Albert Einstein a dit : le monde est dangereux à vivre, Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire
dimanche 30 juin 2013
Hier soir à Anduze très bon concert de jazz manouche sur le plan de brie
Concert prévu initialement au parc des cordeliers
Mais sans doute , pour des raisons de travaux de bétonnage de ce parc ...Toujours en cours , le concert a été déporté sur le plan de brie
Cette musique très swing a permis à des danseurs , sans doute d'une école de danse , de nous faire une démonstration de leur talent, très réussi .
Malheureusement après, une bande d' illuminés a envahi l' espace , en essayant de nous convaincre de leur technique , proche d' une danse de pintade en rut ou de phoques (ou focs) amoureux .
Peut être se croyaient ils incontournables .
Nous les avons contourné ...Nous sommes partis
Merci encore aux musiciens , géniaux
Le reboussierjazz
Du nouveau dans l'affaire Pradille
Affaire Pradille : Habitatdu Gard saisit le Procureur
Hier après-midi, le conseil d'administration de
l'office public d'HLM du département, Habitat du Gard a, en
quelque sorte, soldé l'affaire Pradille. Deux délibérations ont
été approuvées par les administrateurs concernant les
quelque 1,5 M€ de dommages et intérêts que l'ex-sénateur a
été condamné définitivement à payer à l'office en 2006.
À l'unanimité, le conseil d'administration a ainsi choisi de
déposer plainte auprès du procureur de la République pour
une « éventuelle organisation frauduleuse d'insolvabilité »
par l'ex-élu PS gardois. Cette action se base sur la mise en
évidence par l'huissier de justice mandaté par l'Office pour
tenter de recouvrer les sommes dus, de mouvements sur le
patrimoine de Claude Pradille, pour une somme estimée à
90000 €.
Par ailleurs, les administrateurs d'Habitat du Gard ont
constaté à l'unanimité moins une abstention, l'impossibilité
pour l'organisme de procéder au recouvrement de l'intégralité
de la somme due. Ainsi, l'Office va effacer 1,3 M€ de
recettes inscrites sur son budget mais désormais reconnues
comme irrécouvrables. Le directeur Stéphane Cabrié et le
président de l'Office Denis Bouad insistent toutefois sur le fait
que cette délibération n'éteint pas la dette elle-même qui,
légalement, court trente ans après le jugement.
JEAN-PIERRE SOUCHE
Plus d'informations dans Midi Libre demain.
samedi 29 juin 2013
vendredi 28 juin 2013
TORNAC....Enfin une bonne nouvelle dans ce monde dépravé
Enfin une bonne nouvelle dans ce monde dépravé
Oyé bonnes gens , et vilains , (non pas vous les autres)
Notre bon préfet Hugues Bousiges vient rendre visite à dame RIEU ce mardi 2 juillet an 13
Vers les 9h30 paraît il , car tout cela se passe dans la plus stricte confidentialité
Tous les élus de cette commune ne sont pas informés
Mais que vient il faire ?
Une médaille peut être ?
Les milieux autorisés nous ont chuchoté qu'il visitera notre cave coopérative,
Dans ce cas les coopérateurs devraient en être informes , n'est il pas, c'est un peu chez eux.
Le château de Tornac fait aussi parti des possibilités , mais c'est purement suppositoire
Peut être sera -il enfin ouvert pour cette occasion.
Cette visite nous ravit , pourquoi n' être pas venu avant la révolution ?
Le reboussierbieninformé
Mutualisation des services : tout le monde descend ! - Lagazette.fr
Extrait:
jeudi 27 juin 2013
Le pont du Gard
Qu'en est-il d' Anduze ?
cordialement
NF
Montpellier
trombinoscope-elus_avril-2013.pdf
bizarrerie vue à Montpellier
Ils sont 27 vice présidents pour gérer la capitale régionale.
Dans les Cévennes, il nous en faut 30 de plus pour gérer ALES! soit 55
Question est ce qu'on a plus de problèmes à gérer qu'à Montpellier (à part le chômage) ?
mercredi 26 juin 2013
Avec les "pôles ruraux", Marylise Lebranchu veut relancer les "pays" - Lagazette.fr
ALLO...AGGLO...ALES...JEUDI...SOIR....
Ils parleront de quoi nos élus onéreux :
POLE MECANIQUE, DECHETS, DEVIATION DE SAINT CHRISTOL, Avenants pour la Villa ROUGE, et un échange de terrain avec la société GIRAUD!
