samedi 23 mai 2020

L'homme qui effraie tant Emmanuel Macron

https://www.planet.fr/politique-lhomme-qui-effraie-tant-emmanuel-macron.1998195.29334.html?xtor=ES-10-%5BPlanet_Alerte_Infos%5D-20200523-%5BtestA%5D&tgu=3A2KZZ

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour la coquille de la taille d'une poutre plantée dans le "Temps", le journal suisse et repris allègrement par Courrier International...

"En France, le président peut à tout moment révoquer le chef du gouvernement : “L’exemple à ne pas suivre est celui de Sarkozy, poursuit notre interlocuteur. Celui-ci s’est plombé en gardant François Fillon à la tête du gouvernement durant sa présidence, entre 2012 et 2017. Résultat : il a peu à peu perdu l’initiative. Sa force, qui était de tenir tête à l’administration, s’est émoussée devant la résistance de Matignon. Aujourd’hui, c’est le même scénario…”

De 2012 à 2017, la Hollandie s'est vue flanquée d'un Ayrault (fatigué), d'un Valls (à trois temps) et d'un Cazeneuve (d'occasion)...
Les marmottes dans les alpages ne savent plus emballer correctement le chocolat ?

Anonyme a dit…

"Pour la Commission européenne, le Covid-19 doit être classé dans le groupe 3. La quasi-totalité des syndicats dans l’espace communautaire estiment quant à eux qu’il doit être classé en groupe 4. Apparemment loin de ce débat le ministère du Travail affiche sur son site internet qu’il considère que "le COVID-19 doit être considéré comme un agent biologique pathogène de groupe II." Muriel Pénicaud réussit donc l’incroyable exploit de prendre des décisions encore moins protectrices des travailleurs que l’Union européenne qui se distingue pourtant ici encore."
(...)

"En maintenant le Covid-19 dans le groupe 2, Muriel Pénicaud, Didier Guillaume et Olivier Véran estiment donc que ce virus n’est pas plus dangereux que la grippe saisonnière (Virus grippal (influenza), types A, B et C), la rougeole ou encore les oreillons, maladies toutes trois classées dans le groupe 2."
(...)


https://www.marianne.net/debattons/billets/pour-le-gouvernement-en-matiere-de-droit-du-travail-le-covid-19-vaut-une-simple

Anonyme a dit…

#Déconfinement #Crise #Média

FIN DU CONFINEMENT, DÉBUT DE LA RÉVOLTE ?
Le Média


https://youtu.be/8fbNL7XO6kM



Huitième épisode de notre tour de l’actualité bi-hebdomadaire, enregistré et diffusé ce vendredi 22 mai 2020. Une émission habituellement diffusée les lundis et les vendredis.

Au sommaire :

- Le déconfinement des colères est enfin là en France, et de la solidarité envers les soignants se manifeste dans les rues. Les manifestations se multiplient devant les hôpitaux.

- Les solutions ou des non-solutions d’Emmanuel Macron face au malaise de l’hôpital public. Le grand plan d'investissement se fait attendre.

- Le fichage de salariés à la RATP, et ce qu’il nous dit sur l’atmosphère détestable qui règne dans les entreprises publiques de transports en commun.

- Enfin faut-il laisser mourir la presse française qui est dans le coma après le confinement et ses conséquences ? Altice, le groupe de Patrick Drahi se sépare de Libération et Nextradio annonce un plan de départs volontaires.

Anonyme a dit…

Billet affligé – La Ve République et « en même temps » la IVe


"La pagaille macroniste continue. Un neuvième groupe se constitue à l’Assemblée nationale avec les dissidents macronistes et divers « indépendants » politiquement favorables à eux-mêmes. Donc LREM n’est plus majoritaire à elle toute seule. Mais la majorité reste majoritaire grâce au MoDem. Un groupe de 40 personnes détient la clef de tout vote majoritaire sur les lois et sur les amendements de détails. La IVe république et son aberrant régime de partis fait son retour en fanfare. C’était ça que voulaient les électeurs ? Non, bien sûr. Ils ne savaient même pas qu’ils élisaient des « Modem » dans l’emballage macroniste.

La réforme constitutionnelle de Macron se fait donc dans les faits, sans Macron et contre lui. « Nan ! nan ! nan ! » protestent les scissionistes. « Nous ne sommes ni dans la majorité ni dans l’opposition ». De mieux en mieux. Commence donc à ce jour le régime de la parlote en coulisse, des complots et de la négociation secrète pour acquérir, à chaque difficulté, le vote de ces « ni-ni ». Un tel ni-ni n’existe d’ailleurs pas dans une démocratie républicaine. On le verra au premier vote de confiance. Il leur faudra choisir : majorité ou opposition ?

