Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
mercredi 31 octobre 2018
mardi 30 octobre 2018
lundi 29 octobre 2018
Près de Montpellier : l'hoverboard implose dans la chambre des enfants, à Saint-Jean-de-Védas
dimanche 28 octobre 2018
Nouveau commentaire sur « Lula, le prisonnier politique le plus important ....
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "« Lula, le prisonnier politique le plus important ..." :
«.../...La machine financière vit aux dépens de l'économie réelle. »
Le phénomène est mondial. Joseph Stiglitz résume la situation simplement : « alors qu'auparavant la finance était un mécanisme permettant d'injecter de l'argent dans les entreprises, aujourd'hui elle fonctionne pour en retirer de l'argent ». C'est l'un des profonds renversements de la politique socio-économique dont est responsable l'assaut néolibéral ; il est également responsable de la forte concentration de la richesse entre les mains d'un petit nombre alors que la majorité stagne, de la diminution des prestations sociales, et de l'affaiblissement de la démocratie, fragilisée par les institutions financières prédatrices. Il y a là les principales sources du ressentiment, de la colère et du mépris à l'égard des institutions gouvernementales qui balayent une grande partie du monde, et souvent appelé – à tort – « populisme ».
"Nous devons prendre des mesures courageuses" : le gouvernement "assume" la hausse des taxes sur les carburants
Supprimer l 'ISF et taxer les carburants ça c'est courageux !!
Rendez vous citoyen le 17 novembre
Le reboussier
samedi 27 octobre 2018
vendredi 26 octobre 2018
jeudi 25 octobre 2018
FAIT DU JOUR Que sont devenus les grands projets gardois ? - Objectif Gard
mercredi 24 octobre 2018
mardi 23 octobre 2018
lundi 22 octobre 2018
Hausse du prix des carburants : Ségolène Royal dézingue le "matraquage fiscal" du gouvernement sur le dos de l'écologie
dimanche 21 octobre 2018
samedi 20 octobre 2018
jeudi 18 octobre 2018
Lu sur acteurs publics
Un ancien cadre du Medef rejoint le cabinet de Muriel Pénicaud
17 OCT. 2018, PAR EMILIE COSTE
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Alors que Stéphane Lardy, directeur adjoint du cabinet de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, en charge de la formation professionnelle et de l'apprentissage, et par ailleurs ancien cadre de Force ouvrière, a été chargé de conduire la mission de préfiguration de France Compétences [lire notre article sur le sujet], Alain Druelles, lui, fait son entrée au cabinet de la ministre du Travail. Il vient en effet d'être nommé, pour le remplacer, non pas directeur adjoint de cabinet, mais conseiller à la formation professionnelle et à l'apprentissage.
Claire Scotton, directrice adjointe du cabinet de la ministre, exercera désormais seule cette fonction.
Chef de projet sur les réformes de la formation professionnelle et de l'apprentissage à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) au ministère du Travail depuis fin 2017, Alain Druelles est un ancien hiérarque du Mouvement des entreprises de France (Medef), dont il a été le directeur de l'éducation et de la formation de 2015 à 2017.
Alain Druelles a d'abord été, au sein de ce syndicat patronal, coordinateur régional de la formation professionnelle au sein du Medef de Haute-Normandie (1996-2000), puis du Medef d'Île-de-France jusqu'en 2006. Il a ensuite officié comme chef du service de la formation continue, de 2006 à 2010, avant d'y devenir directeur adjoint de l'éducation et de la formation jusqu'en 2014.
Plus tôt dans sa carrière, Alain Druelles a débuté comme directeur d'un organisme de formation-organisme mutualisateur agréé (1989-1991), puis est devenu secrétaire général adjoint de la Fédération patronale des arrondissements Rouen-Dieppe et de l'Union patronale de Haute-Normandie, jusqu'en 1995. L'année suivante, il a dirigé l'organisme paritaire collecteur agréé régional (Opcareg) – un organisme en charge de collecter les obligations financières des entreprises en matière de formation professionnelle – de Haute-Normandie (1995-1996).
mercredi 17 octobre 2018
mardi 16 octobre 2018
lundi 15 octobre 2018
dimanche 14 octobre 2018
A.S.E. VALLEE DU GARDON
Décharge sauvage en bordure du Gardon : Il faut agir.
samedi 13 octobre 2018
Remaniement : et si on supprimait les ministres ? | Contrepoints
Le texte du Dixit Dominus (psaume 110)
Dixit leRéboussier
On est loin du « tu aimeras ton prochain comme toi même »
Tu l' aimeras si il pense exclusivement comme toi !
