excéder 10 % des dépenses de fonctionnement de l'établissement. Mais cette restriction ne s'applique qu'aux lycées généraux, pas aux établissements agricoles, techniques, professionnels. Il suffit donc que se crée, dans un lycée général, une section technologique ou professionnelle, pour que saute le verrou des 10 % et que s'ouvre en grand le robinet des subventions publiques…
Ce n'est pas vraiment surprenant : les Régions dirigées par la droite sont en tête du palmarèsde cette charité bien mal ordonnée. Selon Mediapart, Auvergne-Rhône-Alpes, dirigée par Laurent Wauquiez (LR), a versé 261 millions d'euros de subventions supra-légales entre 2016 et 2023, juste devant Pays de la Loire (Christelle Morançais, Horizons) qui a mis 234 millions au pot du privé.
En termes de financement par tête, c'est toutefois la très catholique Bretagne, présidée par le socialiste Loïg Chesnais-Girard, qui détient le pompon avec une subvention de 5 610 euros par lycéen du privé. Mention spéciale à la Région Île-de-France de Valérie Pécresse (LR), qui a multiplié par six, en huit ans, sa subvention au privé.
Un arrosage qui bénéficie, entre autres, à l'ancien établissement de Madame la présidente, le très huppé lycée Sainte-Geneviève de Versailles (1,6 million depuis 2020), ou au désormais célèbre lycée Stanislas (1,5 million en huit ans), ses sept gymnases, ses deux piscines… et ses enquêtes administratives."
https://www.humanite.fr/societe/enseignement-prive/12-milliard-dargent-public-ce-quil-faut-retenir-des-revelations-de-mediapart-sur-les-rallonges-octroyees-a-lenseignement-prive
Les milieux économiques «poussent un ouf de soulagement»,
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UN MARTIN S'EN VA À LA CHASSE ...
"Les milieux économiques «poussent un ouf de soulagement», «le pire est évité», «exit LucieCastets» et un programme «qui donnait de légitimes sueurs froides aux entreprises et à ceux qui connaissent l'économie», claironnait le journal de référence du patronat les Echos, après la décision d'Emmanuel Macron de claquer la porte de Matignon au nez de la candidate de la gauche unie. Vade retro le spectre soviétique d'un rétablissement de l'ISF, de l'abrogation de la réforme des retraites et de l'augmentation du smic à 1 600 euros. Autant de mesures de justice sociale qui étaient au cœur du programme de gouvernement du Nouveau Front populaire (NFP), à rebours de la «politique de l'offre» inégalitaire menée par Emmanuel Macron depuis 2017 au profit des grandes entreprises et des plus aisés."
https://www.liberation.fr/economie/vade-retro-le-smic-a-1-600-euros-le-patronat-jubile-20240828_5YV4CJLVXZAEHEIZEABIVVBQOQ/
mercredi 28 août 2024
Censurons Macron
Après avoir dissout l'Assemblée sur un coup de tête, Emmanuel Macron a décidé, ce lundi 26 août, encouragé par la droite et l'extrême droite, de s'assoir sur les résultats des élections législatives qui ont placé le Nouveau Front Populaire en tête, en refusant de nommer Lucie Castets Première ministre.
Face à ce coup de force et au nom de la démocratie, notre réponse doit être ferme : mobilisons-nous en masse le samedi 7 septembre prochain et censurons Emmanuel Macron !
Retrouvez les appels des différentes organisations de jeunesse, de l'Union Etudiante, de l'Union Syndicale Lycéenne, de La France Insoumise et de Picardie Debout.
Retrouvez l'interview de Lucie Castets ce matin sur France Inter :
La rentrée sera chargée, et elle se prépare dès ce samedi 31 août à Flixecourt, de 12h à 19h, pour la rentrée politique de François Ruffin, initiateur du Front Populaire, à laquelle participeront de nombreuses et de nombreux élu·e·s, militant·e·s et travailleur·se·s.
Au programme : animations pour adultes comme enfants (pétanque, karaoké et châteaux gonflables garantis !), grand stand du NFP, ateliers-débats et meeting festif. Restauration et buvette sur place.
→ Pour venir, n'hésitez pas à consulter les covoiturages et bus proches de chez vous.
→ Pour venir en bus depuis Paris, réservez votre place ici.
→ N'hésitez pas à relayer l'événement Facebook autour de vous.
Je m'inscris à l'événement
Ces rendez-vous de rentrée sont essentiels : n'hésitez pas à les partager et à vous y rendre aux côtés de vos proches, de vos collègues, de vos camarades pour marteler haut et fort que nous sommes prêts à gouverner !
Il n'y a pas d'autre solution que Lucie Castets.
Front Populaire !
mardi 27 août 2024
Eaux métalliques: dans les Cévennes, un «paradis empoisonné» .
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DECLARATION DE RENTREE DE PAUL PLANQUE
DECLARATION DE RENTREE DE PAUL PLANQUE
Avec cette rentrée post-électorale et post-Jeux Olympiques, nous nous trouvons dans un contexte très particulier et anxiogène.
Après l'euphorie des Jeux Olympiques, la « parenthèse enchantée » s'est refermée ; et notre pays, tel un bateau ivre, dérive vers des contrées inconnues avec à sa barre un Commandant sans boussole ; si ce n'est celle de la protection de sa petite personne et des intérêts de ses compagnons de fortune (et non d'« infortune » !).
Refusant de reconnaître sa défaite et l'espoir suscité par le Nouveau Front Populaire (espoir confirmé dans les urnes), le Président MACRON préfère jouer avec les institutions et de façon totalement antidémocratique tenter des alliances visant à priver du pouvoir celles et ceux que les Françaises et Français ont placé en tête de leurs suffrages.