Bref que du CONFIDENTIEL.
Pourquoi ce n'est pas public
mardi 25 juin 2013
Resumé Forum cantonal Geneviève Blanc
Anduze 13 juin 2013
Résumé forum cantonal « Réforme territorial »
Dans le cadre de son mandat de conseillère générale, Geneviève Blanc, organise régulièrement sur son canton, des forums cantonaux. Cette démarche consiste à promouvoir la possibilité pour tous, élus et citoyens, de participer aux choix et aux orientations des politiques départementales.
C’est un forum un peu particulier qui tenu jeudi 13 juin à Anduze. Celui-ci a effet dépassé le seul niveau local ou départemental pour aborder un thème national « La réforme territoriale en cours – Quels changements pour demain, aux niveaux communal, départemental, régional et nationale ? Quels contributions et changements possibles ? ».
A la suite des lois de décentralisation de 1982 et 2003, les collectivités territoriales amorcent en 2013 une nouvelle mutation à travers l’Acte III de la décentralisation. La réforme en cours intéresse nombre de personnes et beaucoup s’interroge.
Après avoir fait le point sur son mandat de conseillère générale, le débat s’est engagé en présence de Christophe Cavard, Député du Gard et d’Aurélie Génolher, maire de Massillargues-Atuech et Présidente des Maires ruraux du Gard. Cette réforme qui devait être examinée dans son ensemble a finalement été scindée en trois sous-volets qui seront étudiés de manière échelonné. La loi sur les Métropoles est actuellement en débat – elle sera examinée une nouvelle fois à l’Assemblée nationale au mois de Juillet. La question des Régions sera abordée à l’automne, celle des communes et de l’intercommunalité fin 2013 début 2014.
Les bouleversements qui s’annoncent tant dans la répartition des compétences des collectivités territoriales que dans le changement des modes de scrutins des élections municipales et cantonales ont sensibilisé les nombreux participants. En concentrant pouvoirs économique et administratif, les Métropoles inquiètent. Leur modèle économique basé sur la libre concurrence entre les territoires, ne rassure pas non plus. Dans ces vastes ensembles que vont devenir les territoires ruraux, quelle autonomie va-t-il leur rester ? La création de pôles ruraux d’aménagement et de coopération prévue dans le projet de loi sur les Métropoles, peut-elle constituer un espoir pour ces mêmes territoires ? La question de la démocratie de proximité avec la possible disparition des communes inquiète également. Les participants tout en réaffirmant leur attachement aux communes, se sont également interrogés sur la façon de se réapproprier les règles démocratiques afin de peser dans le débat.
Toutes ces questions et propositions pourront être portées à l’Assemblée nationale dans le cadre des débats parlementaires qui auront lieu de juillet à octobre pour y être débattues dans le cadre du projet de loi de « Modernisation de l’action publique territoriale ».
lundi 24 juin 2013
Nouveau commentaire sur #GolfdeSaint-Hilaire: #Alès agglo porte plainte po....
Le Roi Max ROUSTAN 1er fait respecter la loi et en bon père de famille protège les biens de la communauté des bouseux, paysans et pauvres hères d'Alès Agglomération.
MAX 1er a en effet saisi la justice pour dégradation de biens publics. Les opposants illuminés au golf de Saint-Hilaire de Brethmas ont envahi des terrains agricoles, propriété privée d'Alès Agglo et y ont semé des courges, sans bail ni autorisation. Il s'agit non seulement d'une dégradation, mais d'un véritable hold-up à mains calleuses armées, une spoliation inexcusable et indéfendable. Il s'agit également d'un crime de lèse-majesté et une insulte faite à notre Roi MAX 1er. Si ces manants avaient planté des bananiers, ils n'auraient eu aucun problème dans une république bananière.
Si MAX 1er n'avait pas agi, les dérives auraient pu continuer. Ces délinquants auraient pu planter une tente, par exemple et auraient pu tenter de se reproduire la nuit. Ils auraient pu pourquoi pas, se mettre aussi à construire une grande salle de réception pour se réunir.
Dans un pays de droit, la démocratie, c'est respecter la loi de la république. Ces opposants ont le droit de contester, mais pas de s'approprier illégalement le bien d'autrui, ni d'énerver le Roi.
Rappelons à ces individus sans Foi ni Loi le dixième commandement : Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain; tu ne désireras pas la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.
