dimanche 30 novembre 2014

Communiqué de presse de l'association St Hilaire Durable


 29.11.2014

Communication du budget du projet de ZAD golfique: Alès -Agglo atteinte d'une frilosité suspecte.


Rappel des faits :
  • le 8 décembre 2013, St Hilaire Durable demande par lettre recommandée au président d'Alès Agglomération la liste exhaustive des frais engagées pour le projet de ZAD « Les Hauts de St Hilaire ».
  • Sans réponse au terme de 2 mois, notre association saisit la Commission d'Accès aux Documents Administratifs qui confirme, dans son avis du 27 mars, que l'Agglo doit bien nous communiquer le budget de la ZAD depuis sa création, cette communication devant intervenir dans les deux mois suivant l'avis rendu.
  • Les mois passant et l'agglo restant muette, nous adressons Le 30 septembre 2014, une nouvelle demande (recommandée A.R.) auprès du président de l'agglo en lui rappelant l'avis de la CADA.
  • Par courrier du 13 octobre, M. Roustan nous confirme qu'il tient à notre disposition une copie des comptes administratifs du budget annexe « Les Hauts de St Hilaire » et nous demande de prendre rendez-vous avec le D.G.S.T , M. Martinez, pour récupérer les 149 pages du dossier contre un chèque de 26.82 €
  • Rendez-vous est pris aussitôt (!) pour le 18 novembre. L'avant veille du rendez-vous, coup de fil du secrétariat de M. Martinez qui réclame une liste de documents pour remettre les copies (statuts de l'association, nom et adresse des membres du bureau, attestation d'enregistrement auprès de la préfecture...) alors même qu'il dispose de tous les moyens pour vérifier que notre association est légalement constituée et enregistrée en préfecture....
  • mardi 18, munie de ces documents, une personne membre du bureau de l'association se présente à M. Martinez qui exige également un RIB (on se demande bien pourquoi, vu qu'il reçoit un chèque...) et un numéro d'enregistrement SIRET. Notre association qui n'est ni subventionnée, ni employeur, ni assujetti à la TVA, n'a aucune obligation d'avoir un tel identifiant, mais M. Martinez utilisera ce motif pour refuser de communiquer les documents...
Connaissant le secret et la dissimulation qui entourent le projet golfique depuis son origine, notre association n'est guère surprise de ces petites pratiques mesquines. Nous savions l'Audacieuse communication de l'Agglo au travers de ses campagnes d'affichage, nous en vérifions les limites s'agissant de la communication de documents "sensibles"...

P.S : malgré notre demande adressée par courriel , nous attendons toujours que M. Martinez nous indique sur quels textes règlementaires il se base pour exiger cette liste de documents.

Pour l'Association, Rémy Coulet

Sarkozy, à peine élu président de l'UMP, prend un couloir de bus et irrite les internautes

http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/29/sarkozy-president-ump-couloir-de-bus-internautes_n_6241618.html

samedi 29 novembre 2014

Présidence de l'UMP : bug à l'ouverture du scrutin - Libération

http://www.liberation.fr/politiques/2014/11/28/presidence-de-l-ump-bug-a-l-ouverture-du-scrutin_1153104?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot

LE bug on le connaît depuis quelques mois c' est SARKO

Photo Huffington

Nouveau commentaire sur Sarkozy, à bobards toute - Libération.

Envoyé par lereboussierdelafontaine
>
> «Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue.
> Le monarque des dieux leur envoie une grue,
> Qui les croque, qui les tue,
> Qui les gobe à son plaisir;
> Et grenouilles de se plaindre.
> Et Jupin de leur dire:« Eh quoi? votre désir
> A ses lois croit-il nous astreindre?
> Vous avez dû premièrement
> Garder votre gouvernement;
> Mais, ne l'ayant pas fait, il vous devait suffire
> Que votre premier roi fut débonnaire et doux
> De celui-ci contentez-vous,
> De peur d'en rencontrer un pire.»
> De Jean de la Fontaine "les grenouilles qui demandent un roi" pour les batraciens UMP qui se pâment devant l'agité du bocal. A leur risque et péril !

vendredi 28 novembre 2014

ALIEN EOLIENNE

Chute d'une pale d'éolienne près de Lac-Mégantic
MAXIME LANDRY / AGENCE QMI
Publié le: jeudi 27 novembre 2014, 22H09 | Mise à jour: jeudi 27 novembre 2014, 22H19
PHOTO COURTOISIE
·         Modifier la taille du texte
SAINT-ROBERT-BELLARMIN – Une pale d'éolienne, pesant près de 8 tonnes, s'est soudainement détachée avant de retomber lourdement au sol dans la nuit de vendredi à samedi dernier à Saint-Robert-Bellarmin, tout près de Lac-Mégantic. Une défaillance majeure, qui a entraîné l'arrêt d'urgence d'une quarantaine d'autres éoliennes, en plus d'une inspection en profondeur.
Des images obtenues par TVA Nouvelles montrent l'immense pièce métallique au beau milieu d'un chemin de gravier.
La pale, qui fait 45 mètres, est aussi longue que l'aile d'un Airbus A380.
Au moment de l'accident, l'éolienne tournait à pleine vitesse. Personne au sol n'a été blessé.
L'endroit, éloigné des habitations, est cependant fréquenté par des promeneurs, des chasseurs et des acériculteurs.
Fait inquiétant: près d'une semaine plus tard, la compagnie EDF, responsable du parc éolien pour le compte d'Hydro-Québec, ignore toujours ce qui a provoqué la défaillance.
«Il ventait fort. Mais selon nos premières constations, ce ne serait pas relié à un facteur externe. C'est plutôt une pièce qui a eu une faiblesse», a expliqué Alex Couture, directeur chez EDF.
C'est l'éolienne numéro 1 qui a connu le problème. Fabriquée par la firme allemande Senvion, elle a été mise en service il y a à peine deux ans. Les pales, quant à elles, sont fabriquées en Gaspésie.
Les 39 autres éoliennes voisines ont aussitôt été mises à l'arrêt pour permettre une inspection d'urgence.
«Aussitôt qu'on aura déterminé la cause de cet événement-là, on va aussi entreprendre une série d'inspections (ailleurs) avec le fabricant. C'est très sérieux», a affirmé M. Couture.
Combien d'éoliennes ailleurs au Québec devront donc être inspectées? EDF hésite à se prononcer.
Selon nos recherches, le fabricant Senvion a livré jusqu'à présent à Hydro-Québec 328 éoliennes, principalement en Gaspésie. La compagnie a obtenu le contrat pour 236 autres.
De son côté, EDF exploite six parcs éoliens pour le compte d'Hydro-Québec.
Joint par TVA Nouvelles, le maire de Saint-Robert-Bellarmin, Jeannot Lachance, attendait les conclusions de l'enquête avant de se prononcer.
« EDF m'a informé qu'il y avait eu un problème et que la pale était tombée, a dit le maire. Ça ne m'inquiète pas trop. S'il y avait du danger, il nous le dirait.»
Données techniques
Type d'éolienne: Repower MM92
Hauteur: 126 m
Longueur d'une pale: 45 m
Poids d'une pale: 8 tonnes
Puissance du parc: 80 mégawatts
Mise en service: automne 2012
Investissement: 200 millions $