Comme s'il regrettait le désaveu exprimé à l'encontre du Rassemblement National et l'efficacité du front républicain, il tente de « refaire la partie ».
Fustigeant les responsables de LFI, il les présente comme « infréquentables » politiquement, les renvoyant dos à dos avec ceux du Rassemblement National.
Cette manoeuvre ne doit pas nous tromper ; elle n'a pour seul but que de tenter de faire émerger une majorité centriste qui continuerait de défendre les intérêts des plus nantis et qui contribuerait à désenchanter encore plus les Françaises et les Français quant à l'utilité du vote.
Dans ce contexte, et plus que jamais, les membres du Nouveau Front Populaire doivent faire valoir leur volonté indéfectible à rester unis ; et doivent rester sourds aux appels socio-libéraux.
Sur Alès, cet épisode électoral a été marqué par le refus de la Droite alésienne à faire appel, dans le cadre du front républicain, à voter pour les candidats NFP en lice au second tour des élections législatives. Max ROUSTAN et Christophe RIVENQ portent ainsi la lourde responsabilité de l'élection d'un second député Rassemblement National sur notre ville.
L'argument fallacieux utilisé, prétextant qu'ils « n'ont pas à dicter leur choix aux électeurs », ne tient pas, tant par le passé, lorsqu'ils le jugeaient nécessaire, ils ne se sont pas privés de le faire. C'est donc, en conscience, qu'ils ont préféré un candidat RN (Alexandre ALLEGRET-PILOT), parachuté sur la 5èmeCirconscription (et suspecté de tentative d'escroquerie), à Michel SALA, Député LFI-NFP sortant ; au moment où Catherine DAUFES-ROUX, elle, s'honorait en faisant un appel sans équivoque à voter pour le député sortant.
Quant à la jeune Conseillère Départementale, Léa BOYER, qui avait bénéficié des voix de la Gauche lors de son élection pour faire barrage au candidat RN, désormais candidate à la députation sur cette même 5ème circonscription, apprenant vite de ses ainées (ROUSTAN/RIVENQ), elle a, elle aussi, « oublié » le réflexe républicain.
Le même choix dans la 4ème circonscription a conduit au même résultat. De Max ROUSTAN à Christophe RIVENQ en passant par Nadia EL OKKI et Pierre MARTIN, ils ont tous facilité la réélection du député RN, Pierre MEURIN, contre notre camarade Arnaud BORD (PS-NFP).
Il et elles sont désormais toutes et tous comptables de ce choix. D'autres échéances électorales approchent et sachons se souvenir de leur attitude.
Celles et ceux qui nous disent au conseil Municipal d'Alès ou au Conseil d'Agglomération « n'être ni de Droite, ni de Gauche », lors des consultations nationales, retrouvent leur boussole….qui indique « A Droite, A Droite toute ! ».
Il existe sur Alès et sur l'Agglo une majorité qui ne partage pas ces choix.
Au moment où le passage de relais entre Max ROUSTAN et Christophe RIVENQ nous est annoncé (au Printemps 2025 semble-t-il), oeuvrons à élargir et construire cette majorité.
Du Printemps alésien, au Nouveau Front Populaire, au mouvement syndical, au monde associatif, aux forces citoyennes et républicaines retrouvons nous, dès la rentrée ;pour, au niveau local, donner de l'espoir :
Pour qu'Alès et l'Agglo, ses habitantes et habitants, en 2026, ouvrent une nouvelle page plus solidaire, plus créative, plus respectueuse de son environnement, plus joyeuse….plus humaine en quelque sorte !
Le 21/08/2024
Face au coup de force antidémocratique, l’heure est au sursaut populaire !
Face au coup de force antidémocratique, l'heure est au sursaut populaire !
Publié le 27 août 2024
Le Président de la République a annoncé hier par communiqué refuser la nomination de Lucie Castets comme Première Ministre d'un gouvernement du Nouveau front populaire invoquant une menace pour « la stabilité institutionnelle » de notre pays.
Cette décision est un coup de force anti-démocratique inacceptable lourd de dangers pour la République.
La réalité est que le Président de la République n'accepte pas le verdict des urnes et tout changement de politique.
Le parti présidentiel, la droite républicaine et le Rassemblement national ont passé un pacte pour satisfaire les marchés financiers et poursuivre la politique d'austérité menée depuis plus de sept ans par le pouvoir.
Le PCF est déterminé à poursuivre le combat pour les mesures attendues par le pays, à commencer par l'abrogation de la réforme des retraites, l'augmentation des salaires et des pensions, l'amélioration des conditions de travail et de nouveaux droits pour les salariés, la reindustrialisation du pays, le développement de l'emploi et des services publics financés par une toute autre utilisation de l'argent pour répondre aux besoins.
Notre parti ne participera pas au simulacre de consultations que poursuit le Président de la République dans le but de justifier son coup de force et légitimer une décision déjà prise.
Le PCF appelle à la mobilisation populaire, des forces du Nouveau front populaire et de toutes les forces vives du pays qui partagent l'urgence sociale et démocratique pour rendre incontournable les exigences de changement que les Français et les Françaises ont exprimé lors des élections. Et il appelle nos concitoyens à investir massivement la Fête de l'Humanité pour en faire le grand rendez-vous de la construction de l'alternative politique en cette rentrée.
Paris, le 27 août 2024.
Parti communiste français
https://m.youtube.com/watch?v=9hyIMfR0Sx0
PCF ALÈS
30, rue Beauteville, 30100, Alès
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