samedi 28 novembre 2020

Le réboussier vous dévoile les vrais raisons du confinement !

Le réboussier vous dévoile les vrais raisons du confinement !


Vous avez remarqué sans doute que la majorité se prête presque volontiers à cette contrainte
C'est comme ça il le faut …
C'est d'ailleurs la même chose pour le masque , les vaccinations pas tout à fait au point
Vous avez aussi remarqué que notre Terre est pourrie
La pollution bien sur
La seule solution est de tout laisser tomber
Nos dirigeants l' ont compris le comité de défense mondial
a décidé d' envoyer toute la population de la terre sur Mars
Pour cela il faut s'entrainer aux confinements et autres mignardises
Un voyage dure plusieurs mois
Et sur Mars nous n'aurons pas les mêmes libertés que sur Terre
On nous entraine
Voyez vous ce virus n 'est qu' un vecteur utilisé par ce comité secret qui veut notre bien
Et ce n'est qu'un début d'un mauvais film , scénario usé certainement
Une fiction ? … Peut être ?



Envoyé de mon iPad

1 commentaire:

Anonyme a dit…

En explorant les internet je tombe sur cette photo craignoss, quitch-kitchen et malaisante. Elle m’a fait postillonner de rire en l’ouvrant grand sur mon ordi. Toujours est-il, elle va devenir mon alliée, mon impulsion et mon amie.


"Ce fut un matin bien garnis. En rentrant j’ai tout de suite mangé un petit peu de la tarte aux pommes qu’Urbain est allé mériter au près du boulanger Sabbia, en pétrissant de ces deux mains tous les petits pains dont les vençois, en ce moment même, se repaissent. Urbain va comme un dromadaire et de façon hebdomadaire, tous les dimanches ou chaque samedi, aider Sabbia avec le pain, et par là même apprendre à être boulanger. Il est graphiste et écolo, libéral presque libertaire. J’aime dire qu’Urbain est l’seul et unique vençois de gauche, ce qui est faux, quasiment aussi faux que la gauche, son existence, sa consistance, sa politique.[...]"
.../...

"La maison est grande et spacieuse, elle peut contenir nos amitiés, nos différences, nos petits égos et nos névroses, sans qu’on en fasse de la bouillie en spermanence. Il y a la place pour nos grands coeurs, nos désaccords, tout nos petits chantiers intérieurs et nos discrètes aspirations. Cette maison c’est la vie de château, c’est utopique, quasi frivole, désinvolte ; c’est une villa de rêve profond, les murs sont : blancs les volets : bleus, et le jardin est en restanques — l’ordi ne reconnaît pas ce mot, je me trompe peut-être dans l’orthographe). Que faisons-nous dans cette maison ? On essai de reconstruire notre vie, de se refaire un quotidien, et si possible en le fabriquant, sans le pré-commander tout fait. On essaie de faire nos existences, de les sentir, de les fabriquer, comme bien d’autres communautés l’ont fait, le feront ou l’auraient fait, et comme en ce moment partout, d’autres le font. Quand nous avons pour objectif (et privilège) d’inventer chaque minute de vie, quand marcher droit c’est bifurquer, et quand on n’est pas obligé·e·s de faire un petit boulot merdique pour avoir juste de quoi se couvrir et de quoi manger, on a tout plein d’activités, on improvise et on oscille entre la joie et une grande culpabilité, parce qu’il y en a, ailleurs, qui luttent, qui meurent et qui déraillent. Et qui n’ont pas cette occasion. Moi j’ai de la chance, je ne m’en cache pas, de cette chance je fais du jus, et ce jus là vous le buvez en ce moment-même. Il n’est pas tellement fermenté, c’est plutôt de la pisse première presse. On appelle ça du PPP."
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"Ce que j’voulais dire aujourd’hui : le vide de nos vie correspond au vide de nos villes. Non c’est pas ça que j’voulaisdire.
Jevoulaisparlerdesvertusdesbienfaitsdel’explorationdenotrepetit-autour-local.Je voulais remercier le président de m’avoir commis la contrainte de devoir rester dans un rayon d’un kilomètre. Je ne respecte cette règle de merde qu’un jour par semaine : le dimanche. Juste pour savoir ce que serait ma vie de collabo... et c’est pas mal ! Autant on sent que le confinement a été conçu par des gens qui peuvent être dehors et chez-soi, autant l’idée du périmètre d’un kilomètre on sent qu’elle est venue au monde dans la petite tête d’une personne ayant grandi près d’une forêt, ou bien qui est propriétaire d’une résidence secondaire à Saint-Malo ou en Bourgogne... ces décisions sont excentriques, hostiles, dangereuses comme des villes, mais sont pensées pour la campagne. D’ailleurs depuis que j’y suis revenue, dans la campagne, j’adore ces lois un jour par semaine."
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Leïla Chaix



https://lundi.am/Manger-local