jeudi 30 avril 2020

Coronavirus : votre département est-il rouge, orange ou vert ? Découvrez la version provisoire de la carte de France du déconfinement



https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-votre-departement-est-il-rouge-orange-ou-vert-decouvrez-la-version-provisoire-de-la-carte-de-france-du-deconfinement_3942205.html

4 commentaires:

Anonyme a dit…

#Déconfinement #11mai #Peur

DÉCONFINEMENT : IL Y A VRAIMENT DE QUOI AVOIR PEUR
Le Média


https://youtu.be/ZIARn2yC7O0



"La France a peur. Et elle a raison d’avoir peur. Car le Premier ministre lui-même ne croit pas à son propre plan de déconfinement. Edouard Philippe s'est rendu au Parlement alors que rien ne l'y obligeait pour obtenir un vote, le chef du gouvernement n’entendant pas porter seul la responsabilité d’une éventuelle catastrophe sanitaire. Au point, d’ailleurs, qu’il se laisse la possibilité de renoncer au déconfinement à la dernière minute..."

Le plan de déconfinement d’Edouard Philippe et ce qui se cache derrière, on en parle tout de suite dans le numéro 75 du P’tit coup de Bourbon.

Anonyme a dit…

"Le gouvernement aime filer les méthaphores guerrières. Cependant, les «brigades» dont Edouard Philippe, a révélé mardi le déploiement à partir du 11 mai, n'en sont pas moins un dispositif encore nébuleux. Mercredi matin, le Premier ministre a réuni, en vidéoconférence, des représentants des collectivités territoriales et les préfets pour recueillir les idées des uns et des autres."
(...)


https://www.liberation.fr/france/2020/04/30/brigades-sanitaires-d-edouard-philippe-le-brouillard-se-dissipe_1786958

Anonyme a dit…

Cerveaux confinés
#12 Le confinement ferait pousser les neurones

Le confinement nous a fait redécouvrir un bienfait oublié : le silence. Celui-ci a des facultés régénératrices pour notre cerveau. Mais bizarrement, nous préférons souvent le bruit qui ne lui fait pas du bien…


"Et si le confinement durait un an ? Je sais que je ne vais pas me faire des amis en écrivant cela. Mais honnêtement, qui peut dire aujourd’hui de quoi demain sera fait ? Récemment un rapport du College impérial de Londres en collaboration avec l’OMS recommandait la mise en place d’un confinement au moins partiel d’une durée d’un an et demi si nous voulions avoir une chance d’en finir avec l’épidémie. Alors quand j’ai lu cela, je me suis dit : « Que vais-je faire ? »

J’ai fermé les yeux et écouté le silence. Voilà une chose à laquelle on n’était plus habitué. La saveur incomparable du silence. Tout le monde ne l’aime pas cette saveur-là ! En fait, de nombreuses personnes, tout particulièrement celles qui ont grandi avec un fond sonore constant dans leur appartement ou leur maison, ressentent une certaine angoisse quand aucun bruit n’est détectable. C’est ce que révélait une étude en 2012, réalisée sur 580 étudiants urbains : dans l’ensemble, ils étaient angoissés par le silence et préféraient s’arranger pour qu’une radio, un téléviseur ou un téléphone diffusant de la musique soit allumé."
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Alors, qu’est-ce qui cloche avec le silence ?


"Sachant cela, il peut paraître totalement absurde de détester le silence. La situation de nombreuses personnes qui ont été habituées à entendre un bruit de fond artificiel depuis leur naissance dans des habitats saturés d’émetteurs sonores, de ces postes de radio ou de ces téléviseurs qu’on allume de façon machinale, sans même savoir pourquoi, serait véritablement paradoxale. Habituées à ce fond sonore et se sentant déstabilisées en son absence, elles auraient finalement besoin de quelque chose de mauvais pour leur cerveau.

