mercredi 16 mai 2018

Nicolas Hulot annonce qu'il décidera cet été s'il reste au gouvernement

Nicolas Hulot annonce qu'il décidera cet été s'il reste au gouvernement

Nicolas Hulot annonce qu'il décidera cet été s'il reste au gouvernement

Invité de BFMTV, le ministre de la Transition écologique et solidaire annonce qu'il "aura un moment de vérité" cet été avec le Premier ministre. 

(CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP)

Marlène Schiappa indignée par la "misogynie crasse" du député LR Fabien di Filippo

Marlène Schiappa indignée par la "misogynie crasse" du député LR Fabien di Filippo

Marlène Schiappa indignée par la "misogynie crasse" du député LR Fabien di Filippo

La ministre a vu rouge après des allusions à sa vie sexuelle proférées par un député de l'opposition.

POLITIQUE - Le ton est singulièrement monté dans la nuit de mardi à mercredi à l'Assemblée nationale où les députés ont veillé jusque tard pour achever l'examen du projet de loi contre les violences sexuelles et sexistes porté par la ministre Marlène Schiappa. Comme cela était attendu, l'adoption de l'article 2, très décrié par certains députés de l'opposition et des associations, a concentré l'essentiel des attaques visant le gouvernement, accusé d'avoir renié sa parole en proposant une version allégée du texte.

Cet article précise dans le code pénal que, dans le cas d'un viol, "lorsque les faits sont commis sur un mineur de 15 ans", la contrainte ou la surprise pourront également être caractérisées par "l'abus de vulnérabilité de la victime ne disposant pas du discernement nécessaire pour consentir à ses actes". Une formulation qui entend "faciliter" les condamnations pour viols sur mineurs mais qui est loin de l'intention initiale d'instaurer une "présomption de non-consentement", qui impliquait que toute pénétration sur un mineur de moins de 15 ans était considérée comme un viol.

"Conception libertaire des rapports sexuels"

Dans une atmosphère déjà pesante, les discussions sur ce volet du texte ont conduit le député Les Républicains Fabien di Filippo à s'en prendre directement la ministre en charge de l'Egalité entre les hommes et les femmes. "Madame la ministre, ce qui est irresponsable et incompréhensible pour les Français, c'est que vous puissiez manquer à votre parole et faire passer votre conception libertaire des rapports sexuels, y compris entre mineurs et majeurs, avant la protection de nos enfants!", a déclaré au micro le parlementaire, dans ce qui ressemblait à une allusion au passé d'écrivaine de romans érotiques de la ministre.

Accueillis par une rumeur de désapprobation, ces propos ont fait bondir Marlène Schiappa qui s'est indignée que de telles allusions puissent être proférées. "Je demande une suspension de séance. M. le député Filippo n'a pas à m'insulter de la sorte ni à faire de suppositions qui sont totalement déplacées dans le cadre des débats qui démontrent une fois encore sa misogynie crasse et son ignorance profonde de ce qu'est la liberté des femmes", a-t-elle riposté, visiblement furieuse. Avant d'en rajouter une couche sur son compte Twitter.

Propos inqualifiables et hallucinants de M. Di Filippo à mon encontre qui fait référence à ma « vie sexuelle » pour justifier son argumentaire !
Je demande une suspension de séance.
Merci @DimitriHoub17 et @RixainMP pour leur rappel au règlement.

— MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa)

"Ces réactions n'ont pas lieu parce que vous êtes une femme et c'est une femme qui vous parle. Elles ont lieu parce que vous fustigez nos propositions; Et je crois que vous desservez la cause des femmes lorsque vous vous mettez dans un rôle de femme au lieu de vous mettre dans un rôle de ministre", lui a répondu la députée LR de Savoie Emilie Bonnivard, sous les encouragements de l'opposition de droite.

De son côté, le député de la France insoumise Alexis Corbière a tenté de radoucir l'ambiance des débats en relevant des propos "pas adaptés" de part et d'autre. "Qu'est-ce qu'une sexualité dite libertaire? Est-ce de porter des sous-vêtements rouges et noirs, peut-être?", a-t-il plaisanté avant de s'adresser à Marlène Schiappa. "Mme la ministre vous utilisez souvent dans la réplique la misogynie en toute occasion, en l'occurrence ce n'était pas adapté. Réactionnaire, conservateur, une sexualité triste sans aucune doute, mais certainement pas misogyne", a-t-il conclu sous les rires de l'Assemblée.

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mardi 15 mai 2018

EXCEPTIONNEL L'Aigoual sous la neige ! - Objectif Gard

EXCEPTIONNEL L'Aigoual sous la neige ! - Objectif Gard

EXCEPTIONNEL L'Aigoual sous la neige !

