mardi 1 janvier 2019

BONNE ANNEE 2019


8 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonne année aussi Reb !
A méditer pour ceux qui nous gouvernent :
"Un roi affermit son pays par le droit, mais celui qui multiplie les impôts le ruine." Proverbes 29.4

Anonyme a dit…

https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/12/31/les-v-ux-d-emmanuel-macron-critiques-par-l-opposition-et-les-gilets-jaunes_5404036_823448.html

Anonyme a dit…

Meilleurs voeux à tou.t.e.s...
Et à toi Réboussier en particulier!

Anonyme a dit…

Une tenue jaune qui fait communauté.

.../...
«Une communauté de lutte qui n’est plus la communauté du travail

Les révol­tés des ronds-points sont certes pour beau­coup des sala­riés (ou assi­mi­la­bles à des sala­riés quand ils béné­fi­cient d’emplois aidés ou d’aides au retour à l’emploi), mais il y a aussi bien d’autres occu­pants non sala­riés ou anciens sala­riés (notam­ment des auto-entre­pre­neurs pau­vres et sur­tout des retrai­tés qui sont loin de tous partir en avion low cost pour des des­ti­na­tions exo­ti­ques). Ce n’est pas à partir du rap­port de tra­vail qu’ils inter­vien­nent, mais à partir de leurs condi­tions de vie et de leur inexis­tence sociale. Une lutte, certes, mais une lutte sans classe plutôt qu’une lutte de clas­ses. Il ne sert donc à rien d’y recher­cher ce qui serait son aile pro­lé­ta­rienne pour lui donner une trans­crois­sance qu’elle n’a mani­fes­te­ment pas l’inten­tion de mani­fes­ter.
5 D’ailleurs, si les Gilets jaunes sont mépri­sés par le pou­voir en place, ce n’est pas parce qu’ils sont des « pro­lé­tai­res » au sens his­to­ri­que du terme (Macron ne méprise pas ouver­te­ment les ouvriers pro­fes­sion­nels élevés dans les règles de l’art de l’éducation syn­di­cale et léga­liste), mais plutôt parce qu’ils ne sont, pour lui, que des riens du tout (« des gens qui ne sont rien » a-t-il dit), des sortes de sous-pro­lé­tai­res moder­nes, des cas sociaux, des sau­va­ges ayant oublié toutes les règles de civi­lité, des gens qui ne savent ni parler ni pro­duire des res­pon­sa­bles. Des « sans dents » comme disait Hollande. Un mépris lui-même mépri­sa­ble tant il est chargé d’inhu­ma­nité ; un mépris aveu­glé puisqu’il jette sur le mou­ve­ment un juge­ment indif­fé­ren­cié alors même que nous qui nous mêlons à eux, nous savons qu’il y a des per­son­nes très dif­fé­ren­tes au sein des col­lec­tifs de Gilets jaunes.
6 D’après les témoi­gna­ges sur la vie col­lec­tive des Gilets jaunes dans les « caba­nes » qui ont fleuri sur les ronds-points on peut affir­mer qu’il s’agit d’abord et sur­tout d’une com­mu­nauté de lutte faite de par­tage sur les condi­tions dif­fi­ci­les de vie ; d’union des énergies contre le pou­voir glo­ba­liste (Macron, les minis­tres, les élus, les cor­rom­pus, les maxi-frau­deurs du fisc, les confis­ca­teurs de la parole du peuple, etc.) ; d’aspi­ra­tions col­lec­ti­ves afin que cesse la mau­vaise vie ; tout ceci avec des accents par­fois uto­pi­ques comme le chante un Gilet jaune musi­cien ama­teur « Je ne veux pas vivre dans un monde où les colom­bes ne volent plus1 ». Un lyrisme et des chants bien éloignés des sem­pi­ter­nels cou­plets poli­ti­ques sur « l’émancipation » qui accom­pa­gnent les mani­fes­ta­tions ouvriè­res ou gau­chis­tes. C’est cette com­mu­nauté de lutte qui fait que des per­son­nes se relaient pour pré­pa­rer de la nour­ri­ture sur place ou bien par­ta­ger celle qui est appor­tée en sou­tien. La soli­da­rité n’y est pas un vain mot.»
.../...

http://tempscritiques.free.fr/spip.php?article392

Anonyme a dit…

Chanson d'Edith Piaf sauce gilets jaunes.
La mite dans la caverne.

https://youtu.be/RSSKScXAKCY

Humour potache.

Anonyme a dit…

Crise sans précédent en 2019?

http://m.leparisien.fr/economie/marches-financiers-dix-ans-apres-le-spectre-d-un-nouveau-krach-01-01-2019-7979292.php

Anonyme a dit…

https://m.huffingtonpost.fr/2019/01/01/les-sanctions-encourues-par-les-chomeurs-plus-dures-quannoncees_a_23631422/?ec_carp=5234363819029595128

Anonyme a dit…

https://www.objectifgard.com/2019/01/02/limage-les-gilets-jaunes-insoumis-de-nimes-presentent-leurs-voeux-au-pont-du-gard/