-->

Sarkozy, à bobards toute - Libération

http://www.liberation.fr/politiques/2014/11/27/sarkozy-a-bobards-toute_1152226?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot

Salon des Maires : Les maires bâtisseurs résistent mais pour combien de temps ? - Collectivités territoriales

http://www.lemoniteur.fr/694-collectivites-territoriales/article/actualite/26516652-salon-des-maires-les-maires-batisseurs-resistent-mais-pour-combien-de-temps

mardi 25 novembre 2014

Alès Agglomération s’assure l’appui du Département

http://www.alescevennes.fr/articles/pac/actualite/citoyennete...vie.publique/_2014/ales.agglomeration.s.assure.l.appui.du.departement

En principe une photo très pixelisée est plus légè

En principe une photo très pixelisée est plus légère qu'une photo sur laquelle on n' aperçoit pas les pixels
L' évolution de notre organisation administrative peut être comparée à une photo
, les divers gouvernements droite gauche pixelisent grossièrement notre pays à une petite différence
, le poids des dépenses devrait diminuer , il n' en est rien , car chaque petit seigneur local veut garder son pouvoir , et cherche les failles du système pour s' adapter et continuer d'exister
Exemple Montpellier
Évidemment que vu de la lune ou de Mars nos régions sont très petites
Mais nous avons les pieds sur terre et notre tête n'est pas dans la lune
Mise à part une économie espérée mais utopique, quelle est l' autre raison cachée de ces réorganisations ...Le pouvoir sans doute
Réorganiser notre pays et sans doute plus facile que de relancer notre économie et vaincre le chômage
A moins que ces chambardements administratifs nous donnent de la compétitivité
Vous y croyez vous ?
Pourquoi le droit au travail doit il passer par la compétitivité ?
Pour augmenter sans doute les dividendes des actionnaires du CAC 40

Penséedureboussierdumardimatinmoroseetpluvieux

Intempéries : ce mardi, seul le Gard est placé en vigilance orange

http://www.midilibre.fr/2014/11/25/intemperies-seul-le-gard-est-desormais-place-en-vigilance-orange,1087255.php#xtor=EPR-2-%5BNewsletter%5D-20141125-%5BZone_info%5D

dimanche 23 novembre 2014

Apéro Jazz à Nimes
Aquerelle Ton van Meesche
musique "125 à la noire"
organisation Lejazzestlà restaurant Alizes


20141121 apero Jazz Alizés formation 125 à la... par

Inédit - Le flashmob Prodiges - France 2

Regardez cette vidéo sur YouTube :

http://youtu.be/eee4-d7FUis


Envoyé par ELTON

Philippe Saurel, maire de Montpellier veut deux capitales régionales ? - France 3 Midi-Pyrénées

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/11/22/philippe-saurel-maire-de-montpellier-veut-deux-capitales-regionales-597760.html

Note du reboussier

Mais oui 1 seule région ...Pourquoi pas ?
Mais 2 capitales ...En fait rien ne changera , il y aura 2 administrations , mais on aura fait plaisir à Hollande , sans doute avec des dépenses supplémentaires pour coordonner les 2 administrations et peut être un empereur qui sera le super President de cette nouvelle région
Sur la tête ne croyez vous pas que l' on tombe
Ou alors on nous prend pour des billes
Pourtant ce monsieur Saurel est intelligent ?

samedi 22 novembre 2014

Tornac : la municipalité prépare déjà les fêtes de fin d'année

http://www.midilibre.fr/2014/11/20/tornac-la-municipalite-prepare-deja-les-fetes-de-fin-d-annee,1084675.php

Boisset et Gaujac
Conseil municipal ....Consternant !


Sortir du chapeau


Envoyé par Elton

Deux lettres pleines d'humour!!!
  Copie de 2 vrais courriers reçus par le Trésor Public.
 

  
Elles sont extraordinaires... ça fait du bien de rire un peu...Certains français ne manquent pas d'humour !!!
 

 
LETTRE N°1  
Cher Monsieur.
 

 
J'ai l'honneur d'accuser réception de votre lettre du 12 avril dernier par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement de l'argent que je vous dois.
  Sachez tout d'abord que je ne conteste pas cette dette et que j' ai l'intention de vous rembourser aussi tôt que possible.
  Mais d'autre part, je vous signale que j'ai encore beaucoup d'autres créanciers, tous aussi honorables que vous et que je souhaite rembourser aussi.
 