Photo DR Pompiers du Gard

Le Mont-Aigoual est sous la neige depuis ce week-end. Selon les services de Météo France, ce sont 40 cm qui sont tombés dans le secteur. Une situation que l'on pourrait croire anormale et pourtant, le même phénomène s'était déjà produit en 2010.

Comme nous l'explique Stéphane Roos, délégué territorial de Météo France Gard-Lozère : "Nous sommes dans une phase de transition dans le changement climatique. C'est une situation assez curieuse car à cette période, on devrait avoir exactement le temps inverse. Mais une goutte froide venue par l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse entraîne un temps très humide et des températures de 15 degrés inférieur au normal de saison."

Thomas Vidal, maire de Valleraugue est inquiet de son côté "pour la végétation dont malheureusement, nous prévoyons de gros dégats."

Photo DR Pompiers du Gard
Photo DR Gendarmes du Gard

A suivre... Stéphane Roos est l'invité du 7h50 demain matin. Il nous en dira plus sur les prévisions météo des prochains jours dans le Gard et même quelques tendances pour cet été.

Pétition : Pour la défense du bois des Lens

Pétition : Pour la défense du bois des Lens

Pour la défense du bois des Lens

Pétition : Pour la défense du bois des Lens

Monsieur le Préfet du Gard


Le bois des Lens est un espace naturel encore très bien conservé de 8400 ha situé au nord de Sommières (Gard) et partagé par 19 communes limitrophes.


Actuellement, la mairie de Moulézan projette sur ce massif un parc éolien comprenant six machines. Or deux projets similaires, dont l'un déjà sur Moulézan, ont fait l'objet d'un refus de permis de construire par la préfecture du Gard en 2009, en raison du caractère très élevé du risque incendie sur cette zone. Les opérateurs éoliens ont fait appel de la décision préfectorale, mais ils ont dû renoncer à leur projet en raison d'une décision du Conseil d'État de décembre 2016 statuant que ces projets éoliens étaient de nature à augmenter le risque incendie dans un espace déjà très exposé au feu, et à mettre ainsi en péril la sécurité publique.


D'un point de vue environnemental, le bois des Lens est entièrement classé en ZNIEFF 2, est défini comme un important couloir écologique entre le Gardon et le Vidourle dans le dispositif de la Trame Verte et Bleue et il constitue un poumon vert entre les agglomérations de Nîmes et d'Alès.


Mais, malgré cela, ce nouveau projet éolien à Moulézan est mis à l'étude, ce qui est inacceptable, car :


— comme pour les projets précédents, écartés par la justice, le risque incendie sera fortement augmenté en raison de la création d'une zone d'exclusion aérienne d'un rayon de 600 m autour des éoliennes de très grande hauteur, ce qui rendra aléatoire l'intervention des avions ;


le bois des Lens est un espace naturel d'un seul tenant et riche d'une grande biodiversité. Les éoliennes projetées vont introduire une rupture dans ce couloir écologique et constituer un risque de mortalité accru pour de nombreuses espèces d'oiseaux, particulièrement les rapaces, pour qui le bois des Lens est un territoire de nidification, de chasse ou de migration, mais aussi pour les chauves-souris, dont on a décompté 18 espèces sur ce massif, des animaux particulièrement mis en danger par les éoliennes. Il n'est pas justifiable de sacrifier le bois des Lens, sa biodiversité et ses qualités environnementales exceptionnelles pour un projet éolien.


— plusieurs villages, soit au total environ 15 000 personnes, sont devenus ces dernières années dépendants de forages faits sur ce massif karstique pour leur ressource en eau potable. La nappe phréatique est uniquement alimentée par les eaux d'infiltration qui dépendent de la couverture végétale. La présence des éoliennes introduirait un risque de pollution de la nappe, en conséquence d'éventuelles fuites d'huile ou de l'utilisation de détergents.


En m'associant au Collectif d'association pour la défense du bois des Lens, initiateur de cette pétition, et qui a agi en soutien de l'État pour l'annulation des deux permis éoliens évoqués plus haut, je vous demande, Monsieur le Préfet du Gard, que l'avis du Conseil d'État soit respecté afin d'assurer la sécurité des populations riveraines et que tout soit mis en œuvre pour maintenir le bon état environnemental du massif des Lens, qui doit rester exempt de tout projet industriel.

À la Une: Macron réagit après les violences sanglantes à Gaza, la première année de Philippe à Matignon et l'insoutenable film de Lars von Trier à Cannes

  
Note du reboussier:
Dis donc Croncron petit jouet favori de Trompinette 
Va le voir pour lui expliquer en tête-à-tête   la conséquence de ses actes
Fait lui un scrouch scrouch méchant 

 

Un impôt s’éteint, une surtaxe s’éveille | Contrepoints

Un impôt s'éteint, une surtaxe s'éveille | Contrepoints

Un impôt s'éteint, une surtaxe s'éveille

« Il n'y aura pas de nouvel impôt », selon le gouvernement… mais il y aura à coup sûr des taxes et des surtaxes. Voici ce qui se prépare pour vous dépouiller un peu plus.

