mercredi 28 octobre 2020


 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

"C'est un panorama de l'hôpital en France, d'autant plus lourd de sens aujourd'hui avec la crise du Covid-19, que dresse, dans son rapport annuel publié ce vendredi 3 juillet, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), le service statistique des ministères sociaux. Ce document dénombre 4195 suppressions supplémentaires de lits d'hospitalisation en 2018 dans les établissements de santé publics et privés français."
(...)



https://www.lci.fr/sante/hopital-4200-suppressions-de-lits-d-hospitalisation-en-france-en-2018-selon-un-rapport-2158317.html

Anonyme a dit…

"Telle la cigale vous avez chanté tout l'été, et soudain... confinement !"
FRANÇOIS RUFFIN



https://youtu.be/VzODwTkBd9c


« Oui, nous serons prêts. » C’est le président de la République qui s’exprimait ainsi, le 14 juillet : « Nous serons pour la deuxième vague, cela a été préparé sous l’autorité du Premier ministre. » Le ministre de l’Education approuvait, en Dupont « T » : « Nous sommes préparés à tout », et sa Dupond « D » en charge de l’enseignement supérieur : « Les établissements sont prêts.»

Sans compter le La Palisse qui nous sert de Premier ministre, qui en septembre préconisait de « nous laver régulièrement les mains », qui ce samedi encore recommandait : « Le meilleur moyen de soulager l’hôpital, c’est de ne pas tomber malade. »

Tout allait bien, Madame la marquise.
Et soudain, rebelote. Les hôpitaux pleins. Le manque de lits. La pénurie de soignants, de gants et qui sait, de médicaments, le couvre-feu, l’Etat d’urgence, les ordonnances.
Et bientôt, ce vendredi, le re-confinement.
L’hibernation avant l’hiver.
La police en première ligne, à nouveau, à délivrer des amendes de 135 €, 6 mois de prison après trois infractions…
« Des restrictions de libertés inédites en temps de paix », pointe le président du Comité des Droits de l’Homme.