C'est pourquoi, chaque mois, je mets tous les noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je m'empresse de rembourser.
 

 
J'ose espérer que votre nom sortira bientôt.
Entre-temps, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, l'assurance de mes sentiments distingués

  P.S. : Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j'ai le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain tirage.
 
 

 
LETTRE N°2  
 Monsieur l'agent du Trésor Public
 

 
Mon colis a pu vous étonner au départ.
  Alors voilà quelques explications.
  vous joins à cette lettre une photocopie de l'article du Nouvel Observateur intitulé « Les vraies dépenses de l'état ». Vous noterez que, dans le quatrième paragraphe, il est précisé que l'Élysée a l'habitude de payer des brouettes 5200 EUR, des escabeaux2300 EUR et des marteaux 550 EUR pièce.
 

 
Par ailleurs, un très intéressant article du Canard Enchaîné dont la bonne foi est bien connue (copie également jointe) rapporte que le prix des sièges WC du nouveau Ministère des Finances est de 3750 EUR la pièce.
 

 
Vous devant  la somme exacte de 13816 EUR pour l'année fiscale qui s'achève, je vous adresse donc dans ce colis quatre sièges WC neufs et cinq marteaux, le tout représentant une valeur de 14000 EUR. vous engage par ailleurs à conserver le trop perçu pour vos bonnes œuvres ou bien à utiliser les 184 euros restants pour que notre Président de la République puisse compléter sa boite à outils.
 

 
Ce fut un plaisir de payer mes impôts cette année, n'hésitez pas à l'avenir à me communiquer la liste des tarifs usuels pratiqués par les principaux fournisseurs de l'état.
 

 
Un contribuable heureux

Dernieres nouvelles du gouvernement

ALÈS Max Roustan et Jean Denat affichent leur bonne entente - Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2014/11/22/ales-max-roustan-jean-denat-affichent-leur-bonne-entente/

vendredi 21 novembre 2014

La carte des 13 régions (photo Midi Libre)

Suppression de la Région Languedoc-Roussillon : des obsèques confidentielles

http://www.midilibre.fr/2014/11/20/obseques-confidentielles,1085104.php#xtor=EPR-2-%5BNewsletter%5D-20141121-%5BZone_info%5D

FAIT DU JOUR Le financement participatif au service du photovoltaïque - Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2014/11/21/fait-du-jour-les-habitants-saint-sebastien-daigrefeuille-investissent-photovoltaique/

Manifestement Monsieur le Maire n' arrive pas à comprendre
BOISSET et GAUJAC

Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "Boisset et GaujacConseil municipal du 12 nov 2014 ..." : 

Manifestement Monsieur le Maire n' arrive pas à comprendre que l' on puisse être pour la mutualisation de certains moyens grâce à Ales Agglo, tout en conservant certaines compétences qui, comme l' a justement dit Mme Chaabihi, font la spécificité d' une commune ( son école, sa cantine, son urbanisme )
Quand à la menace de donner au Président d' Ales Agglo le nom de ceux qui voteront contre .... Ce propos est pathétique !
Il serait tellement simple d' expliquer la position majoritaire du Conseil Municipal de Boisset lors d' une assemblée d' Ales Agglo afin de faire évoluer le débat sur la question des compétences.
Quand à la notion du "sens de l' histoire" auquel Monsieur le Maire fait référence, c' est tout à fait discutable voire contestable.
Que la mutualisation soit vitale, compte tenu de l' évolution des restrictions budgétaires, c' est une évidence.
Mais que les habitants d' une commune se battent pour conserver un projet d' école, un projet de cantine, surtout quand l' industrie agroalimentaire "lorgne avec concupiscence" les assiettes de nos enfants, cela parait justifié, et en aucun cas un combat à contre sens de l' histoire ....
Merci aux conseillers "éclairés" de continuer à défendre leurs positions, ils ne peuvent qu' être soutenus par une majorité de Boissetains.

Signé : Jacques Boissegot 

Avant-projet de loi Macron : l'AMF dénonce la remise en cause des règles du jeu sur le PLUi - Localtis.info un service Caisse des Dépôts

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250268048824&cid=1250268046841

Boisset et Gaujac
Conseil municipal du 12 nov 2014
part03
Vote contre la révision des statuts Ales Agglo


20141112 CM boisset part03 vote agglo par zimprod

mardi 18 novembre 2014

CHIFFRE DU JOUR 45 élus dessinent les contours de la coopération entre les communes - Objectif Gard

http://www.objectifgard.com/2014/11/18/chiffre-du-jour-45-elus-dessinent-les-contours-de-la-cooperation-entre-les-communes/

PLEIN FEU
Pierre Hénon
Réseau numérique en milieu rural


20141111 ITV P.Hénon G.Lochard réseau numérique... par zimprod

Modification des statuts à travers le transfert des compétences communales qu'Alès Agglo a adopté le 25 septembre dernier

Madame, Monsieur,

A la suite de la modification de ses statuts à travers le transfert des compétences communales qu'Alès Agglo a adopté le 25 septembre dernier, nous avons adressé le courrier que vous trouverez en pj à l'ensemble des conseillers municipaux et maires des 50 communes d'Alès-Agglo.
Nous vous saurons gré de bien vouloir en prendre connaissance et d'en porter l'information auprès de votre public.
Recevez nos cordiales salutations.
COLLECTIF de CITOYENS et ÉLUS « lanceurs d’alerte » des communes de l’agglo d’Alès



Faut-il en finir avec les 36 000 communes ? - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/294628/faut-il-en-finir-avec-les-36-000-communes/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=18-11-2014-quotidien

lundi 17 novembre 2014

Les socialos prêts à vendre les bijoux de famille



Envoyé par JML

Lorsque De Villepin a cédé les autoroutes aux requins du péage, les socialistes étaient vent debout contre ces privatisations. Ils déclaraient que ce premier ministre vendait les bijoux de famille.