Par Nathalie MP.

Il y a quinze jours, le gouvernement nous annonçait que le financement de la reprise de la  par l'État se ferait sans pression fiscale supplémentaire, uniquement grâce à des économies dans les dépenses publiques.

C'était déjà assez difficile à croire, mais voilà qu'aujourd'hui, on nous rejoue exactement le même sketch à propos de la suppression totale de la taxe d'habitation à l'horizon 2020 ou 2021. Après les 55 milliards de la dette SNCF, encore 26 milliards à trouvermais pas de panique, « il n'y aura pas de nouvel impôt », rien que des économies !

Pas de nouvel impôt, c'est promis !

C'est en tout cas ce que nous susurrent en boucle le président, ses ministres et ses députés. Comme le gouvernement a quand même trouvé moyen de créer plusieurs  depuis un an, et comme , on comprend qu'il cherche à éviter à tout prix de relancer un ras-le-bol fiscal malvenu, surtout dans le contexte de grève et contestation qui s'éternise à la SNCF, à Air France et dans les universités.

Toute la macronie est donc partie en mission de communication. Par exemple, le député Gilles Le Gendre est tout content d'annoncer que grâce à lui et ses amis de LREM, l'État va se serrer la ceinture par pure abnégation pour débarrasser les communes d'un impôt impopulaire :

De son côté, Olivier Dussopt, qui est le secrétaire d'État chargé des finances locales auprès du ministre de l'Intérieur, martèle dans un entretien aux  :

Je le répète : il n'y aura pas de nouvel impôt, ni de hausse de la fiscalité, au contraire. Cet effort sera surtout financé par des économies.

Quant à Gérald Darmanin, intéressé au premier chef en tant que ministre du Budget, il a confirmé au  qu'il s'agissait bien d'un « cadeau fiscal » pour les contribuables (apprécions le renversement du vocabulaire…) car le financement passerait surtout par une refonte et une simplification de la fiscalité locale :

Pas de tour de passe-passe où l'on supprime des milliards pour aller les chercher ailleurs. L'idée générale (…) est de baisser les impôts.

Tous ces gens-là se font l'écho du président de la République qui avait confirmé la merveilleuse nouvelle lors de son grand entretien télévisé avec Bourdin et Plenel (vidéo du tweet ci-dessous, 0′ 55″) :

Il n'y aura pas de création d'un nouvel impôt local, ni d'un nouvel impôt national et il n'y aura pas d'augmentation de la pression de cet impôt. Ce qui veut dire que nous compensons à l'euro près par les économies qui seront faites par l'État.

Dans son programme électoral, Emmanuel Macron avait effectivement prévu de supprimer la taxe d'habitation (TH) pour 80% des foyers français les plus modestes de façon progressive à partir de 2018 : baisse de 30% en 2018, puis 65% en 2019 et 100% en 2020. Cela fut voté cet automne dans le cadre de la loi de finances pour 2018. S'agissant d'une ressource importante pour les communes, l'État s'est engagé à compenser leur manque à gagner à l'euro près.

Suppression de la taxe d'habitation ?

Depuis, le gouvernement a décidé d'étendre la suppression à tous les foyers fiscaux afin d'éviter que le Conseil constitutionnel n'y décèle éventuellement une rupture de l'égalité des citoyens devant l'impôt1. Aussi, les montants en jeu sont passés de 10 Md€ pour les premiers 80% à 18 Md€ environ pour la totalité des Français, et le tout devrait représenter 26 Md€ en 2020 compte tenu du « dynamisme » de cet impôt.

À entendre le président et les ministres, tout cela a l'air extrêmement simple : on supprime la taxe d'habitation, on fait des économies, on réarrange la fiscalité locale de façon à la rendre super efficace et hop, c'est bon, 26 Md€ tombent du ciel et tout le monde est content.

Mais dans la réalité, cette mesure donne des maux de tête aux Bercy Boys. Comment parvenir à compenser chaque commune à l'euro près tout en transférant de la fiscalité nationale (TVA et IFI sont des pistes évoquées) vers de la fiscalité locale, ou en transférant de la fiscalité locale comme la taxe foncière des départements vers les communes, tout en garantissant l'autonomie financière des collectivités locales, sans tomber en plus dans des systèmes complexes de péréquation ?

L'affaire étant donc plutôt compliquée, en tout cas beaucoup plus qu'une jolie mesure électorale dans un programme globalement pas très explicite sur le comment du pourquoi, le gouvernement a mandaté le sénateur Alain Richard et l'ex-préfet Dominique Bur pour faire des propositions judicieuses.

