samedi 2 novembre 2024

La compile : Le lobbying de Bernard Arnault pour éviter un Premier ministre de gauche

La compile hebdo de Chez Pol 

Compile hebdo de Chez Pol
 

La semaine de Chez Pol

L'actu politique ne s'arrête jamais, même le week-end. Mais nous, oui. Alors pour ne pas trop vous manquer d'ici à lundi, voici une sélection de ce qu'il ne fallait vraiment pas manquer cette semaine.
Bonne lecture et bon week-end !
L'équipe Chez Pol  

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7 commentaires:

Anonyme a dit…

https://www.leparisien.fr/international/etats-unis/jeffrey-epstein-se-serait-confie-sur-sa-relation-avec-donald-trump-pendant-une-centaine-dheures-denregistrements-02-11-2024-AFMYQFTD3NBRRHITFMXEJT5ADU.php

Anonyme a dit…

À quoi jouent les filiales d’entreprises publiques françaises ?

"Une autre catégorie d’entreprises françaises, plus inattendue, se distingue également par ses financements politiques : les groupes à capitaux publics comme Airbus, EDF, Engie et Thales. Le premier, contrôlé conjointement par la France, l’Allemagne et l’Espagne, affiche 276 000 dollars de contributions, dans leur immense majorité en faveur de Républicains. Selon l’organisation Donations and Democracy, le PAC d’Airbus US a soutenu pas moins de 28 candidats républicains qui ont voté contre l’approbation des résultats de l’élection de 2020. Sur les six candidats qui ont chacun bénéficié de la somme maximale versée (10 000 dollars), cinq ont refusé de reconnaître officiellement la défaite de Donald Trump.

Le political action commitee d’EDF aux États-Unis, où le groupe est surtout présent dans le secteur des énergies renouvelables, a versé 151 800 dollars de contributions, à 58 % pour des candidats démocrates. On trouve néanmoins parmi les bénéficiaires de cette générosité de l’entreprise publique des Républicains alignés sur le déni électoral trumpiste comme Bob Good (Kansas) ou Ben Cline (Virginie), ainsi qu’un versement de 10 000 dollars au comité national républicain pour le Sénat.

Le constat est le même chez Thales – qui affiche 54 500 dollars de financements politiques, à égalité entre Républicains et Démocrates, mais avec des bénéficiaires comme John Carter (Texas), Frank Lucas (Oklahoma), Guy Reschenthaler (Pennsylvanie) ou Scott Franklin (Floride) – ou Engie, avec 27 000 dollars de financements dont les bénéficiaires incluent Jason Smith (Missouri) – qui avait notamment voté contre l’aide financière et militaire à l’Ukraine – ou Jeff Duncan (Caroline du Sud), opposé au droit à l’avortement, hostile à la lutte contre les discriminations à l’école ou aux mesures pour limiter le réchauffement climatique. Dernier groupe concerné : Orano (ex-Areva), dont le PAC déclare seulement 2500 dollars de dons, à Chuck Fleischmann du Tennessee, soutenu également par EDF, qui a lui aussi voté contre l’approbation du résultat des élections de 2020.

Hors de la sphère publique, un autre groupe français se distingue : Pernod-Ricard consacre près de 63 000 dollars de financements via son PAC, à 78 % pour des Républicains dont plusieurs ont refusé de reconnaître le résultat des élections de 2020 : Carol Miller (Virginie de l’Ouest), Jodey Arrington (Texas), Tom Cole (Oklahoma), Garret Graves (Louisiane). Idem dans une certaine mesure pour Air Liquide, dont le PAC déclare 21 000 dollars de financements, à 83 % pour des Républicains. Parmi les autres groupes du CAC40, seuls ArcelorMittal et TotalEnergies semblent avoir mis en place un PAC, pour des sommes négligeables [3]."
(…)


https://basta.media/Elections-Etats-Unis-Ces-entreprises-francaises-qui-preferent-financer-le-camp-Trump-plutot-que-Kamala-Harris

Anonyme a dit…

https://www.marianne.net/agora/humeurs/armee-dans-les-quartiers-lfi-interdit-karl-olive-en-pleine-decheance-de-rationalite

Anonyme a dit…

Interdire LFI et ficher S Mélenchon

"Mais il ne s’arrête pas là. « LFI est un danger pour la société et […] nous le vivons au quotidien », enchaîne-t-il. Son intervieweur, malin, le relance avec une question de nature à ramener le débat sur Terre : « Fichés S ou pas alors ? » Réponse toute aussi brillante : « Mais bien sûr que moi je réclame que monsieur Mélenchon soit fiché S ! » Le penseur fan de football y va de son argumentation, visiblement pas travaillée à l’entraînement : « Ça changerait qu’on s’y prendrait à deux fois avant de pouvoir considérer ces personnes-là au même titre que les autres, en ce sens où ils passent leur temps à appeler au chaos. » Convaincus ? De peur d'être trop pris au mot, le macroniste se défausse en plaidant qu’il se place « à la hauteur » de ses adversaires, en étant « suffisamment provocateur pour que ça puisse interpeller les Français ». Vous trouvez ses propos dangereux ? C’est Mélenchon qu’a commencé !

