samedi 6 février 2021

Image du jour incertain



8 commentaires:

Anonyme a dit…

Bien vu !

Anonyme a dit…

Quand le troublion inquiète ses partenaires !



https://www.challenges.fr/politique/nicolas-dupont-aignan-inquiete-la-droite_749676

Anonyme a dit…

PROCES

Procès des policiers de la Bac : « J’ai hésité, j’avais jamais fait de business avec un policier »

"Huit personnes, dont six policiers de la Bac du 18e arrondissement, sont jugés dans une affaire de corruption


* Six policiers de la Bac du 18e arrondissement de Paris sont jugés jusqu'au 12 février dans une affaire de corruption sur fonds de trafic de drogue.

* Le brigadier Karim M., dit Bylka, est soupçonnés d'être à la tête de ce réseau.

* Il encourt 10 ans de prison."
(...)


https://www.20minutes.fr/justice/2969335-20210204-proces-policiers-bac-hesite-jamais-fait-business-policier

Anonyme a dit…

Michel Richard, directeur adjoint de la rédaction du Point est un spécialiste affirmé du "girouettisme en politique" et Coignard, celle qui lève souvent les yeux au plafond lors de ses interventions sur LCI, est un point d'appui pour surveiller la rotation des "girouettes"...

Recommandation sans modération !

"Michel Richard est directeur délégué de la rédaction du Point. Ironique, partiale et souvent injuste, sa chronique est à consommer avec modération."

Michel Richard Essais
1993 : Le nouveau dictionnaire des girouettes: De la volte-face en politique considérée comme un des beaux-arts, avec Sophie Coignard, Robert Laffont, 245 p. (ISBN 2-221-07479-3)"



"Faut-il qu'il soit mal dans sa tête, Christian Jacob, pour accoucher d'une pareille tribune ? Dans le Figaro du 5 février, il publie un texte dont le titre dit tout : « Le Pen-Macron : un duo plus qu'un duel. » En effet, le patron des Républicains n'est dupe de rien. Ce n'est pas à lui que l'on va faire le coup d'une fausse concurrence qui est en fait une vraie complicité. Sa vérité, la voici : « Marine Le Pen et Emmanuel Macron ne cessent de se faire la courte échelle pour 2022. Ces illusionnistes font semblant de préparer un duel, mais en réalité ils dansent un duo. »[...]"



https://www.lepoint.fr/editos-du-point/michel-richard/michel-richard-les-tristes-delires-de-christian-jacob-07-02-2021-2412908_54.php

Anonyme a dit…

#Nazisme #Management #Chapoutot

NAZISME ET MANAGEMENT : DES LOGIQUES COMMUNES? | « LA GRANDE H. », JOHANN CHAPOUTOT, JULIEN THÉRY
Le Média


https://youtu.be/CjmH2fCVUyM



Historien du nazisme et de sa vision du monde, Johann Chapoutot a récemment fait paraître un essai dont la réception n’a pas été unanimement favorable : "Libre d’obéir : le management, du nazisme a aujourd’hui". Il revient avec Julien Théry sur la démarche du livre et profite de l'occasion pour répondre aux objections qui lui ont été opposées.

C’est la lecture de l’abondante littérature nazie sur la Menschenführung, la conduite des hommes, qui a attiré l’attention de Johann Chapoutot sur les similitudes frappantes entre les discours de l’époque sur la nécessité de « faire mieux avec moins » et ceux qui prolifèrent aujourd’hui aussi bien dans la sphère entrepreneuriale que dans celle du gouvernement néolibéral.
Avec l’expansion du Reich au fil des conquêtes hitlériennes et le développement de l’effort de guerre, la nécessité d’administrer le plus efficacement possible avec des moyens réduits devint une obsession pour les cadres nazis. Et si le nazisme fut tout entier « un grand moment managérial », c’est parce que son idéologie poussa à l’extrême l’utilitarisme qui dominait en Occident depuis les débuts de la Révolution industrielle. Le darwinisme social (extension abusive aux communautés humaine de la théorie darwinienne de l'évolution des espèces par la sélection naturelle) cultivé en Europe depuis le XIXe siècle, tout particulièrement en Angleterre et en France, fut porté à son paroxysme par l’anthropologie nazie. Pour cette dernière, seule l’utilité d’une vie humaine pouvait justifier son existence – son utilité pour la prospérité et la promotion de la race germanique, appelée à dominer les autres sur tous les plans.

Dans son livre, Johann Chapoutot examine en particulier le cas emblématique de Reinhard Höhn (1904-2000). Jeune et brillant juriste engagé très tôt dans le militantisme nationaliste et antisémite, Höhn intègre le SD, c’est-à-dire l’élite de la SS, au début des années 30. Adjoint de Reinhard Heydrich, il devient, tout en montant les échelons de la hiérarchie dans la SS jusqu’au grade de général, professeur de droit à l’Université Humbold de Berlin et directeur de l’Institut d’études sur l’État, voué à des recherches en matière d’organisation institutionnelle adaptée au gouvernement du Reich par la race supérieure. [...]

Non seulement un penseur nazi du management, ancien dignitaire du Reich qui ne s’est jamais repenti en aucune manière de son engagement, a joué un rôle de premier plan dans l’essor économique de la République Fédérale d’Allemagne, mais ses idées sur l’organisation des hommes et de la production ont été pleinement en phase, et même pionnières à certains égards, dans le développement du management lui-même.