Pas de nouvel impôt mais… une surtaxe !

Ces messieurs ont rendu leur rapport au gouvernement ce mercredi 9 mai 2018 et il apparaît assez nettement que tout le discours lénifiant qui consiste à dire depuis quelques jours « qu'il n'y aura pas de nouvel impôt » est surtout une façon de jouer sur les mots – comme pouvait le laisser prévoir la bourde de la ministre Jacqueline Gourault qui avait étourdiment parlé en début d'année de l'instauration d'une « taxe plus juste » en remplacement de la taxe d'habitation actuelle.

En effet, parmi les pistes explorées, l'une d'elles tient la corde : il s'agirait d'appliquer une surtaxe à la taxe foncière des résidences secondaires et des logements sous-occupés. Pas d'impôt nouveau donc, c'est vrai à la lettre, mais une pression fiscale accrue pour certaines catégories de contribuables. Décidément, cette administration semble avoir une animosité particulière à l'encontre des propriétaires immobiliers et un goût prononcé pour les surtaxes chaque fois qu'une gêne budgétaire se présente.

Dans le cas qui nous occupe, il est vite apparu que la mesure proposée par Emmanuel Macron ne précisait rien à l'égard des résidences secondaires. Il a donc été décidé de les exclure du dispositif d'autant qu'il a été étendu aux ménages les plus aisés, ceux qui sont justement le plus susceptibles d'avoir une seconde résidence.

Simplement, ceci ne se fera pas via le maintien de la taxe d'habitation, ce qui serait une rupture d'égalité devant l'impôt, mais via la hausse ciblée d'un autre impôt, en l'occurrence la taxe foncière. Nul doute qu'Emmanuel Macron y trouvera au passage l'occasion idéale de se défaire de l'étiquette de « président des riches » qui lui colle à la peau depuis la fin de l'ISF.

Cependant, cette surtaxe ne rapporterait que 2,5 Md€ par an, soit à peine le tiers des 8 Md€ supplémentaires nécessaires depuis que la suppression de la taxe d'habitation a été étendue aux 20% de foyers fiscaux les plus aisés. C'est donc là que le gouvernement comble le trou en lançant quelques vagues incantations du style « économies », « refonte de la fiscalité locale », « choc de simplification », etc…

C'est d'autant plus incantatoire que si le Premier ministre a lancé avec force adjectifs élogieux un projet de baisse des dépenses publiques connu sous le titre « Action publique 2022 », il n'a jamais été question de nommer précisément la moindre piste d'économie. Tout au plus espère-t-on dégager des marges de manoeuvre budgétaires grâce à une « transformation » de l'État des plus vagues.

En revanche, la liste des actions publiques qui exigent des « moyens supplémentaires » s'allonge tous les jours un peu plus : transition écologique, fonds pour l'innovation, service national revisité, éducation… À quoi, au vu de l'actualité récente, on peut ajouter sans problème : banlieues et Samu.

D'autre part, il est à craindre que la perte d'autonomie des collectivités locales pour une large part de leur financement ne les pousse à augmenter la fiscalité qui reste à leur disposition, c'est-à-dire la taxe foncière, ce qui constituerait une nouvelle augmentation de la pression fiscale.

Enfin, comme je le signalais à propos de la dette SNCF, Gérald Darmanin n'a pas exclu d'obtenir des financements supplémentaires par hausse de taxes comportementales existantes, notamment celle sur les sodas et autres boissons sucrées qui sont si mauvaises pour notre santé :

Il n'y aura pas de nouvelles taxes, mais cela n'empêche pas, pour des raisons de santé publique, de décider peut-être une augmentation de certaines taxes déjà existantes…

C'est clair.

Le gouvernement nous prend à l'évidence pour des idiots, et MM. Bur et Richard entrent dans ce petit jeu de dupes en proposant une solution hypocrite qui répond selon eux à l'esprit de la fabuleuse réforme voulue par le président.

Encore une occasion de constater que la baisse de fiscalité annoncée n'est qu'une supercherie de plus dans une politique globalement avide de « moyens » pour financer les nombreuses « priorités » du gouvernement. Quant aux économies envisagées, c'est vague, et de toute façon, ce ne sera jamais qu'en tendance par rapport au PIB, certainement pas en valeur absolue.

Bref, « il n'y aura pas de nouvel impôt », mais il y aura à coup sûr surtaxes, dette accrue et économies fantômes. Comme je le disais à propos de la dette SNCF, la finance publique, c'est vraiment magique !

  1. Le Conseil constitutionnel a accepté la suppression de la taxe d'habitation pour 80% des foyers fiscaux en indiquant toutefois qu'il serait vigilant sur la façon dont seraient traités les 20% restants dans le cadre de la refonte annoncée de la fiscalité locale.

Les loups / conférence débat / 1 juin, Les Costières / Nîmes