dimanche 31 octobre 2021

Technique médicale d'actualité en politique !


Envoyé par JL

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Ceci est un Kit Médical utilisé pour les lavements de fumée de tabac (années 1750 - 1810).

Le lavement au tabac était utilisé pour souffler de la fumée de tabac dans le rectum d'un patient à diverses fins médicales, mais principalement pour la réanimation de victimes de noyade.

Un tube rectal inséré dans l'anus était relié à un fumigateur et à un soufflet qui forçait la fumée à pénétrer dans le rectum.

On pensait que la chaleur de la fumée favorisait la reprise de la respiration.

La pratique n'a pas été couronnée de succès et des doutes sur la crédibilité des lavements au tabac ont conduit à la phrase populaire  :  "Se faire enfumer et l'avoir dans le cul". 

Néanmoins, cette procédure étrange est encore largement utilisée par tous les gouvernements et de nombreux politiciens...


  


4 commentaires:

Anonyme a dit…

LE ROUSSEL DE COMPTOIR


"Le vintage est à la mode. On pensait que les communistes appartenaient définitivement au passé ; qu’ils ressasseraient leur histoire jusqu’à l’infini. Nous avions emprunté une fausse route. Les rouges sont de retour. Ils font causer. Fabien Roussel, secrétaire national depuis 2018, squatte toutes les télés et les ondes. Un bon client, comme on dit dans le jargon. Le candidat communiste à la présidentielle se balade également dans le pays. Un style direct. Pas le genre à prendre des raccourcis. Il évite les mots qui plombent. Le député du Nord donne le sentiment d’être accoudé au bar du coin. Une manière de se faire comprendre par le plus grand nombre."
(...)


https://www.liberation.fr/politique/fabien-roussel-le-communiste-qui-plait-a-la-droite-20211031_ZXDRHVVVCNH5HMCPZFY5YLBRB4/

Anonyme a dit…

Philosophie dans le boudoir pour Blanquer : Attal fait sa Kampusch...


"Être le plus jeune membre du gouvernement n’est pas forcément un cadeau. Si Gabriel Attal a dû être flatté de sa nomination au poste de secrétaire d’État auprès du ministre de l'Éducation nationale en octobre 2018, le trentenaire aurait connu quelques désagréments avec Jean-Michel Blanquer, le ministre avec lequel il était rattaché. Ce dimanche 31 octobre dans les colonnes du journal Le Monde, un ancien membre du gouvernement a fait part des difficultés rencontrées par Gabriel Attal : "Blanquer était insupportable avec lui, il le sadisait sous prétexte que Gabriel commençait à avoir une vraie notoriété", a-t-il confessé."

Ce dernier n’aurait pas osé se confronter fermement au problème, sous peine de voir son avenir politique prendre fin. Pourtant, selon cette même source, Gabriel Attal aurait, à plusieurs reprises, fait ressentir son malaise face à Jean-Michel Blanquer. "Même si Gabriel ne se plaignait pas trop, il le faisait savoir, sur le mode ‘’faites-moi sortir de là, je vous en supplie’", a confié la source au quotidien. La rivalité entre les deux membres du gouvernement est telle que le jeune homme, diplômé de Sciences Po Paris, a hérité du surnom "Natascha", en référence à l’histoire d’une femme autrichienne, nommée Natasha Kampusch, qui a été séquestrée pendant 8 ans au domicile de l’homme qui l’avait enlevée."
(...)


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-le-sadisait-jean-michel-blanquer-a-fait-vivre-un-enfer-a-gabriel-attal_479774

Anonyme a dit…

L’action du champion de la Terre condamnée en justice

"À l’Élysée, on insiste sur les nombreuses discussions et négociations qu’il faudra mener, ainsi que la nécessité d’être “exigeant” envers les grands émetteurs de CO2, comme la Chine, l’Inde, l’Indonésie, l’Australie ou encore le Japon. Des engagements qui, vus de France, peinent à convaincre, tant le bilan écolo d’Emmanuel Macron est contrasté.

“À quelques jours de l’ouverture de la Cop26, nous apprenons que le dernier budget du quinquennat Macron comprend au moins 25 milliards d’euros de dépenses publiques néfastes au climat et à l’environnement”, grinçait récemment Clément Sénéchal, porte-parole de Greenpeace France.

À vrai dire, ce n’est pas la première fois que les spécialistes de la question pointent un décalage entre les déclarations grandiloquentes du chef de l’État et les actes. Parmi les exemples souvent cités, le non-respect des engagements pris lors des Accords de Paris. Saisi par des ONG soutenues par une pétition de plus de 2,3 millions de citoyens, le tribunal administratif a par exemple condamné au mois de février l’État pour inaction climatique. Et il y a quelques jours à peine, la justice administrative ordonnait à l’État de réparer le préjudice de son inaction.

Et ce n’est pas tout. Au mois de juillet, le Conseil d’État donnait neuf mois à l’exécutif pour “prendre des mesures supplémentaires” pour atteindre l’objectif d’une réduction des gaz à effet de serre de 40% à l’horizon 2030. Un mois plus tard, cette même instance condamnait l’État à une amende de 10 millions d’euros pour ne pas avoir renforcé suffisamment son dispositif de lutte contre la pollution de l’air.

Des revers cinglants qui résonnent avec les critiques émises par les citoyens de la Convention climat, qui avaient étrillé le projet de loi “Climat résilience”, jugé largement en deçà des enjeux."
(...)


https://www.huffingtonpost.fr/entry/a-la-cop26-emmanuel-macron-gene-par-ses-boulets-ecolos_fr_617aa357e4b079111a61b036

Anonyme a dit…

La jeunesse face au mépris du vieux monde (La pensée radicale fait peur) - Mathieu Burnel (2014)
À gauche



https://youtu.be/Sn6fwuA5IAs




source France télé: https://youtu.be/ts4d-V6XwX8


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JULIEN COUPAT ET MATHIEU BURNEL INTERROGÉS PAR MEDIAPART
« Tout ce que l’on peut souhaiter de meilleur aux forces autonomes qui se sont agrégées ces derniers mois, c’est qu’elles aillent à la rencontre les unes des autres, et forment un tissu de réalité toujours plus profond, plus intense et plus étranger au spectacle politique, qu’il y ait un décrochage général entre un discours public de plus en plus vain et extraterrestre et des processus locaux d’organisation, de pensée, de rencontre et de lutte de plus en plus denses. »

paru dans lundimatin#66, le 22 juin 2016

"À la veille de la manifestation du 14 juin, Julien Coupat et Mathieu Burnel, tous deux mis en examen depuis 7 ans pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » dans l’affaire dite « de Tarnac », répondaient aux question de Christophe Gueugneau sur le site d’information Mediapart. Nous en reproduisons ici les extraits les plus significatifs."
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https://lundi.am/Julien-Coupat-et-Mathieu-Burnel-interroges-par-Mediapart