mardi 5 mai 2020

Coronavirus : le Sénat adopte un dispositif protégeant la responsabilité pénale des décideurs

https://www.europe1.fr/politique/coronavirus-le-senat-adopte-un-dispositif-protegeant-la-responsabilite-penale-des-decideurs-3966360

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Votre carte bleue fera l'affaire...


CAPITALISME

En pleine pandémie, le macabre mais florissant business des grands groupes de pompes funèbres

La mort reste un marché lucratif – et opaque – dominé par de grands groupes, comme en témoigne l’affaire des cercueils entreposés dans un hangar à Rungis. Comment, quand on est une famille endeuillée, s’y retrouver entre les contraintes liées à l’épidémie, et des sociétés de pompes funèbres qui, parfois, tentent de profiter de leur désarroi.


"Le coronavirus a bouleversé les obsèques traditionnelles. Les interdictions se sont multipliées, et les incompréhensions des proches endeuillés aussi. « Les familles sont effarées, complètement anéanties », témoigne Michel Kawnik, président fondateur de l’Association française d’information funéraire (AFIF) [1]. Depuis un mois et demi, leur permanence téléphonique ne cesse d’être consultée sur les décès liés au Covid, ou suspectés de l’être. A chaque fois, les mêmes questions : pourquoi ne pas être autorisé à assister à la mise en cercueil, ou à entrer dans le crématorium ? Pourquoi pas d’inhumation avant plusieurs semaines ?

Avec cette permanence téléphonique, les bénévoles de l’association permettent à chacun d’accéder à une information indépendante – et non commerciale – sur les droits des familles lors d’un décès, les formalités obligatoires, et d’être accompagné dans la sélection d’une société de pompes funèbres. « C’est le seul moyen d’être aidé face à une société commerciale qui, quatre fois sur cinq, n’a aucune éthique commerciale spécifique et une politique de tiroir caisse », explique Michel Kawnik. Y compris en cette période de Covid-19."
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L’affaire de l’entrepôt de Rungis

"Face à la « saturation des capacités funéraires » en Île-de-France, un hangar du marché international de Rungis, au sud de Paris, a été réquisitionné le 3 avril par la préfecture du Val-de-Marne. L’État en confie la gestion au « leader français ​des services funéraires », OGF (pour Omnium de gestion et de financement). L’entreprise doit assurer « l’installation du matériel nécessaire à l’accueil des dépouilles », « l’accueil des opérateurs [de pompes funèbres choisies par les familles] lors du dépôt puis du retrait [des défunts] », ainsi que l’accueil des proches. Au 25 avril, cet ancien hangar a vu passer plus de 1300 défunts d’après les informations de Mediapart.

La gestion de cette morgue géante a rapidement suscité un tollé. La mise à disposition, pendant une heure, d’un espace permettant à la famille de se recueillir devant le cercueil était facturée 55 euros par OGF aux familles, dénonce la Fédération française de crémation. « C’est absolument scandaleux de faire payer une somme importante pour voir un cercueil dans des conditions déplorables pendant dix minutes », s’indigne Michel Kawnik. Face aux protestations, le ministère de l’Intérieur a assuré la gratuité aux familles, en déclarant, le 9 avril, la prise en charge par l’État des « frais supplémentaires occasionnés par des délais d’inhumation ou de crémation anormalement longs »."
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https://www.bastamag.net/pompes-funebres-cout-obseque-ceremonie-enterrement-inhumation-cremation-ogf-roceclerc-droit-famille-legislation-coronavirus-covid19

Anonyme a dit…

https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/coronavirus-en-france-un-cas-remontant-au-27-decembre-a-ete-decouvert-voici-pourquoi-cest-important-3966491

Anonyme a dit…

https://www.huffingtonpost.fr/entry/melenchon-loue-philippe-lelegant-pour-mieux-tacler-macron-le-bandit_fr_5eb2b38ac5b619cb5f007ff4

Anonyme a dit…

Difficile d'y croire où ils préparent leurs arrières ?


Coronavirus: le professeur Cohen affirme qu'il y avait un cas de Covid-19 en France dès le 27 décembre
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https://www.bfmtv.com/sante/coronavirus-le-professeur-cohen-affirme-qu-il-y-avait-un-cas-de-covid-19-en-france-des-le-27-decembre-1906757.html