samedi 2 novembre 2024

À l’Assemblée, Marine Le Pen et Antoine Léaument s’invectivent sur les descendants d’immigrés

https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/a-l-assemblee-marine-le-pen-et-antoine-leaument-s-invectivent-sur-les-descendants-d-immigres_241670.html




3 commentaires:

Anonyme a dit…

RETRAITES : LE JEU DANGEREUX ET HYPOCRITE DU RN
BLAST, Le souffle de l'info


https://youtu.be/nEJgz03B3pM?si=m6y4UpgIu1kr-Fmc


Cette semaine, on va se pencher sur l'activité du Rassemblement national et sa journée d'initiative parlementaire du jeudi 31 octobre dernier. Pour rappel, une journée d'initiative ou de niche parlementaire est réservée à un parti d'opposition qui peut décider seul de l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, c'est à dire des textes qui sont soumis au vote des députés.
Habituellement, quand il y a une majorité absolue de députés qui soutiennent le gouvernement. Les journées d'initiative parlementaire de l'opposition ne servent pas à grand chose. C'est la majorité parlementaire qui décidera et généralement, elle ne vote pas les propositions de l'opposition. Mais comme la dissolution de juin dernier a donné une assemblée divisée, sans majorité. Ces journées deviennent autrement cruciales.
Cette niche parlementaire devait être consacrée à l'abrogation de la réforme des retraites. Or, leur texte a été rejeté par l'Assemblée après avoir été vidé de sa substance en commission.
Pourquoi le texte a-t-il été rejeté après avoir été vidé de sa substance ? Le RN s'est-il vraiment fait avoir ? Et quelle est sa stratégie derrière tout ça ? C'est ce que nous allons voir dans ce nouveau numéro express de Dissolution.

Auteurs : Camille Chastrusse, Victor Ulysse Sultra, doctorant en droit public
Réalisation et montage : Camille Chastrusse
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Morgane Sabouret
Production : Hicham Tragha
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert

Anonyme a dit…

"Les Insoumis sont convaincus d’une chose : seule une gauche « de rupture » permet de faire face au camp conservateur. « Les États-Unis ne pouvaient pas choisir la gauche : il n’y en avait pas. Quand il n’y a plus de gauche, il n’y a pas de limite à droite », estime le fondateur du mouvement Jean-Luc Mélenchon. La défaite de Kamala Harris s’explique selon eux par une campagne trop au centre. « On ne bat pas la droite extrême droitisée avec un programme néolibéral économiquement, mou du genou sur le social, superficiel sur les enjeux démocratiques, opportuniste en matière identitaire, inexistant sur l’écologie, anti-migrants et impérialiste », défend la députée Danièle Obono.

L’un des points de crispations se situe à leurs yeux sur la question palestinienne, la candidate démocrate s’étant montrée prudente sur son soutien à Gaza, soucieuse de ne pas se mettre à dos Israël. « Le camp démocrate américain doit s’interroger sur ses valeurs », tranche le député Aymeric Caron, pour qui « soutenir activement un génocide, permettre la mort et la mutilation de dizaines de milliers d’enfants, rendre possible et défendre le pire de ce que l’humanité peut produire [...] mène logiquement à l’échec le camp qui prétend incarner le progressisme ». Bien que, pour l’heure, aucune donnée consolidée ne permette d’étayer la thèse d’un vote sanction sur ce thème ayant fait basucler l’élection."
(…)


https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/apres-la-victoire-de-donald-trump-la-gauche-francaise-se-divise-sur-le-resultat-des-elections_241867.html

Anonyme a dit…

https://www.liberation.fr/politique/interdiction-des-manifestations-dextreme-droite-le-conseil-detat-valide-la-circulaire-darmanin-mais-la-mouvance-defile-20241115_LHYSCO6TSZGL5DSPXCNO6ZNU64/