Vu le nombre d'ânes qui broutent sur le territoire de la communauté d'Alès Agglo, il serait difficile de tous les convoiter.
MAX 1er a agi pour faire respecter la loi.
La justice condamnera ces délinquants à être pendus haut et courge.
Le golf de saint-hilaire verra bientôt le jour avec l'avis favorable de Monsieur le Haut Chef du Gard, pour le plus grand profit et plaisir des seigneurs de céans, grands marchands et Grands Maîtres des lieux.
Cet équipement est capital pour l'assemblée des communes du fief de MAX 1er roi et suzerain. Il permettra à tous les barons, princes et true-ducs (vrais ducs) de venir faire ripaille, danser le quadrille et jouer avec à la baballe. Il emploiera de nombreux faquins qui ont faim, ainsi que leur nombreuse progéniture qui pourront ainsi se nourrir et profiter des reliefs laissés à la fin des agapes royales.
Merci à notre Grand Roi et Suzerain MAX 1er de préserver nos biens, de nous défendre et de nous donner à manger.
Grâces lui soient rendues.
Tribunal d'Ales, jugement d'un manifestant affaire TVC Anduze
Objet : Tribunal d'Ales, jugement d'un manifestant affaire TVC Anduze12 personnes, dont Alain Beaud, Geneviève Blanc, Aurélie Génolher, Louis Julian, Marielle Vigne, Bruno Lapin, Catherine Legrand, Jacky Rodière, Hubert Cressot, Thierry Lecouvreur, ont porté plainte contre le commandant Warrion suite aux violences subies lors de la manifestation en gare d'Anduze du 21 Janvier . Une manifestation pacifique avec des familles, des élus,.....qui s'est terminée avec des blessés comme Louis Julian , agriculteur de Ribaute les Tavernes, dont le portrait tuméfié a fait le tour du monde, comme le film témoignant de la violence incompréhensible des forces de l'ordre, ce jour là.Depuis, ils attendent un procès, l'instruction est terminée depuis plusieurs mois, le dossier est dans les mains du procureur de la République du tribunal de grande instance de Nîmes. À ce jour, nous avons changé deux fois de procureur et toujours rien.
Par contre, Aujourd'hui, le tribunal d'instance d'Alés à jugé un manifestant pour avoir endommagé un phare du train, après qu'il ait été copieusement agressé et aveuglé par de puissants jets de gaz lacrymogènes.
Dans cette affaire, ils s'interrogent sur les priorités de traitement des dossiers par une justice plus prompte à juger des dommages matériels que des coups et blessures sur des citoyens et des élus de la République. Cette justice objectivement à deux vitesses n'est pas acceptable ni pour les plaignants, ni pour la population qui attendent un autre traitement de la part de nos institutions républicaines.
Ils attendent des décisions et une équité de traitement , il en va de la crédibilité de la justice et de la gendarmerie, garantes du pacte républicain.
#GolfdeSaint-Hilaire: #Alès agglo porte plainte pour des courges
O surprise les conseillers communautaires debout comme un seul homme ou presque derrière leur grand timonier MAXAO le grand , ont certainement voté une délibération autorisant Ales Agglo à déposer une plainte contre les courges
On en conclut donc qu'ils sont à leur grande majorité POUR LE GOLF DE SAINT HILAIRE et d' une façon générale pour tous les projets PHARAONIQUES de Max Roustan
Je sais dans l' Agglo. On ne fait pas de politique , on a du pognon et on le dépense
Le reboussiersurpris
samedi 22 juin 2013
Communiqué de presse
Objet: Communiqué de presse
Depuis le 21 janvier 2011 presque deux ans et demi se sont écoulés .L'association ARDIECE soutient pleinement la demande des victimes des événements du petit train d'Anduze .
Une enquête minutieuse a eu lieu ,suivie d'une mise en examen.
Aujourd'hui le tribunal fonctionne pour un bris de phare de ce train alors que ces plaignants victimes de violences physiques attendent toujours un procès.
Justice doit être rendue à tous ,sans plus attendre ,pour pouvoir clore ce pitoyable chapitre de notre histoire locale.
