Lettre ouverte aux Boissetains (4)
Non content de gérer dans l'opacité la plus totale et parfois en toute illégalité, le maire, M. Gérard Reverget, fait preuve d'un comportement indigne de la fonction.
-Les dérapages verbaux et physiques.
-A la sortie du Conseil Municipal du 12 novembre 2014, une conseillère s'est vue menacée par M. le Maire :
" tu n'as plus rien à faire à la mairie, si je t'y vois, je te sors à coups de pied dans le cul. ".
Une plainte a été déposée auprès du Procureur de la République d'Alès et donne lieu à une enquête menée par la gendarmerie d'Alès.
-Vendredi 12 juin 2015 : Agression verbale et menaces proférées par M. le Maire à l'égard de la Directrice de l'Ecole Maternelle, au sein même de l'établissement scolaire et en présence immédiate d'enfants et d'agents territoriaux. Plainte a été déposée.
-Lors de la fête votive, le 9 août 2015, M. le Maire considérant qu'un Conseiller Municipal, (à l'âge respectable de 76 ans...) n'était pas à sa place, assis au rang des invités, le bouscule violemment. Une plainte a été déposée, avec certificat médical à l'appui.
-A la sortie d'un conseil municipal, un conseiller, soutien indéfectible du Maire, en vient à empoigner un membre du public et il faut le maîtriser avant que cela ne dégénère.
-A la fin d'un conseil, une personne du public demande au maire, Gérard Reverget, s'il est possible de poser des questions.
La réponse immédiate est un refus catégorique : « vous attendrez 5 ans !»
Néanmoins, plusieurs membres du conseil se proposent de rester pour écouter les questions et essayer d'y répondre. M. Reverget se lève, demande au public de sortir, s'énerve, menace d'appeler les forces de l'ordre. Voyant que rien n'y fait, M. Gérard Reverget coupe la lumière dans la salle, alors qu'une partie du public est dans l'escalier de sortie, au risque d'entrainer des chutes.
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 8 novembre 2015
Boisset et Reverjac lettre ouverte aux Boissetains No 4
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2 commentaires:
Ces agisement s'ils sont vérifiés relèvent du pathologique. Une seule chose est vrai le public n'a pas le droit de s'exprimer lors d'un conseil municipal, évidemment tant que la séance n'est pas close.
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