Voila qu'ils sont au gouvernement et que proposent les clowns ?? de vendre le fleuron du transport de l'électricité.
Sans déc .... s'ils savaient comme ils me débectent de jour en jour et pourtant comme un idiot, pour virer l'autre pitre .... j'ai voté pour eux, quel âne suis-je !!!

L'Etat pourrait récupérer 1,5 milliard en privatisant partiellement RTE => http://www.challenges.fr/entreprise/20141116.CHA0292/l-etat-pourrait-recuperer-1-5-milliards-en-privatisant-partiellement-rte.html

Et ANDUZE qui se fait tout petit !


Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "EN ATTENDANT LA REVOLUTION..." :

SVP n'oubliez pas Anduze où le maire ne convoque pas de conseil municipal pour ne pas avoir a voter les nouvelles attributions de l'agglo. Elle seront ainsi automatiquement acquises. Il parait qu'il y a une opposition à Anduze où est elle ?

Note du reboussier

Mais oui tu as raison ami lecteur
A ANDUZE pas de conseil municipal , pas de vote pour les nouveaux statuts de l'  Agglo
Donc approbation automatique
Que dit l' opposition ?
Pourquoi avoir voté aux municipales !
Évidement sans vote on ne saura pas qui est pour qui est contre , c'est reposant n' est il pas ?
Pour vivre heureux vivons caché
Quelle est la différence entre une opposition molle et une opposition constructive ?
Mais constructive de quoi ?

Sarkozy pris en flagrant délit de cynisme - Libération

http://www.liberation.fr/politiques/2014/11/16/sarkozy-pris-en-flagrant-delit-de-cynisme_1144161?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot

samedi 15 novembre 2014

Michel Rocard sort du silence :" le parler vrai" d'un grand militant.


Réorienter le PS pour le redresser, une urgence, une nécessité

Par Michel Rocard

Le Parti Socialiste de France, vieux de cent dix ans au moment de ses états généraux, vit assurément l'une des crises les plus profondes de sa longue histoire.
Pourtant quel énorme paradoxe. Né du refus de la cruauté sociale inhérente au capitalisme, ce Parti s'est formé et développé autour de la certitude longtemps bruyamment affirmée, puis oubliée sans être pour autant démentie, que le capitalisme, au-delà de sa brutalité intrinsèque, était tout aussi profondément caractérisé par son instabilité structurelle, une instabilité qui mettait en cause sa pérennité et finirait par l'emporter. Or le capitalisme est toujours là. Le PS a vu s'estomper puis disparaître les raisons de son ancienne conviction.

Pire, la Russie, la Chine et quelques autres ont abandonné l'espoir d'une économie sans
marché après l'avoir poursuivi au-delà du crime, car le marché, à l'instar de l'homme lui-même, ne peut vivre sans liberté.

Or, depuis qu'il a survécu à deux méga-massacres appelés guerres mondiales, et aux deux crises les plus gigantesques de son histoire (1929, 2006) le capitalisme semble entré dans une période de convulsions, de drames, et de contradictions dont cette fois-ci, à la différence des précédentes, on ne voit guère comment il pourrait sortir.

Cette multi-crise a trois dominances. La première est que dans tous les pays avancés le système accuse l'usure et la fatigue. La croissance s'est arrêtée. Le capitalisme ne sait plus
assurer l'emploi ni le revenu des hommes qui y vivent. Entre le tiers et la moitié de la population y survit dans la précarité et le chômage, 10 à 15 % dans la pauvreté.

La seconde est que la finance est devenue folle. Proliférant sans mesure et sans rapport à l'économie réelle, elle la fuit et se désintéresse de l'investissement pour se replier vers la spéculation au point d'y provoquer des bulles qui explosent quasiment chaque décennie.

La troisième est qu'après des millénaires de silence devant les prédations des hommes
la nature se rebelle. Saturée à l'excès de pollutions et de déchets elle nous menace de mourir de chaleur d'ici un siècle ou deux, faute de pouvoir endiguer l'aggravation de l'effet de serre que nous provoquons.

Faut-il voir là les prodromes de cette longue phase chaotique qu'il nous arrivait autrefois de baptiser crise finale ? Faut-il pressentir que le pronostic initial était juste même si les formes de l'évolution sont autres que celles que nous attendions ?

Et voilà que faute d'avoir été fidèles aux intuitions de nos fondateurs nous ne sommes
pas prêts.

L'écrasante victoire du capitalisme dans la deuxième moitié du vingtième siècle a détruit les formes que nous voulions rationnelles de notre colère et de notre volonté de changement, elle a tué jusqu'à ce qui faisait notre identité (la propriété collective des moyens de production et d'échange), et nous a laissés sans voix comme sans remède efficace contre
les injustices et les dysfonctionnements de ce système vainqueur… Nous vivons dans
l'impression de n'avoir plus de projet, sinon celui de protester.

Pourtant un examen plus attentif de ce tragique XXème siècle aurait dû nous maintenir
réveillés. Mais nous n'en avons pas pris le loisir, préférant préserver et cultiver l'intransigeance pourtant impuissante de nos premières convictions.

Le XXème siècle a battu tous les records historiques de la violence et de l'horreur parmi
les hommes : entre 150 et 200 millions de morts violentes, moitié par la sauvagerie des
totalitarismes internes (Allemagne, Russie, Chine à titre principal) et moitié par faits de
guerre. Il s'agissait d'un conflit de trois quarts de siècle entre quatre coalitions politiques
mondiales, trois grandes et une petite : fascisme, communisme, capitalisme pur et dur, et la
petite dernière, la nôtre, la social démocratie.