Dans son optique de criminaliser le premier groupe de gauche de l’Assemblée, le très démocrate Karl Olive pousse la réflexion. « Je dis simplement que globalement, la France insoumise, il faudra peut-être se poser la question un jour de savoir si ce parti-là, il ne faut pas le dissoudre pour en créer un autre », avant d’aller au fond (du fond) de sa pensée : « Bien sûr. Il faut interdire LFI. »

Exit la politique, seul le sacro-saint camp de la raison, du centre gauche à l’extrême droite, doit avoir droit à la parole politique. Pourquoi convaincre, quand on peut censurer ? Heureusement que le « front républicain » a sauvé la Macronie à l'Assemblée… Tout fier de ses interventions, le député a ensuite passé son dimanche à partager ses meilleures phrases sur Twitter, ainsi que tous les articles reprenant ses propositions. En octobre 2023, il avait déjà appelé à ficher Mélenchon S pour « sûreté de l'État ». Ce n'est pas toujours évident d'être original quand on passe son temps sur les plateaux."


https://www.marianne.net/agora/humeurs/armee-dans-les-quartiers-lfi-interdit-karl-olive-en-pleine-decheance-de-rationalite

Anonyme a dit…

"Une grève illimitée à compter du 11 décembre : l’intersyndicale a publié samedi matin un communiqué pour annoncer ce mouvement reconductible pour dénoncer le démantèlement de Fret SNCF et l’ouverture à la concurrence. «Aucune réponse concrète n’a pu être apportée lors de la réunion de conciliation», a fait savoir l’intersyndicale (CGT, l’Unsa, Sud-Rail et CDFT Cheminots) dans son communiqué.

Les syndicats réitèrent aussi leur appel à une grève du mercredi 20 novembre 19h00 au vendredi 22 novembre 08h00. Concernant le démantèlement de Fret SNCF, les fédérations syndicales «réaffirment que la mise en place d’un moratoire est possible et nécessaire pour permettre aux différents acteurs de se remettre autour de la table, et trouver les voies permettant de garantir non seulement la continuité de Fret SNCF, mais aussi son développement sur le plus long terme». «Ce moratoire est indispensable face à la souffrance de nos collègues du Fret», font valoir les syndicats. "
(…)


https://www.lefigaro.fr/flash-eco/sncf-les-syndicats-appellent-a-une-greve-illimitee-contre-le-demantelement-de-fret-sncf-20241109

Anonyme a dit…

«La gestion de Mazón a été indécente»

"Ana de la Rosa, 30 ans, regrette des «guerres politiques alors que ce n’était pas le moment parce que les citoyens avaient besoin d’aide et n’en avaient pas». La jeune archiviste réclame «justice» pour ce qu’elle qualifie d’«homicide involontaire». Pour Julián García, 73 ans, «la gestion de Mazón a été indécente et il devrait démissionner. Le gouvernement valencien est responsable et n’a pas voulu demander ce qu’il pourrait demander au gouvernement central, aussi un peu responsable», estime le retraité.

Originaire de Valence, Trini Orduña a manifesté contre «la classe politique honteuse». «Nous sommes la risée du monde entier», juge-t-elle, alors que la population locale s’inquiète des conséquences sanitaires des odeurs «d’œuf pourri, de soufre» qui émanent des zones sinistrées provenant de «la décomposition des matières organiques sans oxygène» et causent aux secouristes et habitants des migraines et de vertiges.

Réuni devant la mairie de Valence, le cortège s’est ensuite déplacé devant l’hôtel de région. La tête de cortège a défilé sous une large banderole «Mazón démission», où figurait le portrait retourné du président de la région de Valence. D’autres slogans rendaient hommage aux disparus, a relevé El Mundo : «Aujourd’hui, toutes nos voix ne sont pas réunies, car de sous la boue, on ne peut pas crier.» Une autre manifestation s’est tenue dans les rues de Madrid. Des centaines de personnes se sont également réunies dans la capitale espagnole, en scandant notamment «Mazón démission» et «le peuple uni ne sera jamais vaincu»."


https://www.liberation.fr/international/europe/inondations-en-espagne-des-dizaines-de-milliers-de-valenciens-dans-la-rue-contre-carlos-mazon-le-president-de-region-20241109_JVGOIDDH5VFRFJ4POPUDUXNGLY/

Anonyme a dit…

https://www.francetvinfo.fr/politique/francois-fillon/affaires-fillon/emplois-fictifs-francois-fillon-propose-de-verser-pres-de-700-000-euros-a-l-assemblee-nationale_6892880.html