Envoyé par JR
Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
jeudi 29 septembre 2011
SARKO A ALES CAUSSES CEVENNES
Note du réboussier:
J'ai regardé avec beaucoup d'attention l' émission sur France 3 "des racines et des ailes" hier soir
Cette émission était consacrée à nos Cevennes : château de Porte , Florac , causses Méjan , à l'apiculture , à la rénovation des "restanques" et j'en oublie peut être
MAIS JE N'AI PAS ENTENDU PARLE D' ALES soit disant capitale CAUSSES , CEVENNES
Ales ville semi-industrielle , commerçante ,ex minière , n'est pas nichée au centre des Cevennes ,et encore moins proche des Causses, mais en périphérie
Dans cette optique pourquoi ne pas mettre Brest ou Marseille ou Strasbourg capitale de la France
Évidemment ces villes n'ont pas Roustan
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2e débat des primaires citoyennes
2e débat des primaires : Exemplarité et morale... par francoishollande
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2e débat des primaires : Les contrats de... par francoishollande
2e débat des primaires : Conclusion par francoishollande
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Gaz de schiste
le petrolier texan-renonce à poursuivre les maires gardois
Porte des Cévennes, une identité galvaudée !
Le 4 octobre 2011, Monsieur le Président de la République viendra à Alès pour fêter l’inscription de nos Cévennes au patrimoine mondial de l’UNESCO. Nous en serions très honorés, sauf que précisions données, c’est la ville d’Alès qui est mentionnée « Porte des Cévennes » !
Serions-nous déjà intégrés au Grand Alès ? Quel camouflet pour notre cher maire d’Anduze qui a porté sa campagne sous ce sigle, et qui rend les armes, sans combattre, auprès du Maire d’Alès !
Notre municipalité actuelle semble oublier beaucoup de ses valeurs, voire son âme, mais ça nous le savions déjà.
Vite , Monsieur le Maire , allez retenir votre place autour du pré-carré de Mr Roustan pour cette visite présidentielle ! On pourra ensuite dire : Anduze, annexe de la Porte des Cévennes.
Pierre Lemaire
Serions-nous déjà intégrés au Grand Alès ? Quel camouflet pour notre cher maire d’Anduze qui a porté sa campagne sous ce sigle, et qui rend les armes, sans combattre, auprès du Maire d’Alès !
Notre municipalité actuelle semble oublier beaucoup de ses valeurs, voire son âme, mais ça nous le savions déjà.
Vite , Monsieur le Maire , allez retenir votre place autour du pré-carré de Mr Roustan pour cette visite présidentielle ! On pourra ensuite dire : Anduze, annexe de la Porte des Cévennes.
Pierre Lemaire
mercredi 28 septembre 2011
FLASH INFO LE MONDE Le procureur de Nanterre Philippe Couroye convoqué aux fins de mise en examen
La juge d'instruction parisienne Sylvia Zimmermann
Chargée d'enquêter sur la violation des sources du "Monde" dans le cadre de l'affaire Bettancourt, a adressé une convocation à Philippe COURROYE Procureur de Nanterre.
ce courrier l'avertit de l'intention de la magistrate de le mettre en examen ("Le Monde")
à suivre....
Chargée d'enquêter sur la violation des sources du "Monde" dans le cadre de l'affaire Bettancourt, a adressé une convocation à Philippe COURROYE Procureur de Nanterre.
ce courrier l'avertit de l'intention de la magistrate de le mettre en examen ("Le Monde")
à suivre....
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L oeil du cyclone
Après la tourmente , après nos combats , sommes nous dans l'oeil du cyclone ?
Je pense au pouvoir dévastateur de cette réforme territoriale, à peine validée par nos sénateurs ancienne mouture , mais heureusement enfin remise en cause
Dévastateur : les populations qui se déchirent ,
Dévastateur: beaucoup trop d énergies concentrées sur ce combat...Que de pertes ,
Je ne parlerai pas de ces maires qui font n'importe quoi
L'oeil du cyclone , le ciel est bleu , les oiseaux chantent , le vent s'est endormi, tout est apparemment calme
Bon on y est dans cet oeil mais il va falloir en sortir , le combat reprendra , des dangers imprévus nous guetteront de nouveau , mettons tous nos sens en alerte rouge ou rose ?
Attention aux accidents et aux coups bas
Un réboussier
Je pense au pouvoir dévastateur de cette réforme territoriale, à peine validée par nos sénateurs ancienne mouture , mais heureusement enfin remise en cause
Dévastateur : les populations qui se déchirent ,
Dévastateur: beaucoup trop d énergies concentrées sur ce combat...Que de pertes ,
Je ne parlerai pas de ces maires qui font n'importe quoi
L'oeil du cyclone , le ciel est bleu , les oiseaux chantent , le vent s'est endormi, tout est apparemment calme
Bon on y est dans cet oeil mais il va falloir en sortir , le combat reprendra , des dangers imprévus nous guetteront de nouveau , mettons tous nos sens en alerte rouge ou rose ?
Attention aux accidents et aux coups bas
Un réboussier
Un sénateur PS demande à Fillon d'interrompre les réformes territoriales
Le sénateur et conseiller général socialiste de la Gironde Philippe Madrelle a demandé lundi au Premier ministre François Fillon "d'interrompre le processus" de réformes territoriales du gouvernement, après la défaite de la droite aux sénatoriales, dans une lettre transmise à l'AFP.
"Le respect de ce qu'ont exprimé les urnes sénatoriales, tout autant que la proximité d'une échéance présidentielle capitale, peu propice à la mise en oeuvre sereine d'une réforme largement contestée, commandent [d'interrompre ce processus] sine die", a écrit M. Madrelle.