Dès que la nature des régimes fut claire, le socialisme se voulant démocratique -son
nom de baptême est d'ailleurs social démocratie- et se voyant incapable de renverser le
capitalisme, préféra s'y rallier plutôt que de se compromettre en quoi que ce soit avec
fascisme ou communisme. Ce fut son honneur, car la liberté était en cause, mais aussi
l'appauvrissement de son identité.

Les régimes les plus brutaux et les plus rigides commencèrent par s'entretuer -Allemagne- puis disparurent ou changèrent par implosion -Portugal, Espagne, Russie, Europe de l'Est- ou par mutation- Chine.

Sur la longue période, le socialisme démocratique fut emporté par la tourmente. Déjà pendant l'entre deux guerres, en Europe, en France notamment, puis un peu plus tard en
Amérique latine, en Asie du Sud et de l'Est, plus rarement en Afrique, il s'épuisa à vouloir
préserver la perspective d'une révolution moins militarisée, plus authentiquement populaire et démocratique. Il n'y parvint et ne fut vainqueur nulle part.

Ce n'est que dans quelques rares pays, en général petits et développés, que la voie élective permit aux socialistes d'arriver au pouvoir et, intelligence, modestie et ténacité aidant, d'y rester longtemps. Le rapport des forces mondial n'y était pas. Un capitalisme agressif, permis et appuyé par le marché, qu'il défendait de manière flamboyante en le pervertissant profondément, avait gagné et imposa ses règles, notamment financières. Dans leur terre de refuge, la Scandinavie, nos amis social démocrates, sans faire grand bruit, et en un demi siècle, parvinrent pourtant à préserver ce qui pourrait bien être l'essentiel, et que nous serions heureux aujourd'hui d'avoir su préserver aussi chez nous : la liberté d'abord, le meilleur niveau d'emploi et de bien être pour tout le peuple connu en pays de marché, un haut niveau d'éducation générale et la plus forte protection sociale pratiquée au monde.

Nous autres français avons affecté de dédaigner ces résultats. Nous en voulions plus ;
un plus que d'ailleurs nous n'avons su ni définir, ni décider, ni imposer. Nous avons préféré
rester attachés à nos propres visions : que la moitié ou quasi des forces produisant pour le
marché soit de propriété et de nature publiques, que les entreprises obéissent au commandement politique au moins en matière d'emplois, de prix et de traitement des
hommes, que la protection sociale fut étatique plutôt que négociée entre syndicats et
patrons… Tout cela n'a guère fonctionné : trop puissant, et à détermination internationale, le
marché a tout emporté.

Il en reste tout de même que dans les combats sauvages du XXème siècle, la sociale
démocratie est bien la seule des quatre forces en affrontement qui ne se soit ni dénaturée ni
déshonorée. Elle est même arrivée, par la pratique, à établir une sorte de liste des priorités
qu'un gouvernement démocratique se doit d'assurer à son peuple et que le capitalisme n'assure plus. C'est un fanal qui est parfaitement de nature à nous éclairer aujourd'hui.
Car le grand capital qui avait su se parer du drapeau de la liberté, au service de qui se
sont mobilisés, les peuples, les gouvernements et les armées de toutes les grandes
démocraties, a gagné si puissamment et si complètement qu'il s'est senti seul vainqueur. Il n'a plus ressenti le besoin de s'accompagner de contrepoids ni de contrepouvoirs, ni même d'alliés en qui il ne voyait que des empêcheurs de s'enrichir.

Il décida formellement et mobilisa même pour cela des hommes de savoir -le monétarisme, quatorze prix Nobel- de se débarrasser désormais de toute entrave à l'édification de fortunes personnelles. Le marché ne saurait avoir ni limites ni règles ni entraves. Et le
capitalisme est tombé dans la perversion que nous lui devinions, mais qu'il avait tenu sous
contrôle pendant un siècle et demi, celle de mourir asphyxié par le goût du lucre.

Ne même plus croître, ignorer le chômage et la précarité pour les renvoyer à la charité
publique et à la police, encourager l'aggravation la plus intolérable des inégalités, nier
l'importance et même l'existence de biens publics et d'un secteur public (école, santé,
transports), ne plus accepter que l'Etat serve de régulateur aux dérèglements financiers quitte à s'accommoder d'un retour des crises décennales, inciter les états, les entreprises et surtout les particuliers à s'endetter vertigineusement pour continuer à consommer et pour constituer au profit des manieurs d'argent, les banquiers, une rente inutile mais dévastatrice, voilà en quoi consiste le capitalisme financiarisé d'aujourd'hui.

En outre il est tellement affaibli qu'il est totalement incapable de penser et d'entreprendre le sursaut nécessaire pour réconcilier l'humanité et la nature et permettre par là notre survie à long terme.

A l'évidence tout cela n'est guère soutenable, comme l'on dit aujourd'hui, et risque de finir dans des conflits dramatiques. Tout est à inventer ou à réinventer, les objectifs comme
les forme de lutte. Tout ce que l'on sait est que la lutte pour la survie de l'espèce, est fatale et
qu'elle s'annonce.

C'est dans ce moment et dans cette situation, que certains, y compris dans nos rangs, et
faute d'avoir vu le PS de France porteur de solutions pour la période précédente, veulent
déclarer sa désuétude et programmer sa disparition. Ce serait pire qu'une folie, une faute et
sans doute un geste suicidaire pour la France. Et cela pour bien des raisons.

D'abord les forces de progrès et de changement ont toujours besoin d'un emblême, d'un drapeau, d'un nom qui soit un signe de rassemblement. Dans cette péride inquiétante où
s'effondrent nos anciennes convictions et nos savoirs, la seule certitude qui demeure et que la réalité confirme, est que la somme des intérêts individuels qui constitue le marché est
incapable de définir et de défendre l'intérêt général. Certes la liberté fut si menacée au XXème siècle qu'il ne faut transiger en rien sur sa priorité. Elle est la respiration des hommes.

