lundi 10 février 2020

"Le plus important n'est pas de filmer, mais de diffuser" : comment les vidéastes ont réussi à documenter les violences policières

https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/le-plus-important-n-est-pas-de-filmer-mais-de-diffuser-comment-les-videastes-ont-reussi-a-documenter-les-violences-policieres_3802779.html

2 commentaires:

Anonyme a dit…

[...]
Ce pou­voir ne tien­drait donc plus que par la coer­ci­tion ?

< Nous sommes au-delà de la coer­ci­tion. Il ne reste plus à ce pou­voir que la répres­sion, le fra­cas, la vio­lence, la dou­leur, la souf­france, la crainte, la peur. Voilà ce qu’ils uti­lisent aujourd’hui. Benoîtement : ils pré­tendent être, eux, vic­times d’une vio­lence sociale. C’est pire que tout, cette per­ver­si­té dans la com­mu­ni­ca­tion gou­ver­ne­men­tale. Ils se disent vic­times de mani­fes­tants vio­lents, des gilets jaunes insur­rec­tion­nels, des cégé­tistes, des syn­di­ca­listes, de tous ceux qui luttent pour une vie meilleure. Ils font de ceux qu’ils mutilent et tuent les agres­seurs. Le pro­blème, c’est que lorsqu’on com­mence à tuer des citoyens lamb­da, qui ne deman­daient qu’à faire leur tra­vail de livreur pour nour­rir cinq enfants, ça ne tient plus. Avec le décès de Cédric Chouviat, il y a eu un vrai bas­cu­le­ment. C’est qu’il était blanc : il sus­cite une empa­thie, une iden­ti­fi­ca­tion socio­lo­gique plus impor­tante qu’Adama Traoré, noir, donc sus­pect, dans l’inconscient col­lec­tif, d’être l’agresseur méri­tant son sort.>
[...]


https://www.revue-ballast.fr/arie-alimi-il-ne-reste-plus-a-ce-pouvoir-que-la-violence/

Anonyme a dit…

Oh! là là; que de phrases magiques !.. Allez, au turbin!...