Non seulement la « délégation de responsabilité » renvoie à l’engagement personnel, à l’esprit d’initiative et à la culture d’entreprise prisés aujourd’hui par la science managériale, mais la substitution d’agences autonomes, flexibles et temporaires à l’administration d’État, théorisée par Höhn au cours de sa seconde carrière, correspond pleinement à l’esprit du « New public management » devenu dominant depuis les années 1980 (et inculqué par exemple aux élites françaises à l'ENA). Paradoxalement, souligne Johann Chapoutot, l’ordo-libéralisme, version allemande du néolibéralisme, a été promu par d'anciens opposants au nazisme, autour du chancelier Adenauer, mais la vision purement utilitariste, productiviste de l’humanité qui le caractérise a pour résultat une réification des « ressources humaines » qui n'est pas sans similitude avec celle opérée par l’idéologie nazie.

Motion design Kilian Le Dantec. Montage Alexis Debaye. Une émission de Julien Théry.

* A 46:34​, une erreur a fait naître Hermann Goering en 1901 et l'a fait mourir en 1945. Les bonnes dates sont 1893-1946. Toutes nos excuses.

Anonyme a dit…

LOI SÉCURITÉ GLOBALE : RÉSULTATS DES COURSES


"Analyse du scrutin n° 3254
Deuxième séance du 24/11/2020
Scrutin public sur l'ensemble de la proposition de loi relative à la sécurité globale (première lecture).
Pour l'adoption : 388
Contre : 104
Abstention : 66
Synthèse du vote
Nombre de votants : 558

Nombre de suffrages exprimés : 492

Majorité absolue : 247

Pour l'adoption : 388

Contre : 104

L'Assemblée nationale a adopté.

Visualiser les votes des députés dans l'hémicycle"
(...)


https://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/%28legislature%29/15/%28num%29/3254

Anonyme a dit…

" [...] Un an après avoir lancé un appel aux dons pour la campagne municipale, le RN est en effet toujours englué dans les problèmes financiers, avec une dette à hauteur de 24,4 millions d'euros selon les derniers chiffres publiés.

Résultat, après le licenciement de quatre salariés du service communication, c'est Yann Le Pen qui est poussée vers la sortie dans le cadre d'un plan de départ. Une employée pas comme les autres et une situation gênante pour Marine Le Pen. "Il n'y a pas de bonne solution pour Marine, pense un salarié historique du parti dans L'Opinion. Soit elle pousse Yann dehors, et elle sera accusée d'avoir viré la soeur après avoir tué le père. Soit elle la garde pour un emploi factice alors qu'elle en licencie d'autres, et elle est accusée de népotisme."
(...)


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/marine-le-pen-pourquoi-elle-pourrait-etre-accusee-de-virer-la-soeur-apres-avoir-tue-le-pere_462817

Anonyme a dit…

L'ancien patron du FN entend récupérer plusieurs millions d'euros que lui doit le parti aujourd'hui dirigé par sa fille. Pour ce faire, il a demandé l'aide de l'État.

"Jean-Marie Le Pen veut récupérer son argent, et rapidement. Il souhaite que le Rassemblement national, dirigé par sa fille Marine, lui rembourse la somme de 4,5 millions d'euros. Un montant que l'ancien patron frontiste avait prêté à la formation politique en 2017, via son microparti Cotelec. Le prêt accordé était à l'origine de six millions d'euros, mais seule une petite partie lui a été remboursée. Aujourd'hui, Jean-Marie Le Pen veut donc récupérer le reste et a demandé l'aide de l'État pour y parvenir, rapporte Le Journal du Dimanche.

Le prêt consenti au Rassemblement national aurait servi, selon le JDD, à financer la campagne de Marine Le Pen à l'élection présidentielle de 2017, et est arrivé à échéance il y a de cela plusieurs mois. Or, les frais de la campagne, soit 11 millions d'euros, ont déjà été remboursés au RN en 2018 par l'État. Mais Cotelec n'a, pour l'instant, toujours pas vu la couleur de son argent."
(...)

Un dossier réglé par "avocats interposés"

"L'hebdomadaire dit avoir contacté l'entourage de Jean-Marie Le Pen qui confirme la démarche mais rejette l'idée que celle-ci découle d'un problème financier entre lui et sa fille Marine. "Il s'agit d'une démarche juridique naturelle qui n'induit absolument pas de tension entre Jean-Marie Le Pen, Cotelec et les responsables du RN", explique ainsi l'entourage du retraité politique.

Le Rassemblement national, par la voix de son trésorier Wallerand de Saint-Just, confirme que Marine Le Pen a signé la cession de créance, au début de l'année 2019, lorsqu'elle lui a été présentée : "Cotelec a simplement pris une mesure de précaution que nous avons parfaitement comprise". Mais dans l'entourage du patriarche, on fait état de tensions autour d'un dossier qui se serait réglé "par avocats interposés". Jean-Marie Le Pen aurait en effet besoin de récupérer son argent rapidement, mais pas pour sa trésorerie personnelle, indique le JDD.

Son microparti fonctionne comme une banque qui emprunte à des particuliers pour ensuite prêter à son tour à un taux plus élevé. Or, certains investisseurs de Cotelec veulent aujourd'hui récupérer leur argent, et le RN est donc en quelque sorte contraint à verser ce qu'il doit, malgré une situation financière plutôt complexe. Dans tous les cas, Jean-Marie Le Pen va devoir attendre encore quelques temps la décision de la place Beauvau. Le ministère doit se prononcer sur la validité de la créance de cession, avant de pouvoir la mettre en oeuvre."


https://www.capital.fr/economie-politique/le-pactole-que-veut-recuperer-jean-marie-le-pen-aupres-du-rassemblement-national-1344066