Mais l'histoire a fait que le nom de la sociale démocratie porte toujours la trace et l'honneur de ces combats. Et ce qui est menacé aujourd'hui est l'intérêt général. Il faut assurer leur
compatibilité. Le nom du socialisme, s'il n'a plus guère de contenu concret, dit au moins cela,
et ne dit même que cela. Transiger là-dessus serait une concession stratégique dramatique.

Deuxièmement la France n'est pas seule dans cette affaire et il ne s'agit pas que de
nous. Si le PS français est beaucoup plus affaibli et déliquescent que beaucoup d'autres, cela ne nous donne en rien le droit de les y entraîner. Plus fortement encore la disparition du sens de l'international est une des causes majeures de l'affaissement du PS français, dimension européenne comprise. Or à peu près tous les objectifs qu'il faut poursuivre maintenant sont internationaux sinon mondiaux : réguler la finance, endiguer l'effet de serre, écologiser nos modes de vie, réconcilier chrétiens et musulmans, assurer la transition énergétique, recommencer la construction européenne, établir avec le milliard de chinois ces rapports d'amitiés complices dans la société civile qui dépassent le commerce comme la diplomatie et que nous savons conduire avec des latino américains et bien des africains, tout cela est transnational. Préservons une affiliation qui peut nous y aider, notre nom compris.

C'est le militantisme qu'il faut réinventer, le recréer moins électoral, plus social
territorial, environnemental et international. Nous ne le ferons pas seuls. La terre des ONG est en friche pour nous. Il n'y a aucune raison de les y laisser seules. L'affiliation nternationale
est ici la clé.

Troisièmement, dans un monde où tous les repères se diluent ou s'estompent, les
traditions prennent de ce fait un poids croissant. En crise intellectuelle, la tradition socialiste
au moins ne s'est pas déshonorée. Elle demeure, Jaurès n'a pas quitté les mémoires. Et puis regardez les conservateurs de France : ils changent de nom tous les cinq ou dix ans, et ne savent même plus raconter leur histoire. Quant à l'espoir de recréer de l'émotion et du
rassemblement autour d'une tradition il est hors de portée pour eux. Pourquoi nous affaiblir ?
Quatrièmement l'essentiel, le sens de la longue durée. L'un des drames les plus
profonds de la période et la raison de l'impuissance des autorités de toute nature à y faire face est la disparition du temps long dans nos objectifs, nos réflexions et nos actions. Depuis que l'écran a remplacé l'écrit pour nos informations mutuelles, notre communication et notre
culture, tout ce qui est complexe comme tout ce qui se situe et se comprend dans la longue
durée a disparu de nos façons de réfléchir. C'est un suicide de civilisation. Les médias le leur demandant, les politiques d'aujourd'hui jouent à l'instantané (effet d'annonce…) ce qui est stupide et inefficace, et contribue à tuer leur beau métier qui consiste à planter des cèdres -des institutions, des procédures, des règles- en évitant de tirer dessus pour qu'ils poussent plus vite quand ils sont petits…

Sauf le cas fort improbable où l'école saurait nous apprendre à utiliser l'écran de façon critique -mais où est la culture nécessaire à cela ?- l'école ne suffira jamais à nous sortir de là.

Le temps long ne peut être défini, défendu et protégé que par des outils qui le servent
en priorité. Tel est l'usage des partis politiques.

Camarades je vous le demande, quelle honte et quelle impossibilité y aurait-il pour les
socialistes français à dire ceci : ?

"Chers concitoyens. Nous sommes parmi vous les socialistes, nous avons cent dix ans.
Nous nous battons de manière continue contre l'injustice et pour une vie meilleure. C'est
difficile, le rouleau compresseur capitaliste est cruel, puissant et efficace. Nous avons raté, à
l'origine, le projet de révolution démocratique alternatif à la consolidation du capitalisme.
Mais lorsqu'il l'a réussie nous avons su inventer, mettre en place, défendre et longuement
protéger cet état de bien être dont nous regrettons tous l'érosion aujourd'hui, sans d'ailleurs
jamais comprendre pourquoi certains en France avaient eu l'idée folle et dangereuse de mêler le ciel à cette affaire en le baptisant "état-providence". Ce fut notre plus beau succès, celui au nom duquel nous nous rappelons à vous aujourd'hui. Car nous avons aussi raté l'étape suivante, celle où nous sommes, celle des débuts de la mise en cause du capitalisme acquisitif.

Mais la longue histoire de nos combats nous a fait découvrir les formes nécessaires de la
société de demain, réconciliée tant entre les hommes qu'avec la nature.

Sachant le nombre des hommes excessif par rapport aux ressources de la vie, elle sera
moins soucieuse des quantités. A croissance lente ou nulle, n'utilisant que de l'énergie
renouvelable, elle sera pour cela moins inégalitaire. Hommes et femmes y trouveront
davantage leur dignité leur épanouissement et leur plaisir de vivre dans les émotions intenses qu'apportent la culture, la fierté de créer, et la jubilation qu'il y a à maintenir en permanence  son corps dans la beauté et la santé. Plus encore elle tirera sa cohésion de la joie profonde que l'intensification, grâce à plus de temps libre, des relations interpersonnelles et familiales permet d'éprouver à la découverte de la richesse de l'autre et de ses différences porteuses d'identité. C'est le projet de la société des hommes pour les hommes. On y redécouvrira le sens perdu de la fête et du chant.