Les présidents: D.Sénécal H. Scardapane
vendredi 21 juin 2013
Le 21 janvier 2011, en gare d’Anduze
Un procés qui se fait attendre
Objectif Gard
http://www.mlactu.fr
Golf de Saint Hilaire : vers une gabegie financiere
Enquête - On semble se diriger vers la fin d’un projet pharaonique (à l’échelle d’Alès), celui dit du Golf de Saint Hilaire de Bréthmas, commune qui est accolée à Alès. Les commissaires enquêteurs viennent de rendre leurs conclusions, elles sont quasiment toutes contre la déclaration d’utilité publique (DUP) de ce projet, les « antis » sont ravis et demandent maintenant à l’agglomération d’Alès d’abandonner définitivement la partie.
Pour résumer le lourd dossier des commissaires enquêteurs, on notera que ces derniers reprennent bon nombre d’incohérences soulevées par l’association Saint Hilaire Durable, principal opposant au projet porté par l’Agglomération d’Alès*. Un complexe qui avait plusieurs volets, un golf de 18 trous, un autre de 9 trous, 2 pôles touristiques immobiliers, la création d’une zone artisanale économique (ZAE) et toutes les infrastructures urbaines qui vont avec. En tout, un projet immense de 360 hectares (la taille moyenne d’une commune) dont 300 hectares de terres agricoles.
Les terres agricoles qui disparaissent d’ailleurs, c’était le principal cheval de bataille des opposants. Que ces terres deviennent des terrains de jeu pour personnes fortunées au détriment des paysans, dans un des bastions de la Confédération paysanne, ça ne passe pas vraiment, José Bové, le député Vert européen et ancien-porte-parole de la Confédération paysanne s’est même rendu sur place pour apporter son soutien aux anti-golf : « Les projets de golfs sont toujours des projets d'urbanisation déguisés et donc des coups financiers portés par des personnes peu soucieuse de l'intérêt général », a-t-il déclaré à l’occasion.
Autre argument, les antis dénoncent la consommation en eau qu’un tel complexe pourrait engendrer, plus de 300 mille mètre cubes par an. Même si cette année est pluvieuse, les sécheresses sont récurrentes chaque été.
Les commissaires enquêteurs sont aussi défavorables à une déclaration d’utilité publique du projet parce que l’étalement urbain qui en découlerait leur semble incohérent, parce qu’économiquement ce golf n’apporte pas de garanties de rentabilité avérées. « L’agglo explique que ce golf sera rentable – explique Rémy Coulet le vice-président de St Hilaire Durable – mais leurs études économiques sont floues, alors que les commissaires enquêteurs eux ont poussé leurs investigations pour se rendre compte que le golf 18 trous risquerait de connaître, chaque année, un déficit d’au-moins 370 000 euros. »
Quant à la création d’emplois et l’implantation d’entreprises sur la ZAE, (arguments poussés en avant par les porteurs de projet pour justifier le complexe) là aussi les commissaires enquêteurs retoquent : Aucune étude n’est présentée par les porteurs de projet pour démontrer la création de futurs emplois (200 sont annoncés) quant à savoir quelles entreprises peuvent être intéressées pour venir s’installer sur la ZAE, idem, rien de concret mis à part un garagiste (sic).
Taillé en pièce par les commissaires enquêteurs, le projet du Golf de St Hilaire aura donc bien du mal à être déclaré d’utilité publique, on voit en effet mal le Préfet du Gard Hugues Bousiges passer outre « dans ces conditions il nous semblerait effectivement invraisemblable aussi que l’agglomération d’Alès maintienne son projet en l’état » ajoute Rémy Coulet qui se méfie cependant d’un ultime coup de Jarnac du président de l’agglo d’Alès Max Roustan « depuis toujours Roustan clame haut et fort qu’il est sûr que le Préfet signera. »
En attendant, certains commencent à faire les comptes et vont certainement en demander si ce projet ne se fait jamais. Depuis 10 ans, ce serpent de mer aura coûté des millions d’euros, au moins 2 pour l’achat du foncier, sans compter les études préalables diverses et les frais annexes (architecture, urbanisme, communication, mise à disposition de personnel dédié…)
Après la rocambolesque affaire du Tram-Bus de Nîmes, le projet surréaliste de la French Vallée, les épisodes à rebondissement de la gestion du Pont du Gard, voilà encore un dossier qui va laisser bien dubitatifs les gardois sur la capacité de gestion de leurs élus.
*Contacté, le président de l’Agglomération d’Alès Max Roustan n’a pas donné suite à notre demande d’interview.
Sylvère Pla
Les élections municipales se préparent
A Anduze comme son prédécesseur notre maire nous concocte quelques travaux , avant de perdre son mandat
Le parc des cordeliers se bétonne , s' organise, la nature recule , la végétation s' emmure , les allées se transforment en rue, les arbres vont-ils se fossiliser ?