Ce texte n'est qu' un aperçu de l 'ambiance…!
vendredi 12 octobre 2018
Carlos Tavares (patron de PSA)
Carlos Tavares (patron de PSA)
"Le monde est fou. Le fait que les autorités nous ordonnent d'aller dans une direction technologique, celle du véhicule électrique, est un gros tournant.
Je ne voudrais pas que dans 30 ans on découvre quelque chose qui n'est pas aussi beau que ça en a l'air, sur le recyclage des batteries, l'utilisation des matières rares de la planète, sur les émissions électromagnétiques de la batterie en situation de recharge?
Comment est-ce que nous allons produire plus d'énergie électrique propre ?
Comment faire pour que l'empreinte carbone de fabrication d'une batterie du véhicule électrique ne soit pas un désastre écologique ?
Comment faire en sorte que le recyclage d'une batterie ne soit pas un désastre écologique ?
Comment trouver suffisamment de matière première rare pour faire les cellules et les chimies des batteries dans la durée ?
Qui traite la question de la mobilité propre dans sa globalité ?
Qui aujourd'hui est en train de se poser la question de manière suffisamment large d'un point de vue sociétal pour tenir compte de l'ensemble de ces paramètres ?
Je m'inquiète en tant que citoyen, parce qu'en tant que constructeur automobile, je ne suis pas audible.
Toute cette agitation, tout ce chaos, va se retourner contre nous parce que nous aurons pris de mauvaises décisions dans des contextes émotionnels."
STÉPHANE LHOMME
(Directeur de l'Observatoire du nucléaire)
- Le cycle de vie d'un véhicule électrique le rend aussi polluant qu'un véhicule thermique.
Le subventionner n'a pas de sens, explique le directeur de l'Observatoire du nucléaire, Stéphane Lhomme.
La fabrication des batteries est tellement émettrice de CO² qu'il faut avoir parcouru de 50 000 à 100 000 km en voiture électrique …. Pour commencer à être moins producteur de CO² qu'une voiture thermique. Soit 15 à 30 km par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans !
AFP / DANIEL ROLAND
Or, contrairement à ce que croient la plupart des gens, soumis à une propagande continuelle des politiques et des industriels, la voiture électrique n'est pas plus vertueuse pour le climat que la voiture thermique, essence ou diesel.
Ce sont là les conclusions d'une étude, déjà ancienne, de l'Agence de l'environnement et de la maitrise de l'énergie (Ademe),ignorées délibérément par le gouvernement (Élaboration selon les principes des ACV des bilans énergétiques, des émissions de gaz à effet de serre et des autres impacts environnementaux induits par l'ensemble des filières de véhicules électriques et de véhicules thermiques à l'horizon 2012 et 2020, (novembre 2013)
Sachant que ces voitures servent essentiellement à des trajets courts, il est probable que le kilométrage nécessaire pour s'estimer « vertueux » ne sera jamais atteint.
De plus, tout le CO² émis par une voiture électrique est envoyé dans l'atmosphère avant même que ne soit parcouru le moindre kilomètre.
Alors qu'il est partout prétendu que la voiture électrique n'émet pas de particules fines, comme le signale le magazine Science et Vie (janvier 2015), « les pneus, les freins et l'usure des routes émettent presque autant de microparticules que le diésel ».
La voiture électrique émet certes moins de particules que la voiture thermique, puisqu'elle ne dispose pas d'un pot d'échappement, mais elle possède bien des freins, des pneus, et roule sur le goudron !
Au final, la voiture électrique n'est pas plus écologique que la voiture thermique.
L'argent public consacré à son développement est donc totalement injustifié.
Or, il s'agit de sommes astronomiques :
– Le gouvernement a lancé un plan d'installation de 7 millions de bornes de rechargement à environ 10 000 euros pièce, soit un cout d'environ 70 milliards d'euros.
Il est d'ailleurs poignant de voir les élus de petites communes, croyant faire un geste pour l'environnement, casser la tirelire municipale pour s'offrir une borne ;
– Le bonus « écologique » à l'achat d'une voiture électrique dépasse
10 000 € par véhicule, souvent complété par une prime de la région.
La quasi-totalité des acheteurs sont des ménages aisés, car ces véhicules sont très chers : une fois de plus, l'argent de tous est offert aux plus privilégiés.
En réalité, au pays de l'atome, tous les moyens sont bons pour « booster » la consommation d'électricité, en baisse continue depuis des années.
Car la voiture électrique en France peut être considérée comme une « voiture nucléaire » : la quasi-totalité des bornes de rechargement installées sont branchées sur le réseau électrique ordinaire, à 80 % nucléaire.
