mardi 22 juin 2021

Orage oh désespoir
dans la tourmente météo défavorable ouf !


 

10 commentaires:

Anonyme a dit…

« Il y a la gauche et il y a Manuel Valls. Les deux sont irréconciliables », a également répondu Clémentine Autain sur le même réseau social.

« Quel temps fait-il en Espagne chez les néo-franquistes ? », a également rétorqué sur Twitter le député LFI Adrien Quatennens."



https://www.leparisien.fr/elections/regionales/regionales-en-ile-de-france-melenchon-denonce-du-post-franquisme-apres-lappel-de-valls-a-ne-pas-voter-pour-la-liste-de-gauche-22-06-2021-PE5TWUMDOBA4XG4Q4GDKFEQZUE.php

Anonyme a dit…

MACRON, ZEMMOUR : IL SONT EN GUERRE CONTRE L'ÉTAT DE DROIT
Le Média



https://youtu.be/dNChMAebjog



Démocratie et Etat de droit sont dans un bateau, on jette l'Etat de droit à l'eau. Que reste-t-il ? Pour Eric Zemmour c'est simple, il reste la démocratie. Et nous voilà libérés de cet Etat de droit qui nous empêche de mettre en prison préventivement des fichés S, puisque que ce sont de potentiels terroristes, ou bien il faut reconduire les immigrés à la frontière, puisque que ce sont de potentiels délinquants. Mais qu'est-ce qu'une démocratie sans l'état de droit ?

Tandis que Zemmour fustige des institutions constitutives de l'État de droit telles le Conseil d'État ou le Conseil constitutionnel, qu'il accuse d'être pétries d'idéologie et de trahir les français, les défenseurs de l’état de droit comme l'avocat Francois Sureau voient en elles au contraire un rempart important contre les dérives de l'État.

Qu’est-ce que l’état de droit ? Pour Zemmour c'est le contrôle des juges sur les décisions politiques, qui dégénère selon lui en un "gouvernement des juges". D'abord, c'est faux, puisque l'activité des hautes cours comme le Conseil constitutionnel n’est pas une libre créativité absolue, mais une application de la Constitution – application qui comprend certes une dimension interprétative. [...]

Mais c'est surtout une vision beaucoup trop restrictive. L'état de droit désigne une réalité beaucoup plus large : la situation dans laquelle le pouvoir de l'Etat est limité par le droit, pour éviter l'arbitraire. Autrement dit, ce n'est pas parce que vous êtes majoritaire au Parlement et au gouvernement que vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Il y a une partie du droit, comme la Constitution, qui s'impose à l'Etat lui-même. Par exemple, le principe de séparation des pouvoirs est inscrit dans la Constitution, et s'impose au gouvernement quelle que soit sa couleur ou majorité politique. De même, les Droits de l'Homme inscrits dans la Constitution interdisent au gouvernement ou à la majorité politique de violer certains droits fondamentaux des individus. Macron et ses députés, par exemple, ne peuvent pas décider de rendre la torture légale.
[...]

Zemmour semble dire que les juges de l'Etat de droit lèsent le peuple. Mais, avec la bonne définition, on voit bien que le rôle de l'Etat de droit est de protéger le citoyen contre les abus de pouvoir de l'Etat.
Zemmour se moque-t-il des abus de pouvoir ? Non : il dit que la meilleure garantie contre les abus de pouvoir reste que le pouvoir soit exercé par des gens élus démocratiquement. Il ne défend pas la dictature, mais dit seulement que l'Etat de droit constitue un obstacle à l'action des représentants du peuple. Il défend donc l'idée que l'essence de la démocratie est l'élection ; l'état de droit n'est pas essentiel, voire vient entraver la démocratie.

Voilà qui ressemble beaucoup au concept de "démocratie illibérale" forgé par le politiste indo-américain Fareed Zakaria.
Ce concept est de plus en plus utilisé pour nommer des régimes tels la Hongrie, la Turquie, ou les Philippines qui, tout en respectant les cadres formels de la démocratie élective, [...]