Et les pelouses seront elles enfin interdites au public
Ce parc gardera les traces de son maire, mais un jour la nature se vengera.
Il en est de même pour TORNAC , la communauté protestante attire curieusement nos édiles municipales , qui tiennent absolument à participer et à se montrer
Quelle abnégation ! Que ne ferait on pas pour se faire réélire, mais j' ai bien peur qu' il ne soit trop tard !
Le REBOUSSIERmunicipal
jeudi 20 juin 2013
FORUM CANTONAL 13 juin 2013 Anduze
Aurelie Génolher
"c'est pas normal qu'on prenne un stylo et que l' on fasse comme ça des traits sur une carte à plat"
Qu'ils disent maintenant...Les autres
20130613 Aurelie Génolher AMRG, Séquence à... par zimprod
20130613 Aurelie Génolher AMRG, Forum citoyen... par zimprod
mercredi 19 juin 2013
A qui profite la péréquation ?
Très intéressant charger l' application
Le REBOUSSIER
10 députes en colères
Benjamin Matheaud Ales
Bravo à ces députés, qui ont compris qu'il faut cesser le conservatisme parlementaire et avancer vite et loin dans la transparence des rémunérations, des indemnités et frais de mandats, de la réserve parlementaire et patrimoines des députés ; la réforme du régime de retraite des parlementaires ; les groupes d'intérêts et lobbys divers et variés ; le mandat unique parlementaire,... pour lutter justement contre l'antiparlementarisme.
J'espère que mes amis députés du Gard Françoise Dumas, Fabrice Verdier, Patrice Prat, William Dumas et Christophe Cavard soutiendront cette démarche.
http://tempsreel.nouvelobs.com/le-dossier-de-l-obs/20130619.OBS3816/l-appel-de-10-deputes-en-colere-nous-avons-trop-de-privileges.html
L'appel de 10 députés en colère : "Nous avons trop de privilèges !
Pub de 600 000 euros . Ales Agglo. L' audace coûte
Alès Agglomération en campagne hors ses murs
Alès Agglomération, qui réunit depuis janvier 2013 cinquante communes cévenoles, lance une nouvelle campagne institutionnelle sur le thème «L'audace est en nous», réalisée par l'agence Hurricane.
A partir du 12 juin et pour un mois, un spot de 30 secondes sera diffusé dans 138 cinémas de l'arc méditerranéen, de La Ciotat à Perpignan. Une campagne d'affichage de plus de 600 faces démarrera le 19 du même mois avec des visuels mettant en scène douze personnages «authentiques» tels des superhéros. Montant du budget total pour 2013: 600 000 euros.Rembrandt's Night Watch
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=a6W2ZMpsxhg
Regardez bien ce tableau avant de cliquer sur le lien ci- dessus
Dernier grand oral au Parti socialiste - 20minutes.fr
Note du REBOUSSIER
Que ces barons et ronnes laissent un peu leur place , ils ont sans doute été un jour militant de base , avec le grand âge on oublie.
Peut être que leur ego démesuré leur joue des tours
C' est la meilleure recette pour fabriquer une machine à perdre
Je rends ma carte si on ne me choisit pas qu'elle dit ....Chiche !
mardi 18 juin 2013
- Mouvement Unitaire Progressiste ..Jérôme Cahuzac a menti. Il a menti à sa famille,...
Laurent Beaud 18 juin 08:01 Jérôme Cahuzac a menti. Il a menti à sa famille, au Premier Ministre, au Président de la République, mais aussi à la Représentation Nationale, dont il est issu, et surtout aux françaises et français.
Au-delà du mensonge, il a contribué à jeter le discrédit sur la classe politique. Il a fait le jeu de la droite, des extrêmes et de tous ceux qui surfent sur le thème du "tous pourris"...En période de crise et de tensions sociales, cela est encore plus grave. Le résultat de la législative de Villeneuve sur Lot lui est intégralement imputable.
Mais le plus paradoxal, c'est que Jérôme Cahuzac, qui a affirmé n'avoir jamais cru à la lutte des classes, nous donne une illustration concrète de la forme qu'elle peut prendre... La fraude fiscale est en effet une des armes utilisées par les plus riches pour s'affranchir de leur juste contribution au financement de la puissance publique. Les Etats, pour compenser ces pertes, sont contraints d'augmenter la pression fiscale sur ceux qui n'ont pas la possibilité de tricher...nous tous !
