"Quel point commun entre une attaque de black blocs contre les forces de l’ordre, une action écologiste de désobéissance civile au siège de Total Energies et une manifestation propalestinienne (interdite) ? Toutes sont couvertes par des street reporters ! Depuis quelques années, dans le sillage des Gilets jaunes, ces « journalistes de rue » inondent les réseaux sociaux de leurs images prises sur le vif et diffusées, la plupart du temps, sans commentaire ni montage. Pas un mouvement social ou happening militant ne se déroule sans que ces vidéastes – autodidactes ou passés par une formation en journalisme – en rendent compte sur X, et même TikTok, le plus souvent à l’aide de leur smartphone." (…)
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MERCI AU JOURNALISME DE RUE POUR 2024 !
"Quel point commun entre une attaque de black blocs contre les forces de l’ordre, une action écologiste de désobéissance civile au siège de Total Energies et une manifestation propalestinienne (interdite) ? Toutes sont couvertes par des street reporters ! Depuis quelques années, dans le sillage des Gilets jaunes, ces « journalistes de rue » inondent les réseaux sociaux de leurs images prises sur le vif et diffusées, la plupart du temps, sans commentaire ni montage. Pas un mouvement social ou happening militant ne se déroule sans que ces vidéastes – autodidactes ou passés par une formation en journalisme – en rendent compte sur X, et même TikTok, le plus souvent à l’aide de leur smartphone."
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https://www.marianne.net/societe/medias/actions-coup-de-poing-relations-avec-les-militants-images-floutees-dans-la-fabrique-du-reportage-de-rue
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