Tout cela est donc une comédie dont les objectifs réels ne sont pas encore connus. On le rappelle, il ne s’agit pas de gérer la buvette d’un patronage mais de gouverner un grand pays ! Tous ces gens ont été mis en place par Macron. Il est donc responsable du bazar. Son quinquennat, c’est le coup du chaos permanent. Et peut-être est-il partie prenante du montage qui s’annonce. Puisque que tout cela est inouï, jamais vu, inconnu, laissons la bride aller sur le cou de notre imagination. Tout cela ne préparerait-il pas les matériaux de construction du « gouvernement de majorité de projet » dont rêvent les joueurs d’échecs de l’Élysée pour donner un second souffle au quinquennat suffocant ? Édouard, fais les valises, tu vas rentrer. Juste après les municipales ?

Plus concrètement. Le neuvième groupe va permettre de reléguer les groupes à gauche de l’hémicycle davantage qu’ils le sont et la scène médiatique va s’enrichir de nouveaux répondeurs automatiques pour « libérer les énergie », parler « pour les territoires », « viser l’innovation et la flexibilité ». Ca commence fort : « 5 milliards par an pour la transition écologique » demandent-ils. Comme il en faut 75 en investissements chaque année pour être dans les clous de l’accord de Paris, Macron peut leur dire merci. De la gestion de la crise sanitaire et sur que faire à présent : rien.

Évidemment, nous ferons tout ce qui est dans nos moyens pour attirer dans l’opposition ces « marcheurs errants » les jours où ils seront tentés de s’opposer. Il y aura des amendements communs, et ainsi de suite. Au début ils seront gênés et ils auront honte d’être associés à de tels sauvages. Puis ils vont être aussi maltraités que nous le sommes, puis ils vont voir qu’en dehors de la majorité il n’y a que l’opposition, puis ils vont voir qu’un mot en entraine un autre. Et ainsi de suite. Macron a intérêt à les réintégrer vite fait dans une combine ou une autre. Et nous nous avons intérêt à être sympa. C’est le truc de la IVe République : on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Préparons les barbes à papa."



https://melenchon.fr/2020/05/19/billet-afflige-la-ve-republique-et-en-meme-temps-la-ive/

Anonyme a dit…

[ZAP] LOI AVIA : DÉRIVE LIBERTICIDE ? - 1/2 - (UnderZap #50)
Le Pixel Mort


https://youtu.be/bPrg_4tASQw



LOI AVIA OU LE CANNIBALISME EN BANDOULIÈRE !

Anonyme a dit…

Liberdom a commenté...

"Macron : "3.7 millions de vues ! Il faut que je l'appelle tout de suite et que ça se sache. 2022 se rapproche à grands pas"."

Pour son "lâcher de salopes", je vais glisser un mot à Schiappa...


https://www.valeursactuelles.com/societe/reouverture-des-bars-macron-appele-jean-marie-bigard-par-lintermediaire-de-patrick-sebastien-119691

Anonyme a dit…

[ZAP] MOI, MOCHE ET MÉCHANTE - LOI AVIA 2/2 - (UnderZap #51)
Le Pixel Mort


https://youtu.be/ugd_qKSnTMM




C'est l'occasion de découvrir le tube inter-planétaire de Nicolas Shorski composé pour Claude François...
(Attention ! De la guimauve authentique mais tellement fleur bleue, comme toi Laetitia...)



https://youtu.be/gmBmdGPl5do

Anonyme a dit…

La Nouvelle-Zélande réfléchit à la semaine de quatre jours pour relancer l'économie

La Première ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, populaire pour avoir bien géré la crise du Covid-19 dans son pays, s’est prononcée mercredi 20 mai en faveur de plusieurs mesures visant à diminuer le temps de travail : la création de nouveaux jours fériés et la semaine de quatre jours. Dans un échange sur Facebook Live, la Première ministre y voit une solution pour dégager du temps libre, afin que les Néo-Zélandais fassent tourner l’industrie du tourisme, majeure pour l’archipel.

"Comme partout, l’économie devrait fortement se contracter cette année : moins 5 % pour le produit intérieur brut, et une forte hausse du chômage à 8 ou 9 %. Pour Jacinda Ardern, leader du Parti travailliste (centre gauche), il faut sauver le tourisme en permettant à la population de s’offrir, par exemple, des week-ends prolongés. Elle ajoute que ça limitera la pollution provoquée par les embouteillages des heures de pointe, juste avant ou juste après le travail. Et que ce serait une bonne chose pour la santé mentale et la qualité de vie de tous les salariés.

Il n’y aura sans doute pas de loi : juste une incitation pour pousser les entreprises qui le peuvent à négocier avec les syndicats la semaine de quatre jours."

- Source : France TV Info



https://reporterre.net/La-Nouvelle-Zelande-reflechit-a-la-semaine-de-quatre-jours-pour-relancer-l-economie