Cette affaire a mis en lumière, s'il en était besoin, la nécessite de renforcer la lutte contre la fraude fiscale, mais aussi de relancer une vraie réflexion sur la fiscalité : fiscalité européenne sur les entreprises, convergence fiscale au sein de l'UE, reforme de notre fiscalité pour plus de progressivité.
Seulement, trois jours après ses aveux, on apprenait que Jérôme Cahuzac souhaitait malgré tout reprendre son siège de député du Lot et Garonne à l'Assemblée Nationale. Il lui a fallu quelques temps avant de rebrousser chemin, mais le mal était fait. Il est le seul responsable des résultats catastrophiques de ce week end.
Après le mensonge, l'immoralité. Comme disait Michel Audiard : "Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît !".
Le non-cumul des mandats doit, dans les plus brefs délais, entrer en vigueur, et s'accompagner d'une mesure "temporelle" : mandat unique, renouvelable une fois. Cela éviterait les conflits d'intérêts et renouvèlerait profondément le personnel politique.
lundi 17 juin 2013
Les affaires du Golf nouveauté et petit rappel ...
Le Midi Libre
Alès : un avis mi-figue mi-raisin pour le golf de Saint-Hilaire
Quatre points à étudier : trois oui, un non Le dossier d’enquête publique portait sur quatre points : la déclaration publique, la mise en compatibilité du plan d’occupation des sols de Saint-Hilaire, la mise en compatibilité de celui de Méjannes-les-Alès (également concerné pour 20 hectares sur 359 au total), et l’enquête parcellaire.
Pour ces trois derniers points, les commissaires enquêteurs ont émis des avis favorables "sous réserves qu’une déclaration d’utilité publique soit prononcée par l’autorité compétente". Autrement dit, le préfet qui, de toute façon, a le dernier mot. C’est lui, en effet, qui prend ou non un arrêté d’utilité publique, les avis des commissaires enquêteurs n’étant que consultatifs.
En ce qui concerne la demande de DUP, le point le plus important puisqu’elle permet les expropriations, elle reçoit un avis défavorable.
Le golf de neuf trous n’est pas "pertinent"
Le golf doit s’étendre sur 145 hectares, avec un parcours de 18 trous, un autre de 9, à vocation pédagogique. "Il est incontestable qu’un golf 18 trous est un atout pour le développement d’un territoire et peut devenir un élément de valorisation de l’environnement.
Mais la question de la pertinence du 9 trous reste posée", lit-on dans les conclusions qui pointent également le fait que "l’utilité et la rentabilité" n’en sont pas démontrées et qu’il "porterait gravement atteinte à des exploitations agricoles dynamiques".
Le rapport estime également que le golf 18 trous "ne sera pas économiquement viable s’il ne draine pas une clientèle extérieure plus importante que celle estimée par la Fédération française de golf. Or, aucune étude sur l’équilibre entre l’offre et la demande n’a été réalisée".
La zone économique remise en cause Les commissaires regardent le volet économique d’une manière assez étonnante : la zone de 29,3 hectares leur semble mal positionnée. On lit "sa desserte routière est aléatoire et la synergie alléguée avec le Capra reste vague, sa localisation nuit à l’activité agricole et (...) à la qualité de vie des habitants. Elle est susceptible de porter atteinte à l’image du golf". La question sur la nécessité même de créer une zone économique est carrément posée.
La question de l’eau et de l’arrosage du golf
L’enquête estime que "l’impact des prélèvements sur la ressource constituée par les nappes souterraines n’est pas suffisamment étudié" et suggère un dispositif "innovant" (recycler les eaux de la station d’épuration) pourtant interdit par la Dréal.
De la nécessité d’une DUP
Si les enquêteurs imaginent que "le nombre d’emplois créés sera supérieur au nombre d’emplois détruits dans l’agriculture", ils déplorent toutefois un "étalement urbain non maîtrisé et une consommation excessive d’espace au détriment du patrimoine bâti et archéologique et des espaces agricoles qui sont une composante importante du paysage".
Mais finalement, l’argument massue des enquêteurs est que, comme l’Agglo possède déjà une centaine d’hectares, une DUP n’est pas nécessaire, en tous cas pour une superficie aussi importante. "Le maître d’ouvrage a la maîtrise foncière de la quasi-totalité de l’emprise du golf 18 trous, il semble en effet qu’il lui sera facile d’acquérir les parcelles de M. Georges dont le complexe touristique sera le premier bénéficiaire du golf".