Dans une étude, seul le silence véritable assurait une production de masse de neurones capables de maturer et de fonctionner efficacement dans le cerveau

Ce n’est pas un scoop. Nous passons une partie de notre temps à éprouver le besoin de choses qui nous font du mal : de la nourriture grasse et sucrée, des boissons chimiques, du tabac, de l’alcool. Le cerveau s’habitue à ces stimuli néfastes et n’arrive plus à s’en défaire. Mais dans le cas du silence, la situation est plus intéressante. En effet, l’étude de Dresde sur les souris révélait que si le silence faisait pousser de nouveaux neurones, c’était peut-être précisément parce que l’absence totale de bruit est une situation atypique et assez rare dans la nature, et que le cerveau se prépare à se remodeler pour faire face à un changement. En ce sens, il fourbirait en quelque sorte ses armes, sous forme de ces frais et jeunes neurones encore très modelables, afin de faire jouer toutes sa neuroplasticité et faire face à un contexte inédit.

C’est d'une certaine façon ce qui nous arrive. Ce silence est nouveau, en quelque sorte anormal, mais également bénéfique. Il nous fait sortir, par sa discrétion et par son immensité, de nos habitudes. Nos neurones repoussent, de la même manière que repoussent les herbes sauvages dans les champs et que l’on revoit, pour la première fois depuis des années, des moustiques et des moucherons s’écraser sur nos pare-brise. La nature occupe l’espace laissé par l’homme emmuré dans ses villes, et nos neurones occupent l’espace laissé dans nos têtes par le silence."
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"Le bruit va donc reprendre. Graduellement, petit à petit, et toujours crescendo. Et nous serons toujours plus fatigués. Sauf si, désormais conscients de ces mécanismes, nous décidons d’en être les maîtres. Et de faire silence, régulièrement. Par mesure d’hygiène mentale. Et pour laisser un peu de place à nos neurones…​"


https://www.cerveauetpsycho.fr/sr/cerveaux-confines/12-le-confinement-ferait-pousser-les-neurones-19352.php

Anonyme a dit…

Cerveaux vraiment indisponibles : même le chien reste interloqué !

Olivier, frappé à coups de muselière à Toulouse : la version policière mise à mal


“Loin d’être le fou dangereux décrit aux fins de couvrir une énième violence injustifiable, Olivier est avant tout un père de famille avec deux filles qui ce jour là fumait tranquillement sa clope devant chez lui avant de connaitre tout ce qui allait lui arriver.”

Les images ont fait le tour des réseaux sociaux et des médias : Olivier, la cinquantaine, s’est fait frapper à coup de muselière par une brigade de police la nuit du vendredi 24 au samedi 25 avril à Toulouse. L’auteur de la vidéo nous a envoyé ses images prises de son balcon."
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"Dans cette affaire, la police est allée chercher des faits de justice remontant à 20 ans et a brandi la menace psychiatrique (qui s’avère être fausse) pour s’en servir comme d’arguments aggravants et justifiant l’injustifiable. La criminalisation des victimes est une recette systématiquement employée pour tenter de faire admettre les violences policières dans l’opinion publique. Il faut aussi noter que les journaux ont montré une grande disponibilité à relater une telle version.

Comment se fait-il qu’un homme parti d’un hôpital pour rentrer se reposer chez lui après un épisode éprouvant, se retrouve quelques minutes plus tard tabassé par la police et un jour après traîné dans la boue par un de ses syndicats d’extrême droite repris en fanfare par les médias ?

Maintenant Olivier est confronté à une autre institution aussi connue pour sa disponibilité à entériner les versions policières : la justice. Mercredi, Olivier a été placé en détention provisoire. Motifs : Son casier judiciaire de plus de 20 ans justifie aux yeux du juge une crainte de récidive. Autre argument invoqué : l’altercation avec le voisin pourrait se réitérer. Bien que son avocat ait proposé qu’Olivier réside loin de ce voisin, dans sa famille, cette option n’a pas été entendue. Ce choix plus que contestable a fait l’objet d’un recours par l’avocat qui va porter plainte avec Olivier contre les violences injustifiables qu’il a subies."



https://cerveauxnondisponibles.net/2020/04/30/olivier-frappe-a-coups-de-museliere-a-toulouse-la-version-policiere-mise-a-mal/