L'intérêt de la notion de "démocratie illibérale" est qu'elle permet de nommer des dérives autoritaires y compris dans nos propres régimes démocratiques, évitant la fausse alternative qu'on nous rétorque toujours lorsqu'on les critique : "Allez en dictature !". On peut très bien être élu démocratiquement mais avoir une pratique du pouvoir qui met à mal l'état de droit sans pour autant être une tyrannie.

Article en intégralité sur notre site web

Anonyme a dit…

https://www.ladepeche.fr/2021/06/22/du-post-franquisme-la-charge-de-jean-luc-melenchon-a-lencontre-de-manuel-valls-9623965.php

Anonyme a dit…

« Cela montre la panique de la droite »

« Ces déclarations sont honteuses et brouillent un peu plus le paysage politique, déplore Eric Coquerel. Mais je crois que la droite et certains au PS sont déjà dans la tactique présidentielle. LR tape sur Jean-Luc Mélenchon car ils nous perçoivent comme un adversaire pour le second tour et le PS veut rester un parti majeur à gauche », ajoute le député LFI de Seine-Saint-Denis.

Du côté des écologistes, aussi, on balaie ces appels au barrage. « Un front républicain contre moi et l’écologie ? C’est n’importe quoi. Ils veulent me dépeindre en khmer vert ou en mélenchoniste ? Je crois qu’ils n’ont pas choisi le meilleur modèle. J’aime le Tour de France, j’aime les sapins de Noël et j’aime la viande ! », ironisait la semaine passée l’ex-macroniste Matthieu Orphelin en référence aux polémiques dont ont fait l'objet plusieurs maires EELV.

« Cette histoire de front républicain montre la panique de la droite. Plutôt que de parler d’enjeux locaux, ils tentent de disqualifier leurs adversaires et font une campagne en surfant sur les paniques identitaires, complètement détournées des compétences régionales, c’est une faute », ajoute le chef de file écolo Yannick Jadot. Les appels de la droite sont d’ailleurs restés sans réponse, car les listes de la majorité se sont toutes maintenues dans les régions concernées."



https://www.20minutes.fr/elections/3067943-20210622-regionales-droite-souhaite-front-republicain-contre-jean-luc-melenchon-eelv

Anonyme a dit…

Liquidation de la fonderie MBF : la colère et les larmes pour les 280 salariés de Saint-Claude, Jura
France 3 Bourgogne-Franche-Comté



https://youtu.be/ZnQMcAnBzzs



La liquidation de la fonderie automobile MBF de Saint-Claude (Jura), employant 270 salariés permanents, a été prononcée mardi 22 juin à Dijon.
"On a été mis à mort alors qu'on avait du boulot, on est dégoûtés", a réagi Saverio Vadala, représentant de l'intersyndicale CGT-CFDT-Sud de l'entreprise.
Le jugement du tribunal de commerce entraînera la suppression des 270 postes en CDI et "met au total 300 emplois sur le carreau", selon le syndicaliste, en ajoutant intérimaires et CDD.

Anonyme a dit…

Format divertissant

"Valek" (357 000 abonnés), de son côté, fulmine contre "la déconstruction de la masculinité", se propose de donner "quelques milligrammes de testostérone" et affirme que "les Français baissent tout le temps leur froc".
Les propos sont outrageux et enveloppés d'une forme divertissante (vidéos courtes au montage dynamique ponctuées de blagues et mèmes) afin de séduire les jeunes et d'accroître leur audience. À des fins notamment financières, selon le chercheur Romain Fargier: "la plupart sont des micro-entrepreneurs qui se servent de YouTube comme d'une vitrine. Etre provoquant permet de se faire connaître et de vendre des produits à côté." "Papacito" est ainsi auteur de bandes dessinées, alors que "Raptor" dispense des conseils de coaching.