De quoi aboutir à un avis défavorable à la demande de déclaration d’utilité publique.
Ce que dit Christophe Cavard Député EELV Gard
20130613 cavard le golf par zimprod
dimanche 16 juin 2013
vendredi 14 juin 2013
jeudi 13 juin 2013
La commune est le premier niveau de la République exemplaire que les socialistes ont commencé à bâtir. La commune est aussi le cadre de l’expression démocratique de proximité, le lieu où doit naître et s’épanouir pleinement la citoyenneté
Petite contribution de réflexion après Le Teil
J’étais très curieux du village des possibles que la pluie a contribué à rendre impossible. Donc à suivre.
Ainsi la semaine s’est réduite au week-end de la démocratie réelle à venir, dans une atmosphère souvent chaleureuse et assez humaine, tenu compte de l’amère évidence que la communauté n’existe pas encore et qu’il n’y a que l’illusion d’être ensemble collectivement.
Comment cela pourrait-il changer ? Voilà la question toujours implicite tout le long du rencontre mais souvent tue, au delà des échanges divers, mis en œuvre, avec passion confuse mais sincère, par les citoyens de nulle part que nous sommes.
Tout rencontre spontané laisse sortir les quelques affinités mais surtout les différences entre les individus. C’était le cas à Le Teil, grâce au gros et remarquable travail de préparation de Bernard et de ses quelques amis passionnés de OPDLM qui a constitué le don d’un espace/temps où chacun a pu essayer d’être soi même.
Identités et différences émergent au niveau du comportement autant qu’au niveau de la conscience car les vieux clivages sont loin d’être dépassés (aussi peu d’ailleurs que les frustrations personnelles qui les alimentent). D’ailleurs, les courbatures idéologiques douloureuses augmentent au fur et à mesure que le vieux monde est toujours là, et même plus que jamais, hélas. Derrière chaque militant marche toujours une quelque morale, pas nécessairement cohérente, qui voit en toute négation un reniement, en toute prise de parole une prise de pouvoir.
Quand rien ne change jamais, la moralisation bureaucratique des autres est la dernière activité possible pour cacher notre impuissance (ou manque de passion véritable) à changer le monde. Ainsi les limites inévitables des individus deviennent souvent les boucs émissaires d’un collectivisme de bistrot qui séduit les quelques militants mondains venant en touriste à consommer du discours alternatif.
Il y a donc, dans la faune que nous sommes, le beau parleur narcissique et le bobo à l’affût pour ne pas se laisser faire par aucun discours trop librement étalé. Dénoncer les hiérarchies et le pouvoir est absolument prioritaire. Comment ne pas être solidaires, donc, avec une telle sensibilité même si elle se traduit souvent en une hargne bureaucratique à mesurer le nombre de mots et le temps de parole d’autrui ? Malheureusement, celui qui, au nom de la démocratie, se proclame donneur de parole, finit presque toujours pour en profiter et se donner le droit de parler à son aise pendant qu’il mesure la parole des autres. Il faudra peut-être arriver à régler cette question si importante différemment : que chacun étale ses savoir ou présumés tels en liberté, sans la guillotine d’un peuple frustré qui se contente de partager sa frustration sans jamais dénoncer l’impuissance qui le frustre.
La vraie limite sociale évidente de ceux qui parlent beaucoup c’est d’empêcher les autres d’en faire autant, mais l’égalité ce serait donc que chacun parle à sa guise et non pas que tous parlent si peu. Il n’y a pas d’égalité sans liberté ni sans une protection accrue des différences visibles. Il nous faut du temps, du vrai temps libre des contraintes d’esclaves, et bien sur le droit absolu de rappeler aux parleurs, à chaque instant, le côté névrotique de la prise de parole, l’éventuel excès disharmonique de leur expression et notre envie d’en faire autant.
D’un côté l’occupation narcissique du territoire, de l’autre l’espace octroyé à quelques catégories choisies, voila deux erreurs spéculaires à corriger.
Obliger les jeunes, les femmes ou les pandas à s’exprimer relève du paternalisme de prof ou de psychologue et non pas de la liberté démocratique ou de l’égalité fraternelle.
