vendredi 20 mai 2022

ET SI LA MACRONIE VOULAIT "TRUQUER" LES ÉLECTIONS ? Le Média


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Législatives : pourquoi les sondages donnent-ils une majorité à Emmanuel Macron, alors que la Nupes apparaît en tête des intentions de vote ?" :

ET SI LA MACRONIE VOULAIT "TRUQUER" LES ÉLECTIONS ?
Le Média

https://youtu.be/sIVrl6ZsC7g

Premier épisode de notre nouveau module "Direction Palais #Bourbon. Il vous dira tout sur la campagne en vue des élections législatives. Bien entendu, il sera question des petites et grandes infos qui remontent du terrain. Nous ferons le point sur les circonscriptions les plus symboliques, les plus observées pour des raisons diverses. Et nous ne nous interdirons pas de passer au scanner le bilan des députés sortants.

Au sommaire aujourd'hui :

- la grosse bourde de Stanislas Guérini qui a fait frémir la majorité présidentielle et a rappelé le CV problématique de certains de ses candidats aux législatives ; la Macronie qui est soupçonnée de vouloir se servir des préfets pour fausser les résultats du scrutin, du moins d'un point de vue psychologique.

- Marine Le Pen qui est pour le moins "emmerdée" par son étrange positionnement dans cette séquence politique, un positionnement quasiment pro-#Macron et qui se défend en attaquant Jean-Luc Mélenchon.

- Et la circo du jour, du ce sera celle où candidatera la Première ministre Elisabeth #Borne, dans le Calvados.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

"C’est une députée qui, comme beaucoup dans son camp, représentait en 2017 le renouvellement de la vie politique. Ingénieure chez EDF, pas encore quadra au moment de son élection, Claire Pitollat incarnait ce vent de fraîcheur vanté par Emmanuel Macron." (...)


https://marsactu.fr/personnel-notes-de-frais-les-dossiers-noirs-de-la-deputee-macroniste-claire-pitollat/

Anonyme a dit…

"C’est une nouvelle tempête qui s’abat sur une candidate investie par Ensemble ! pour les prochaines législatives. Après le retrait de l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron Jérôme Peyrat, dans la 4e circonscription de Dordogne, condamné pour violences conjugales envers son ex-compagne. Après la polémique frappant la députée sortante de Seine-Maritime Sira Sylla, accusée de harcèlement par plusieurs de ses assistants parlementaires, c’est au tour de Claire Pitollat, députée sortante de la 2e circonscription des Bouches-du-Rhône, de se voir reprocher une série de manquements dans le cadre de son mandat finissant.

Dans une longue enquête, le site d’information Marsactu.fr dévoile, jeudi 19 mai, des abus et des dérapages de la parlementaire La République en marche (LRM), élue en 2017 à la surprise générale dans une circonscription tenue depuis deux mandats par un des piliers Les Républicains (LR) locaux, Dominique Tian, un élu marseillais lui-même condamné en 2019 pour «blanchiment de fraude fiscale». Si Mme Pitollat, 42 ans, réfute l’ensemble des faits qu’on lui attribue, elle se voit accusée par une dizaine de témoignages concordants de ses ex-collaborateurs de harcèlement et de management brutal. Mais aussi d’avoir facturé des dépenses personnelles à l’Assemblée nationale, par le biais de son avance de frais de mandat (AFM)."
(...)


https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/05/20/a-marseille-une-deputee-sortante-lrm-accusee-de-harcelement-et-de-frais-indus_6127031_823448.html

Anonyme a dit…

JEAN-MARC DUMONTET : L’INCROYABLE INDÉCENCE D’UN COURTISAN DE MACRON
Le Média



https://youtu.be/JWOmgpaU4s8



Il s’appelle Jean-Marc Dumontet, il est directeur de théâtre. Et ces dernières semaines, les médias mainstream se l’arrachent. Attention : il ne fait pas le tour des émissions culturelles, mais des matinales et des émissions politiques. Et pour cause : il est un des infatigables avocats médiatiques d’Emmanuel Macron.
Il est marrant, Jean-Marc Dumontet. Il n’en est pas à une contradiction prêt pour voler au secours de son grand homme. Trois jours après le second tour de la présidentielle, il était sur le plateau de RTL et se posait en diseur de vérités, en ami qui sait déplaire au monarque présidentiel, loin de toute passion courtisane.
Et pourtant, il suffit de gratter un peu pour se rendre compte qu’il ne tolère en réalité aucune critique s’adressant à Emmanuel Macron. On dira que c’est son droit.
Tout comme c’est son droit de retrouver son sens critique quand il s’agit de l’opposition. Et bien entendu du très très méchant Jean-Luc #Mélenchon.
Là où sa tartuferie devient insupportable, c’est lorsqu’il se pare des habits de défenseur de la justice et de l’État de droit. En effet, dans une République exemplaire, le directeur de théâtre macroniste aurait pu, aurait dû, être mis en examen. Il aurait pu être lui-même perquisitionné. En effet, à la suite de l’élection #présidentielle de 2017, il a été impliqué dans une affaire de sous-facturation étouffée dans l'œuf.