Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
lundi 10 février 2020
"Le plus important n'est pas de filmer, mais de diffuser" : comment les vidéastes ont réussi à documenter les violences policières
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2 commentaires:
[...]
Ce pouvoir ne tiendrait donc plus que par la coercition ?
< Nous sommes au-delà de la coercition. Il ne reste plus à ce pouvoir que la répression, le fracas, la violence, la douleur, la souffrance, la crainte, la peur. Voilà ce qu’ils utilisent aujourd’hui. Benoîtement : ils prétendent être, eux, victimes d’une violence sociale. C’est pire que tout, cette perversité dans la communication gouvernementale. Ils se disent victimes de manifestants violents, des gilets jaunes insurrectionnels, des cégétistes, des syndicalistes, de tous ceux qui luttent pour une vie meilleure. Ils font de ceux qu’ils mutilent et tuent les agresseurs. Le problème, c’est que lorsqu’on commence à tuer des citoyens lambda, qui ne demandaient qu’à faire leur travail de livreur pour nourrir cinq enfants, ça ne tient plus. Avec le décès de Cédric Chouviat, il y a eu un vrai basculement. C’est qu’il était blanc : il suscite une empathie, une identification sociologique plus importante qu’Adama Traoré, noir, donc suspect, dans l’inconscient collectif, d’être l’agresseur méritant son sort.>
[...]
https://www.revue-ballast.fr/arie-alimi-il-ne-reste-plus-a-ce-pouvoir-que-la-violence/
Oh! là là; que de phrases magiques !.. Allez, au turbin!...
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