Les motivations sont également idéologiques. "Raptor" les détaillait dans un entretien à Valeurs actuelles en juillet 2018: "mon objectif a toujours été de créer du contenu à la fois divertissant et qui soulève quelques problématiques et enjeux actuels par l'humour, l'exagération et la provocation (...) d'aider les jeunes Français à s'intéresser à leur condition, leur proposer de réfléchir autrement qu'à travers l'idéologie dominante 'cosmopolitiquement' correcte". "Plus que de passer à l'action, leur but est davantage d'inséminer petit à petit leurs idées dans la société" pour les rendre, à force de répétition, de plus en plus acceptables, explique Romain Fargier. "La bataille de l'Internet, on est train de la gagner, peut-être la bataille électorale", prophétisait "Papacito" dans un entretien à Valeurs actuelles le 9 juin dernier.

De plus en plus interrogés par le journal ultraconservateur ou Sud Radio, "Papacito" et les autres influenceurs commencent en tout cas "à faire une incursion dans les médias +mainstream+, ce qui était inimaginable il y a quelques années", relève Romain Fargier."



https://www.ladepeche.fr/2021/06/22/ultradroite-derriere-le-youtubeur-toulousain-papacito-dautres-influenceurs-aux-gros-bras-et-aux-idees-radicales-9624218.php

Anonyme a dit…

«C'est une victoire pour les demandeurs d'emploi, qui auraient été durement sanctionnés par cette réforme», a pour sa part tweeté le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger. Cités par l’AFP, Michel Beaugas (FO) a vu dans la décision du Conseil d’Etar «un nouveau revers pour le gouvernement», tandis que Laurent Escure (Unsa) a salué « une bonne nouvelle pour les travailleurs» et que Solidaires relève «une défaite pour ce gouvernement antisocial».
Mais la décision de la plus haute juridiction administrative est aussi un revers pour la CFTC, seule grande centrale syndicale à ne pas s’être associée au recours contre l’Assurance chômage, au motif qu’elle n’y voyait pas de fondement juridique. Malgré cela, le syndicat «constructif» a lui aussi salué sur Twitter la suspension de l'application des nouvelles règles de calcul en écrivant : «Tant mieux pour les demandeurs d'emploi qui gagnent ainsi un peu de répit !»

Selon une évaluation de l'Unédic – l’organisme qui gère l’Assurance chômage – réalisée au printemps, jusqu’à 1,15 million de personnes ouvrant des droits dans l'année suivant le 1er juillet auraient touché une allocation mensuelle plus faible de 17% en moyenne, avec toutefois une «durée théorique d'indemnisation» allongée à 14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme."


https://francais.rt.com/economie/88108-gifle-pour-gouvernement-conseil-detat-suspend-reforme-assurance-chomage

Anonyme a dit…

[DUEL MACRON-LE PEN : NÉOLIBÉRALISME ET ENNEMI INTÉRIEUR]...

#AuPoste #Société

"LE CHOIX DE LA GUERRE CIVILE"
BLAST - Le souffle de l'info



https://youtu.be/SiG2JqHTrdg



Leur ouvrage est l’un de plus vivifiants du moment. "Le choix de la guerre civile" (éditions Lux) ou comment le projet d’une pure société de marché sait parfois se doter des moyens de la coercition militaire et policière. La philosophe et le sociologue étaient convoqués ce jeudi pour la 41e de #AuPoste. On a exploré le néolibéralisme, modèle total de société totale : modèle économique, social, politique, culturel. Avec un tchat plus impliqué que jamais.

Emission diffusée en direct le jeudi 3 juin 2021.

Anonyme a dit…

Valls et son néofranquisme laisse des traces sur tous les murs de la classe politique...



https://www.ouest-france.fr/elections/regionales/elections-regionales-la-presence-de-l-ancien-directeur-de-cabinet-de-jean-luc-melenchon-fait-reagir-c14706e4-d378-11eb-83d4-d9e2648f9b77

Anonyme a dit…

"Champagne et honneurs pour les puissants… matraque et lacrymos pour les jeunes. Ainsi se résume la journée du 21 juin, quand la présidence de la République a organisé dans une folle mise en scène deux mondes parfaitement étanches ne cohabitant que par la violence sociale et policière."
(...)


https://www.mediapart.fr/journal/france/220621/macron-president-soleil-d-un-monde-parallele?onglet=full