Il ne faut pas se laisser abuser par les certificats mis en avant par M. Bolloré et ses Autolib (Paris), Bluecub (Bordeaux) et Bluely (Lyon), assurant qu'elles sont rechargées aux énergies renouvelables : il ne s'agit que de jeux d'écriture ; l'électricité utilisée est la même qu'ailleurs.
Nous ne faisons pas ici la promotion de la voiture thermique, elle-même une calamité environnementale.
Mais, justement, personne n'aurait l'idée d'offrir 10 000 euros à l'achat d'une voiture diesel, de lui réserver des places de stationnement et de remplir son réservoir à prix cassé…
C'est une très bonne analyse démontrant que nos politiques (et les verts) nous font du spectacle:
La paranoïa du diésel ne concerne que les automobilistes !!!
Les Poids lourds, Autocars, Navires, sont exclus !
Juste pour situer le degré de paranoïa des plus virulents détracteurs du véhicule diesel, il faut leur révéler les données de l''industrie maritime qui a démontré qu'en considérant la taille des moteurs et la qualité du carburant utilisé, les 40 plus gros navires-cargos du monde polluent autant que l'ensemble des 760 millions d''automobiles de la planète.
Vous savez, ces porte-conteneurs qui nous alimentent en produits que l'on fabriquait dans nos usines délocalisées, aujourd'hui, ils brulent chacun 10.000 tonnes de carburant pour un aller et retour entre l'Asie et l'Europe.
Ces malheureux 40 navires font partie d'une flottille de 3.500, auxquels il faut ajouter les 17.500 tankers qui composent l'ensemble des 100.000 navires qui sillonnent les mers.
Pour ne pas quitter le domaine maritime, rappelons que la flotte de plaisance française est d'environ 500.000 unités, dont 5.000 yachts de plus de 60 mètres, et que le plus moyen de ceux-ci brule environ 900 litres de fuel en seulement une heure, alors que les 24 % de foyers français qui se chauffent au fioul ont du mal à remplir leur cuve pour l'hiver.
Pour continuer sur le chemin de la schizophrénie paranoïde, prenons en compte toute la flottille de pêche et les 4,7 millions de poids lourds en transit à travers la France et les milliers d'avions qui sillonnent le ciel.
Pour compléter cette petite fable, n'oublions pas l'indispensable domaine agricole où la consommation moyenne d'énergie est de 101 litres de fuel par hectare.
Cela prouve également que les journaleux sont achetés par le pouvoir pour la boucler et nous laver les cerveaux.
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Conférence de presse pauvreté France Isoumise
Les Groupe d'action de la France Insoumise Sud Cévennes dans le cadre de la journée internationale de lutte contre la pauvreté vous invite à
une conférence de presse
le lundi 15 octobre 2018 à 11h au bar de l'Abbaye à Alès.
Ce sera l'occasion de vous présenter notre réalisation d'une lecture/spectacle de « La puissance du manque » de Raymond Ceuppens le 19 octobre à Lasalle à la Filature du Pont de fer.
Nous profiterons de cet événement pour faire un tour d'horizon de la pauvreté dans le Gard et particulièrement dans le monde rural. Nous rendrons hommage à toutes les associations qui quotidiennement soutiennent les plus déshérités et avancerons les propositions de la France Insoumise pour éradiquer la pauvreté.
France Insoumise Sud Cévennes
jeudi 11 octobre 2018
Programmation Jeune Public du Télémac du 03 au 04 novembre en après-midi
Bonjour,Nous vous faisons parvenir en pièce jointe les photos, dossier et communiqué de presse du spectacle JEUNE PUBLIC 6-11 ANS diffusé en après-midi du 03 au 04 novembre 2018 dans le cadre de notre festival Jeune Public L'ENFANCE DE L'ART..., en l'occurrence :- "ENEKA" un spectacle de danse familial à partir de 6 ans de la Cie Aquihora interprété par Stéphane Gisbert et Chris Zerilli :- du samedi 3 au dimanche 4 novembre tous les jours à 15h.N'hésitez pas à nous solliciter si vous avez besoin d'informations supplémentaires.Nous restons à votre entière disposition.Bien cordialement à vous
L'équipe du TélémacLicences entrepreneur du spectacle n° 1/1052531 - 2/1052533 & n° 3/1052532Téléphone : 04 66 21 07 60Courriel : theatretelemac@aol.comFacebook : https://www.facebook.com/telemac.theatreTélémac Théâtre - 14 rue Fernand Pelloutier - 30900 NîmesRetrouvez notre programmation sur : http://www.agendaculturel.fr/telemac-theatre
mercredi 10 octobre 2018
L’ électricité énergie secondaire est un moyen de transport d’une…
Une évidence, mais quelque part il faut produire cette énergie secondaire par :
Le solaire , l 'éolien, hydroélectrique, les énergies fossiles, le nucléaire, la géothermie etc…
L 'électricité n'est qu'un moyen intermédiaire permettant d' utiliser ces énergies
(Mais on pollue chez les autres)
Les véhicules électriques à l' honneur aujourd'hui, credo des politiques et des médias, utilisent toutes ces énergies primaires
Que de transformations et d' infrastructures, avant de faire rouler ces véhicules !
