mercredi 23 août 2017

"Rester libre" : comment La France insoumise s'organise - L'Obs

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170817.OBS3483/rester-libre-comment-la-france-insoumise-s-organise.html#xtor=EPR-1-[ObsPolitique]-20170823



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6 commentaires:

Anonyme a dit…

En dynamique ou à l'arrêt, les partis de gauche font leur rentrée.

https://fr.news.yahoo.com/dynamique-%C3%A0-larr%C3%AAt-partis-gauche-font-rentr%C3%A9e-chacun-085234048.html

Anonyme a dit…

Charlotte GIRARD revient sur son passage sur LCI.
Radio Insoumise du 21/08.
Faire de la politique comme l'on fait de l'éducation populaire.

https://youtu.be/q0fCFFy0rNE

Anonyme a dit…

Contrats Aidés vs CICE /
Manifs 12 et 23.09/ CCATD#36

https://youtu.be/BWZ27QXZLzk

Anonyme a dit…

«Dans notre France moderne, qu'est-ce donc que la République? C'est un grand acte de confiance. Instituer la République, c'est proclamer que des millions d'hommes sauront tracer eux-mêmes la règle commune de leur action; qu'ils sauront concilier la liberté et la loi, le mouvement et l'ordre; qu'ils sauront se combattre sans se déchirer; que leurs divisions n'iront pas jusqu'à une fureur chronique de guerre civile, et qu'ils ne chercheront jamais dans une dictature, même passagère, une trêve funeste et un lâche repos. Instituer la République, c'est proclamer que les citoyens des grandes nations modernes, obligés de suffire par un travail constant aux nécessités de le vie privée et domestique, auront cependant assez de temps et de liberté d'esprit pour s'occuper de la chose commune. Et si cette République surgit dans un monde monarchique encore, c'est d'assurer qu'elle s'adaptera aux conditions compliquées de la vie internationale sans entreprendre sur l'évolution plus lente des peuples, mais sans rien abandonner de sa fierté juste et sans atténuer l'éclat de son principe.
Oui, la République est un grand acte de confiance et un grand acte d'audace.»
Jean JAURÈS
Discours à la jeunesse
au lycée d'Albi, 1903.

Anonyme a dit…

http://m.huffingtonpost.fr/2017/08/23/la-france-insoumise-doit-elle-craindre-la-crise-de-croissance-comme-podemos_a_23158622/?xtor=AL-32280680?xtor=AL-32280680

Anonyme a dit…

«LE NUMÉRIQUE DES MULTINATIONALES CONTRE LES PEUPLES.
Sous l'apparente gratuité des services, les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) vampirisent la toile en capitalisant et en monétisant nos données les plus personnelles à notre insu. La centralisation massive au sein de gigantesques centres de données génère une pollution équivalente en CO2 à celle du trafic aérien mondial.
L'attitude de nos pouvoirs publics qui leur ouvre les bras est alarmante, comme en témoignent les accords entre Microsoft et le ministère de la Défense ou de l'Éducation nationale. Sans se soucier des impacts sur notre indépendance et notre sécurité, les gouvernements cèdent aux sirènes des grands groupes étasuniens privés qui proposent leurs services, alors que les révélations d'Edward SNOWDEN auraient dû pousser à la prudence. Cet analyste des services étasuniens a permis de comprendre les potentialités des réseaux numériques dans un but de surveillance de masse. En France, la lutte antiterroriste est ainsi prétexte à utiliser ces moyens pour restreindre nos libertés individuelles, comme en témoigne la loi Renseignement de 2015, sans efficacité avérée pour notre sécurité.
Trop souvent le numérique accroît les inégalités existantes. Il est au coeur des démarches quotidiennes, pour obtenir un travail, accéder à ses droits ou participer à la vie publique par exemple. Pourtant une part de la population est encore exclue des des outils Internet pour des raisons générationnelles, sociales et (ou) géographiques. Les séniors et les personnes vivant sous le seuil de pauvreté sont ainsi les plus éloignés de l'accès à Internet, aux outils numériques et appareils connectés. La «fracture numérique» est amplifiée par les politiques inadaptées de dématérialisation à courte vue des services publics. Enfin, l'essor de la robotique, l'intelligence artificielle et le développement de plateformes de type UBER bouleversent les schémas économiques actuels et nous obligent à repenser nos modèles de production. S'ils sont laissés à la prédation capitaliste, la casse sociale en sera le résultat, alors que le partage du temps de travail et la mise en commun permettent de répartir ces progrès.
Le poids des «géants du Net» n'est pourtant pas une fatalité. Un autre modèle existe, fondé sur le partage, la création en commun et la protection de la vie privée. La sphère numérique regorge de modèles alternatifs, d'idées innovantes qui connaissent déjà un succès considérable. Des initiatives comme WIKIPEDIA (Encyclopédie mondiale collaborative), FIREFOX (Navigateur Internet libre et ouvert), GNU/Linux (système d'exploitation collaboratif) proposent un modèle de partage à l'usage de tou-te-s. En donnant à chacun(e) le pouvoir de contribuer à construire les outils de demain, elles ont un réel pouvoir émancipateur.
Plus largement, elles participent à la constitution d'un domaine des «communs» (artistique, culturel, du savoir, etc) au-delà de la distinction entre propriété publique ou privée, et où chacun peut puiser sans priver l'autre.»

Introduction au livret thématique #5 NUMÉRIQUE de la France Insoumise.