Son émergence sera progressive. Le Parti Socialiste, rénové, s'en veut le gardien. A ne
s'occuper que du court terme on risque des écarts et l'éloignement de l'objectif. Les duretés et les échecs de la période récente nous ont servi de leçon : il ne faut jamais, dans les tempêtes du présent, perdre l'essentiel de vue. Or l'essentiel se joue sur la longue durée.

Chers concitoyens, partagez-vous la vision que nous vous en proposons ?"
Si le consensus se fait sur la vision, il vaudra aussi pour la méthode : c'est progressivement, à petits pas, que se mettront en place les éléments de la nouvelle société, dans l'ordre l'énergie, le temps, la culture puis l'art de vivre. La machine devra continuer à marcher tout au long, ses cruautés et ses injustices ne s'effaçant que progressivement.

Cela appelle une dernière réflexion nécessaire, concernant celle-ci le gauchisme.
Qu'est-ce que le gauchisme sinon l'attitude consistant à refuser parce que disqualifié le
discours politiquement correct auquel se sont ralliés les institutions et les chefs en place. Il est des moments où une cure de gauchisme est nécessaire pour briser un consensus étouffant.

Le gauchisme, je connais, j'en sors, j'en suis, c'est ma famille.
J'avais seize ans, mon pays tout juste libéré baignait dans la joie de la liberté retrouvée.
Il tomba d'accord, tout entier, socialistes compris et même dirigeant, pour entreprendre en
Indochine la reconquête militaire de son empire colonial perdu. Je dénonçai cette honte, et me découvrit gauchiste. Moins de dix ans après, rebelote, à propos de l'Algérie. L'accord était général, communistes compris et socialistes de nouveau dirigeant. De nouveau je fus
gauchiste, et moins seul dès le début. Nous sauvâmes au moins l'honneur de la gauche.
Et puis un bref moment -Mai 68- je fus un chef gauchiste, estampillé extrémiste par le
ministère de l'Intérieur, pour avoir osé réclamer le droit à la parole dans la société
hiérarchisée.

Franchement, n'y avait-il pas aussi quelque gauchisme à proclamer dix ans plus tard
que l'accord général et solennel de toute la gauche autour du programme commun de
gouvernement puis des 110 propositions du candidat ne préparaient pas la vraie
transformation sociale dont la France et le Monde avaient besoin, et ont d'ailleurs de plus en
plus besoin ?

Une cure de gauchisme n'est donc ni pour me surprendre ni pour me déplaire.
Mais, mais… le fondateur du gauchisme, au fond, est un camarade à nous qui
s'appelait Karl Marx.

J'ai grand crainte, une inquiétude aux limites du mortel, que nos gauchistes
d'aujourd'hui, ne soient en train d'oublier sa première et plus forte leçon. Il ne l'a pas écrite
comme telle, c'est sa vie qui la donne. Mais elle est évidente à résumer :
"Camarades, c'est bien de vouloir changer le monde. Mais vous n'y arriverez que si
vous commencez, comme je l'ai fait, à travailler comme des forcenés à longueur de vie pour
comprendre comment il marche…".

En l'absence d'une soudaine explosion générale, aussi peu probable que souhaitable, ce
sera lent. Le peuple que nous défendons aura toujours besoin de ses salaires et de ses emplois, c'est-à-dire que la machine marche. Or elle ne peut marcher que dans ses règles, qui certes ne sont pas les nôtres, mais sont celles dont elle a besoin. Si nous avons ensemble une vraie confiance et une vraie unité autour de notre vision de l'avenir long, nous n'avons pas le droit de dérégler la machine par des brutalisations de court terme qui peuvent l'affaiblir. Il n'y a de gauchisme utile que pertinent et cohérent.

Voilà la vraie raison qui nous fait obligation de renouveler, renforcer, réunir notre parti socialiste, dans la France d'aujourd'hui, le seul outil de demain, si nous savons le préserver des pièges de la gestion du capitalisme avant de l'avoir changé. Ce faisant nous pourrions même contribuer au réveil de quelques partis frères, renforçant par là la chance de voir éclore la société des hommes à la place de celle de l'argent.

Michel ROCARD
Reykjavik le 2 novembre 2014

Courriel envoyé avec le logiciel EMA http://emailingautomate.free.fr
EMA est gratuit pour une utilisation non-commerciale

Intempéries / Gard : un enfant de 4 ans et sa mère ont trouvé la mort

http://www.midilibre.fr/2014/11/15/intemperies-dans-le-gard-un-famille-portee-disparue-a-cruviers-lascours,1081950.php#xtor=EPR-2-%5BNewsletter%5D-20141115-%5BZone_info%5D

vendredi 14 novembre 2014

EN ATTENDANT LA REVOLUTION...

toutes ressemblances avec des personnes publiques etc etc...

Rions z'un peu...
E.B "lou crès"
 

,

Enquêtes ouvertes sur les déclarations de patrimoine d'élus UMP


Envoyé par JML
On sait où sont les voyous, de l'argent oui, il y en a.
Mais .... il suffit d'avoir le courage d'aller le chercher, peut-on compter sur les socialos ??
Remember le discours du Bourget !!!


Bruno Sido, par l'intermédiaire de son avocat, a indiqué ce jeudi avoir omis dans une déclaration de patrimoine remontant à 2011 l'existence d'un «compte à la banque cantonale vaudoise» (de Suisse, NDLR) dont il avait hérité en partie, et pour lequel il a procédé à une régularisation en 2013. «Il ne s'agit en aucune façon d'argent public, ni d'un sujet lié à ses mandats électifs, mais au contraire d'une question d'ordre familial et privée.»

Quant à Lucien Degauchy (Oise), il lui est reproché la détention d'un compte en Suisse non-déclaré depuis 1981, comme le révélait fin octobre «Le Monde». «Dans mon esprit cet argent n'était pas à moi (...) c'était un héritage», dont il a «régularisé la situation» en 2013 avait affirmé l'élu au moment des révélations le concernant, plaidant la bonne foi.