Pour favoriser l’expression de chacun, il faudrait plutôt laisser agir librement les affinités électives qui tendent spontanément à diriger chacun dans le collectif le plus attirant. J’ai apprécié, par exemple, dans l’atelier que j’étais appelé à animer, l’absence d’un certain nombre d’individus qui ne trouvent probablement pas sympathique ce prétentieux transalpin venu faire la leçon, cette espèce de philosophe marginal qui parle beaucoup.
La magie fait que souvent une antipathie légère se révèle aussi réciproque que les coups de foudre et c’est très bien ainsi. Cela n’empêche pas de boire un pot ensemble, ou parfois même de communiquer un peu. On peut aimer un peu tout le monde, mais pas faire l’amour avec tout le monde, même pas en théorie.
Donc, que chaque jouissance cherche et trouve son interlocuteur possible, en théorie comme en pratique. L’ensemble des différences étalées fera un monde nouveau selon la sensibilité de Fourier et non pas de Staline.
La peur est effectivement partout, mais elle est un symptôme et non pas une justification. L’insécurité est un sentiment phobique. Il faut donc la traiter comme un alibi symptomatique et non pas comme une juste revendication ou une sage précaution.
Ainsi on dépassera, peut-être, le jeu hypnotique et sadomaso qui porte à se soulager de façon solitaire en accusant tous les autres de sa solitude. Nous sommes seuls tous ensembles et on se réunira véritablement le jour où on satisfera ensemble quelques désirs plutôt que revendiquer obsessionnellement, comme des syndicalistes du quotidien, des tragiques besoins culpabilisants.
De ma part, la seule partie que je peux assumer, je dis : assez des intellectualismes confusionnistes qui pour se réapproprier des mots se revendiquent du populisme et du nationalisme. Pourquoi, alors, ne pas se réapproprier aussi du fascisme et du racisme ?
Tolérance pour tous, dépassement des idéologies, bien sur, mais au-delà des droites et des gauches, il reste toujours nécessaire de choisir son camp, camarades ! Donc je partage encore avec l’IS cette devise pratique : pas de dialogue avec les provocateurs, pas de dialogue avec les cons ! (Je n’oublie pas, néanmoins, que nous sommes tous le con de quelqu’un d’autre, d’où l’importance des affinités électives).
Assez de thérapies de laboratoire pour soigner l’économie, alors qu’il s’agit de sauver les hommes de la pathologie économique.
La vraie réappropriation des mots c’est de leur faire dire ce que leur étymologie laisse entendre. L’économie est la bonne gestion de la « maison », donc une économie domestique. Un point c’est tout.
Un populiste est un démagogue manipulateur du peuple et non pas un ami du peuple. La cause du peuple est celle du peuple lui-même et non pas celle de ses pasteurs autoproclamés.
Un nationaliste n’est pas un patriote d’une nation vivante, mais un autoritaire mettant sa nation idéologique devant celles d’autrui qui ne reconnaît même pas.
Assez aussi des quelques touristes de la révolution qui participent aux rencontres comme à un festival ciné. Ils sont émus aux larmes après un film, comme si les grecs et les Mapuche n’existaient pas sinon dans la projection.
Si on pense que la révolution est en Grèce, c’est là qu’il faut aller voir, sinon on pourrait plutôt intervenir ici et maintenant dans notre vie quotidienne qui ne manque pas non plus de révolutions nécessaires dans nos affectivités, notre activité, notre exclusions intimes et sociales, etc. Cela est une forme de solidarité avec les autres moins spectaculaire à mes yeux.
Les poètes bureaucrates adorent toujours le calcul obsessionnel des doigts qui se lèvent vers le ciel car cela est la meilleure manière d’ignorer la lune qu’on a honte d’avoir raté tout le long d’une vie perdue à la gagner sans broncher.
Que cela soit à propos d’un discours, d’une personne ou d’un livre, les suiveurs éternels d’une vérité indiscutable et changeante comme les idéologies, finissent toujours par être déçu des gourous qu’ils n’arrêtent pas de chercher frénétiquement. Tant mieux, mais quand arrêteront-ils de suivre avant et de haïr ensuite ?
Tout cela n’a plus de sens car plus rien de l’ancien monde hiérarchique ne peut participer au dépassement nécessaire de la société du spectacle.
Sans la prétention de tout comprendre ou dire, mes mots expriment une bonne partie de mon sentiment.
Avec ma sincère amitié,
Sergio Ghirardi
P.S. Sorry for my french, I’m italian !