Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
vendredi 13 novembre 2015
jeudi 12 novembre 2015
mercredi 11 novembre 2015
Faites suivre, merci...
A faire suivre svp ! A un max de personnes...
Holà, il s'agit d'une vidéo qui a été faite par le chanteur Macaco avec les travailleurs et les patients du 8e étage (Oncologie) de L'Hôpital pour enfants, San Juan de Dios à Barcelone afin de récolter des fonds pour la recherche sur le cancer.
Chaque fois que vous entrez dans la vidéo, 5 centimes serons versés à la cause,J'espère que vous l'ouvrirez et que vous le transmettrez à tous vos amis. C'est pour une bonne cause... et la chanson est magnifique !
Golf de Tosse (40) : que ressort-il de la réunion publique ? - SudOuest.fr
Le même bordel partout
Tout pour le tourisme ...On manque étonnamment d' idée novatrice
mardi 10 novembre 2015
lundi 9 novembre 2015
Il voulait la sauver de "La Jungle"
Bonjour Arthur,
Cette pétition prend de l'ampleur sur Change.org, nous pensons que vous souhaiteriez peut-être la signer :
Non à l'emprisonnement de Rob Lawrie, qui a voulu sauver une enfant de la jungle de Calais
Sylvaine Dauffy-Wheatley
Bingley, Royaume-Uni
Alors qu'il voulait sauver une petite fille de 4 ans de "La Jungle" de Calais, cet endroit horrible où tentent de survivre des milliers de migrants et de réfugiés qui veulent arriver en Angleterre, Rob Lawrie rique 5 ans de prison.
Les conditions de vie dans "La Jungle" a Calais ont touché des millions de personnes et en particulier ont changé la vie de Rob Lawrie, qui habite a Leeds dans le nord de L'Angleterre. Avec Rob, nous avions lancé un groupe d'entraide pour les réfugiés de Calais. En tant que française vivant en Angleterre, cela me semblait normal d'être solidaire de ces personnes.
Rob faisait le trajet jusqu'a Calais regulièrement pour apporter des dons de vêtement ou de nourriture que nous récoltions et pour aider les habitants à contruire des cabanes à base de palettes. J'ai toujours admiré son dévouement.
Un jour, Rob a rencontré une petite fille de 4 ans dans la jungle, Bahar. Son père a supplié Rob d'amener sa fille auprès de sa famille qui habite à Leeds depuis 10 ans. Et Rob a voulu essayer de les réunir en espérant pouvoir sortir la petite fille des conditions terribles de la Jungle. Mais Rob a été arrêté par les douanes et il est maintenant poursuivi par la justice française.
Rob a été arrêté au contrôle des frontières et il a passé 5 jours en garde à vue.Il est maintenant en liberté sous caution en attendant son jugement a Boulogne sur mer le 14 Janvier 2016. Il est accuse d'"aide à l'immigration illégale" et sous la loi française, il risque jusqu'à 5 ans de prison.
Il doit comparaître devant la justice française en janvier et risque d'etre emprisonné.
Oui Rob n'a pas respecté la loi, mais mérite-t-il pour autant d'aller en prison pour avoir fait preuve d'humanité?
Rejoignez moi pour demander à la justice française d'abandonner les poursuites contre Rob Lawrie.
Voulez-vous faire changer les choses ? Lancez une pétition.
La personne (ou l'organisation) qui a lancé cette pétition n'est pas liée à Change.org. Change.org n'a pas créé cette pétition et n'est pas responsable de son contenu.
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GÉNÉRARGUES Un restaurant cambriolé cette nuit - Objectif Gard
Note du reboussier
Peut être ont ils volé les palettes en bois pour leurs grillades
C'était peut être avant avec les anciens propriétaires
dimanche 8 novembre 2015
Boisset et Reverjac
-Afin d'éviter de lâches représailles, nous ne nous atardrerons pas sur l'ambiance qui règne entre le personnel communal et M. le Maire. En effet, brimades, réprimandes, baisse des notes de la plupart du personnel, sont monnaie courante.
S'y ajoute colère, lorsque quelqu'un tente d'expliquer à M. Reverget que tel ou telle arrété, action, décision, manière de faire n'est pas compatible avec la mission de service public, ou même est illégale
Les dérives du maire de Boisset et Gaujac, Gérard Reverget, induisent un risque de trouble à l'ordre public. Ce qui est paradoxal pour quelqu'un dont la fonction est justement de veiller à la sécurité des biens et des personnes.
Tous les évènements cités ci-dessus sont attestés, soit par des témoignages, soit par des enregistrements vidéo ou audio.
Nous aborderons la prochaine fois, « l'affaire Ferrier ».
Jacques Boisségot
Boisset et Reverjac lettre ouverte aux Boissetains No 4
Lettre ouverte aux Boissetains (4)
Non content de gérer dans l'opacité la plus totale et parfois en toute illégalité, le maire, M. Gérard Reverget, fait preuve d'un comportement indigne de la fonction.
-Les dérapages verbaux et physiques.
-A la sortie du Conseil Municipal du 12 novembre 2014, une conseillère s'est vue menacée par M. le Maire :
" tu n'as plus rien à faire à la mairie, si je t'y vois, je te sors à coups de pied dans le cul. ".
Une plainte a été déposée auprès du Procureur de la République d'Alès et donne lieu à une enquête menée par la gendarmerie d'Alès.
-Vendredi 12 juin 2015 : Agression verbale et menaces proférées par M. le Maire à l'égard de la Directrice de l'Ecole Maternelle, au sein même de l'établissement scolaire et en présence immédiate d'enfants et d'agents territoriaux. Plainte a été déposée.
-Lors de la fête votive, le 9 août 2015, M. le Maire considérant qu'un Conseiller Municipal, (à l'âge respectable de 76 ans...) n'était pas à sa place, assis au rang des invités, le bouscule violemment. Une plainte a été déposée, avec certificat médical à l'appui.
-A la sortie d'un conseil municipal, un conseiller, soutien indéfectible du Maire, en vient à empoigner un membre du public et il faut le maîtriser avant que cela ne dégénère.
-A la fin d'un conseil, une personne du public demande au maire, Gérard Reverget, s'il est possible de poser des questions.
La réponse immédiate est un refus catégorique : « vous attendrez 5 ans !»
Néanmoins, plusieurs membres du conseil se proposent de rester pour écouter les questions et essayer d'y répondre. M. Reverget se lève, demande au public de sortir, s'énerve, menace d'appeler les forces de l'ordre. Voyant que rien n'y fait, M. Gérard Reverget coupe la lumière dans la salle, alors qu'une partie du public est dans l'escalier de sortie, au risque d'entrainer des chutes.