Il vise notamment les Schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI), l'un des piliers de la réforme territoriale, dont le but est d'achever l'intercommunalité.
Le Parisien.fr Publié le 26.09.2011, 20h01
"Le respect de ce qu'ont exprimé les urnes sénatoriales, tout autant que la proximité d'une échéance présidentielle capitale, peu propice à la mise en oeuvre sereine d'une réforme largement contestée, commandent [d'interrompre ce processus] sine die", a écrit M. Madrelle.
Il vise notamment les Schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI), l'un des piliers de la réforme territoriale, dont le but est d'achever l'intercommunalité.
Le Parisien.fr Publié le 26.09.2011, 20h01
mardi 27 septembre 2011
Une victoire historique pour la gauche, François Hollande
lundi 26 septembre 2011
ELECTIONS SENATORIALES : LA REFORME TERRITORIALE A DU PLOMB DANS L’AILE
"C'est clair que c'est une défaite, il y a indiscutablement un climat général autour de la réforme des collectivités qui a joué aussi"
Philippe Richert, ministre des collectivités locales
La presse nationale ne s’y est pas trompée, la réforme territoriale fait perdre le Sénat à la droite. Les réactions sont unanimes, à droite comme à gauche, les langues commencent à se délier. Le zèle de certains préfets pour imposer le regroupement forcé des intercommunalités commence à agacer sérieusement certains élus de la majorité présidentielle. La gauche affiche clairement sa volonté de revenir sur cette réforme en 2012.
LEMONDE.FR | 26.09.11 :
Le premier sujet d'agacement pour les élus, c'est la réforme territoriale. Portée par Nicolas Sarkozy en 2008, sur la foi d'un rapport rédigé par Edouard Balladur, elle visait à modifier profondément les règles de représentativité locale, mais aussi d'organisation des pouvoirs. "C'est clair que c'est une défaite, il y a indiscutablement un climat général autour de la réforme des collectivités qui a joué aussi", a reconnu lundi 26 septembre Philippe Richert, ministre des collectivités locales.
Au premier chef, c'est la fin des conseillers régionaux et généraux, remplacés à l'avenir par des conseillers territoriaux qui siégeront dans les deux assemblées, qui a agacé les élus locaux. Mais pas seulement : la réforme met également fin à la "clause de compétence générale", qui permettait à une collectivité de s'occuper d'un domaine même lorsqu'il n'était pas de son ressort.
Elle favorise aussi l'intercommunalité, en mettant en place un schéma départemental de coopération intercommunale, visant à regrouper des communes entre elles. Mais ce dernier, confié aux préfets, a souvent été mené au pas de course, provoquant la grogne des communes. Ces dernières y voient souvent une forme de "recentralisation".
La gauche ne s'y est pas trompée : elle a promis de revenir sur cette réforme si elle gagne la présidentielle en 2012.
REACTIONS EN CHAINE (le figaro.fr, le monde.fr, libération.fr, le point.fr, le nouvel observateur, le progrès.fr, la voix du nord)
Nicolas Dupont-Aignan, député :
« Comment pouvait-il en être autrement au moment où la réforme territoriale du gouvernement porte atteinte à la liberté communale et méprise les élus locaux ? »
"C'est une véritable gifle que les grands électeurs ont envoyée à ceux qui ont écorné la solidarité territoriale, principe fondamental de notre République. La réforme territoriale votée par le Parlement en novembre dernier n'aurait jamais dû passer le vote du Sénat. Les sénateurs représentent les territoires de la République et ils sont les garants de la solidarité entre villes et monde rural. Or les sénateurs, et notamment ceux de l'UMP, ont trahi les territoires en votant une réforme qui déséquilibre la représentation des campagnes et met sous tutelle les maires" [...]
Jean-Claude Frécon, sénateur PS réélu : « Changer la loi de la réforme territoriale »
« … c’est aussi une sanction contre les sénateurs UMP qui ont voté la réforme territoriale.
Cette loi est mauvaise : il faut qu’on la change. »
Christiane Demontès, sénatrice PS du Rhône :
il s'agit "d'une défaite cinglante pour Nicolas Sarkozy. Les élus ruraux ont montré qu'ils n'étaient pas d'accord avec la réforme territoriale et la réforme fiscale. Au lieu de passer en force sur ce sujet, Nicolas Sarkozy aurait mieux fait d'écouter certains sénateurs de droite."
Philippe Marini (UMP):
« Il y a un contexte qui était défavorable chez les élus locaux du fait d'une incompréhension vis-à-vis de la réforme territoriale. On a laissé la bride sur le cou aux préfets, qui ont eu pour certains une approche perçue comme tout a fait excessive et qui niait les libertés locales. La majorité sortante du Sénat en a subi le préjudice. »
Ladislas Poniatowski (UMP, Eure) dénonce une réforme faite «sans concertation» :
«L'inquiétude, l'incompréhension, le rejet suscités par cette réforme sont incontestables»
Philippe Vigier, porte-parole du Nouveau Centre :
«Cette réforme s'est payée cash dans les urnes»
Éric Bocquet, le maire communiste de Marquillies, élu sénateur du Nord (La voix du Nord)
« En la personne d'Éric Bocquet, c'est un représentant des communes rurales qui entre au Sénat. Le vice-président de l'association des maires ruraux, est décidé à faire entendre la voix de ces élus souvent bénévoles, dont il connaît bien les soucis. Des maires qui ne sont pas contents de la réforme territoriale. Il a pour objectif de faire abroger la loi si le Sénat bascule à gauche... »
Thomas Thevenoud, vice-président socialiste du Conseil général de Saône-et-Loire :
« Cette victoire c’est aussi la conséquence de la fronde des élus locaux face à des projets qui ne passent pas, comme la reforme de l’intercommunalité »
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