En additionnant tous les pertes de ces étapes intermédiaires , oú est
l' économie ?
Autre problème ! Il faudra les alimenter en électricité,
Avec tout ça que devient « le bilan carbone » ? On peut douter de l'efficacité du respect de notre planète
Le pire, il faudra alimenter tout ce parc électrique de véhicules avions, voitures, camions, bateaux etc
Je n ai pas les chiffres mais notre production actuelle en électricité est très insuffisante
Va t-on doubler, tripler, quadrupler, décupler ou plus notre production ?
Avec quel type de centrale électrique ?
Comment distribuer cette production
Notre réseau est largement sous dimensionné et inadapté
La propagande éhontée sur l 'utilisation de l ' électricité , ne répond pas à toutes ces questions .
Il faudrait calculer un coefficient, par moyen de transport par exemple :
bilan carbone sur distance parcourue,
á affiner bien sur et recyclage compris
Des surprises certainement nous aurions …!
mardi 9 octobre 2018
lundi 8 octobre 2018
dimanche 7 octobre 2018
Nouveau commentaire sur Aéroports de Paris et Française des jeux: feu vert....
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Aéroports de Paris et Française des jeux: feu vert..." :
«Une absence de stratégie industrielle qui dans un pays comme la France, où le rôle de l'État dans le développement des grands groupes qui soutiennent singulièrement son économie constitue un réel problème. «L'État français a toujours fait ça, depuis Colbert qui avait créé Saint-Gobain à l'occasion de la construction de la galerie des Glaces à Versailles,» souligne l'économiste.
«Le problème, c'est que cela veut dire que c'est une politique industrielle, j'ai envie de dire, à la godille, c'est-à-dire qui concrètement n'a pas de cap,» ajoute notre intervenant.
Pour lui, chercher des connivences entre le gouvernement et certains capitaines d'industrie serait aller trop loin. Selon l'économiste, c'est bien ce manque de vision à long terme en matière d'industrie qui est le centre du problème, un manque de stratégie «en amont» qui rend aujourd'hui les décideurs politiques influençables dès lors qu'un problème survient et non pas une volonté de faire d'éventuels «cadeaux» à qui que ce soit.
«Depuis quelques années, pas uniquement depuis Macron, on a l'impression qu'il n'y a plus du tout de vision à long terme. On est victime des pressions des uns et des autres, on sait que dans l'affaire Alstom, il y a aussi les pressions de la justice américaine et on fonctionne finalement un peu par des réseaux d'amitié.»
Pour David Cayla, les racines de cette «régression absolue» du leadership français en matière industrielle puisent dans les traités européens tels que l'Acte unique de 1986. Ce dernier fixe pour objectif l'achèvement du marché intérieur impliquant, à travers la liberté de circulation des marchandises et des services (l'une des quatre libertés), l'ouverture des marchés publics.»
David Cayla, économiste, auteur de «L'Économie du réel : quand les signaux sont trompeurs.»
Ce n'est pas cette majorité qui fonctionne "à la godille" emmenée par un ministre de l'Économie Bruno Le Maire, sans projet industriel, que va s'inverser la tendance...
Un héritage qui date de... 1986! Plus de 30 années de «régression absolue»...
Dire que Le Maire, lors des "primaires" de la droite, avait un programme de 1000 (mille) pages : sûrement un ramassis de textes de "l'Économie pour les nuls", lui qui "brille d'intelligence" et emploi moult subterfuges pour se faire "mousser"...
Mieux qu'un Radar
Regardez bien!... Mieux qu'un Radar... et moins coûteux!...
Nouveaux ralentisseurs de vitesse au Canada.
Réparation trop coûteuse .....
....... et pour ça tu freineras certainement !
Chaque jour, on pose ces " trous " ailleurs !
Finalement une idée efficace qui ne coûte rien au contribuable !
Pas bêtes ces Canadiens!!!!.
Il suffisait d'y penser !!!
Plus efficace que les radars.!!!