Le député des Alpes-Maritimes et ancien maire de Cannes, Bernard Brochand, lui aussi détiendrait un compte en Suisse qui «aurait été ouvert il y a une quarantaine d'années» et dont le «solde dépasserait le million d'euros» affirme L'Express.

Pourquoi le Sénat craint l'impasse financière pour les collectivités - Lagazette.fr

http://www.lagazettedescommunes.com/292735/le-senat-craint-une-multiplication-spectaculaire-des-situations-dimpasse/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=14-11-2014-quotidien

Le Baromètre des maires et des élus locaux – édition 2014 Archives | Courrier des maires

http://www.courrierdesmaires.fr/dossiers/le-barometre-des-maires-et-des-elus-locaux-edition-2014/?utm_source=flash-info-cdm&utm_medium=email&utm_campaign=flash-info-14-11-2014

mercredi 12 novembre 2014

Conseil municipal Boisset-et-Gaujac : les statuts d'Alès Agglo le vote
CR2


Sortie de la réunion du conseil !!
Grosse surprise pour Reverget, la majorité du conseil rejette la modification des statuts d'Alès Agglo par 11 voix contre, 1 abstention et 7 voix pour.
Le Maire refuse de laisser la parole aux boissetains à la fin du conseil !!
Sortie houleuse, bousculade, injure... la totale !
Ah oui, j'oubliais, il a promis à une conseillère (qui avait eu le front de lui poser quelques questions), de la sortir de la mairie à coup de pied au c..
Reverget a touché 

Conseil municipal Boisset et Gaujac ...Le vote


Ce soir, le CM de Boisset a eu lieu...
Début de séance à 20h30, fin de séance 21h15 !!!
Si si j'vous assure, avec en plus l'interdiction de poser des questions en fin de conseil contrairement
à l'habitude !
Sur 19 conseillers seulement 11 étaient présents. Procuration pour les autres.
Le maire est apparu três tendu... mais venons en a l'essentiel... l'approbation du transfert des compétences à l'agglo.
Les élus ont prient leurs responsabilités en votant contre par 11 voix, 7 pour et 1 abstention... et là waouhhhh les masques sont tombés.
Trahison, pour les pour... démocratie et transparence pour les contres, le maire en manque d'oxygéne.
Il dira à Roustan qui a trahi.
Eteigner les lumiéres, dehors tout le monde.
Quelques frictions à l'extérieur, des promesses de réglements de comptes, des mots, quelques gestes...
Le trône c'est fissuré et les porteurs diminuent.
Le début d'un nouveau commencement ?
Affaire à suivre.
PS: Três peu de monde ce soir dans la salle, dommage.

Boisset-et-Gaujac : les statuts d’Alès Agglo et l’aménagement durable en débat

http://www.midilibre.fr/2014/11/10/la-modification-des-statuts-d-ales-agglo-et-l-amenagement-urbain-durable,1079417.php

A Caen, Sarkozy improvise, les bobards fusent - Libération

http://www.liberation.fr/politiques/2014/11/11/a-caen-sarkozy-improvise-les-bobards-fusent_1140825?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot

ALIEN EOLIENNE


-->
14.000 EOLIENNES ABANDONNEES AUX USA !
·         Environnement & Sciences
27 septembre 2013
1464
Les Etats Américains ont été très tôt, les premiers bernés  par  la « religion » du vent, et ses apôtres !
Dès 1981, sous la poussée des « Evangélistes verts », les gouvernements de différents états américains, dont entre autres la Californie et Hawaï ont lancé la construction de ce qu'ils appellent les « Wind Farms ». Les financements de ces mégaprojets ont été évidemment payés par les taxes des contribuables. Comme en Belgique des taxes payées par les Citoyens….
Il a fallu dix ans pour se rendre compte que les éoliennes n'étaient pas rentables pour des raisons évidentes : énergie intermittente donc rendements totalement insuffisants, coûts de maintenance et coûts de fonctionnement extrêmement élevés…… car pour que les mécanismes des éoliennes ne se dégradent pas, il faut qu'elles tournent. Le comble, c'est de devoir les faire tourner quand il n'y a pas de vent !
Mais un autre dilemme s'est présenté, il a fallu arrêter les éoliennes quatre mois par an, car elles décimaient des milliers d'oiseaux migratoires. Un des sites d'éoliennes a recensés plus de 10.000 oiseaux tués sur une année !
Les financiers américains et les contribuables US sont des gens pragmatiques. Ils ont fait leurs comptes. La bulle énergétique éolienne n'était valable qu'avec les subsides des gouvernements des différents états. Et au grand désespoir de tous les lobbies et associations d'illuminés verts, les gouvernements ont décidés de tout arrêter. Le résultat global est apocalyptique en plus d'être une énorme perte financière.
Donc, depuis des années 14.000 éoliennes, croupissent, se déglinguent, rouillent dans les immenses « Wind farms » abandonnés à tout jamais. Des fortunes dépensées à la gloire du dogme vert.
Il me reste une question importante : les écolos belges ont-ils fait des études de rentabilité sur leurs élucubrations…..à moins qu'ils ne se disent que les citoyens Belges paieront de toutes façons ! En Belgique un même désastre est à prédire !  N'est-il pas répréhensible de lancer un pays sans comparer avec les réussites et les ratés d'autres pays dans ce domaine.
Cela s'appelle pour les vrais professionnels : « Un retour d'expérience ». Mais peut-être que les écolos en Belgique, enfermés dans leur bulles ne sont pas l'écoute des autres, imbibés de leurs dogmes et pénétrés de leur intégrisme. Ou peut-être, les ondes hertziennes ne traversent pas les parois des cavernes où ils vivent !
JACQUES D'EVILLE